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Vaincre à Rome
S. COHER

Sylvain Coher – Actes Sud

Jeux Olympiques de Rome, 10 septembre 1960. Un jeune Éthiopien, totalement inconnu des commentateurs sportifs, s’élance pieds nus pour courir le marathon. Il s’appelle Abebe Bikila et va devenir une légende. Lecteur, garde ton souffle ; Sylvain Coher s’invite dans la tête et dans le corps de l’athlète pour mieux saluer un homme d’exception.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

13 thoughts on “Vaincre à Rome”

  1. Marie Christine

    Le sujet m’intéressait mais l’auteur s’invite beaucoup trop tardivement dans la tête de cet athlète. Nous ne connaissons à peine ses pensées , comment s’entraine t il dans son pays, son histoire … peu de description des paysages qu’il jalonne en courant. Et pourtant nous sommes à Rome.
    Un peu déçue.
    Note : 3

  2. Marguerite

    Soyons aussi courageux que Abebe Bikila et suivons le jusqu’au bout de la course .

  3. Marguerite Verstraeten

    Soyons aussi courageux qu’Abebe Bikila et suivons le jusqu’à la victoire.

  4. xmg

    Mais quelle idée d’avoir mis ce livre dans la sélection de cette année !!?
    ça s’appelle “roman” mais c’est en réalité un exercice de style vain, artificiel, verbeux et parfaitement ennuyeux.
    Si vraiment vous tenez à ouvrir ce livre et s’il ne vous tombe pas immédiatement des mains, allez directement à l’épilogue n° 2 : une très jolie citation de Giono qui est la seule chose agréable à lire dans ce fichu bouquin !

  5. lise bazet

    quel magnifique récit : j’étais dans la tête, dans chaque muscle du coureur, voilà une écriture qui “colle”et qui est au service du sujet, c’est si rare ; une merveille, vraiment.et enfin! un livre bref qui donne l’essentiel.

  6. Sandrine

    Comme c’est difficile et douloureux de suivre cet athlète ! Moi j’ai fini par abandonner…

  7. Elisabeth BERGERON

    Le récit évoque le marathon de l’Éthiopien Abebe Bikila en Septembre 1960 à Rome. Le livre suit exactement la course, pas à pas. C’est un exercice un peu fastidieux, qui tient d’abord de la performance littéraire, mais le pari est tenu en ce sens qu’on finit par se laisser prendre – malgré l’invraisemblance total des pensées qui sont prêtées au coureur.
    La dimension de revanche politique est intéressante : la conquête de Rome par un Ethiopien vingt-cinq ans après celle de l’Ethiopie par Mussolini..

  8. Anne Chevallier

    Compréhensible que ce livre déclenche des opinions aussi tranchées tant il change du roman “pépère” où tout est prévisible. On est dans la course, on la vit, on souffre mais on ajuste le souffle et la pose du pied, le décor n’existe pas en dehors du revêtement du sol… Livre fatigant mais quel plaisir ! 5

  9. Anne

    Compréhensible que ce livre déclenche des opinions aussi tranchées tant il change du roman “pépère” où tout est prévisible. On est dans la course, on la vit, on souffre mais on ajuste le souffle et la pose du pied, le décor n’existe pas en dehors du revêtement du sol… Livre fatigant mais quel plaisir ! 5

  10. Poque

    La lecture de ce roman m’a paru aussi ardue que le marathon lui-même. L’idée de départ était intéressante et les cinq premiers kilomètres assez agréables, mais l’auteur ne peut échapper au danger inhérent à la forme qu’il a trouvé : les répétitions. De plus, depuis le début on connaît la fin de la course ce qui ôte toute interrogation sur l’action elle-même. Note : 2

  11. Thomas CLERMIDY

    Abebe BIKILA court et gagne le marathon aux Jo de Rome de 1960. Un court roman bien écrit, passionnant du début à la fin. Note 4

  12. Michel78

    L’auteur est sûrement un adepte de la course de fond ; il décrit très bien les effets sur le corps de l’athlète l’effort physique et la tactique du coureur éthiopien. Mais quand il se met dans la peau de ce dernier, petit berger éthiopien, c’est complètement invraisemblable : les références littéraires servent-elles à nous prouver la culture de l’auteur ? Les interruptions de reportage radiophoniques ne font que compliquer le récit. Il faut vraiment de la ténacité pour aller jusqu’au bout de ce roman.

    Note 2

  13. Avila

    VAINCRE À ROME…ou
    Sylvain COHER –Actes Sud – 2019

    …VAINCRE À BERLIN!
    Vingt-ans auparavant, les soldats éthiopiens avaient chassé de leurs pays l´armée du sanguinaire et fasciste, Duce italien. Maintenant c´est le tour d´un seul soldat éthiopien, de venir VAINCRE á ROME, sous les réflecteurs, braqués de toute la planète – C´est le Marathon Olympique de 1960.
    Vingt ans après, la chute du Mur de la Honte, à Berlin, moi aussi j´ai donné ma contribution, lors de Marathon de Berlin en 2009, paracourant de larges boulevards, comme le Under den Linden, qui fend en deux la ligne, qui pour des années, avait été la frontière interdite, des deux Allemagnes et dont les habitants, de leurs mains, avaient mis à bas toutes ces bricks qui les empêchaient d´embrasser leurs amis et parents, restés de l´autre côté du mur!
    Si à Rome le moment le plus emblématique c´est au passage sous « l´Arc dédié à l´empereur », à Berlin c´est franchir le Portail de Brandenbour, où la Déesse de la Victoire, sur son char tiré para quatre chevaux, contemple la victore de ceux qui n´auraient plus que 195m à parcoutir avant l´arrivée du Marathon !
    VAINCRE À ROME, un livre plein d´inspiration, de soufrances mais aussi et surtout de dépassement de soi. Rien n´est plus solitaire qu´une course à pied, c´est comme si la foule qui nous entoure, n´appartient pas à notre monde. Tout ce qui entoure le coureur semble devenir une force contre, même ceux qui font un geste solidaire, quand ils tendent un bras avec un gobelet d´eau fraîche – on peut perdre la concentration !
    Une course à pied, comme le marathon, est une entreprise de longue durée, où tout peut arriver, basculer à tout moment. C´est comme si on entreprenait un voyage, envers et en dehors de soi. Envers soi, parce que c´est à l´intérieur de lui-même que le coureur peut aller puiser son énergie, comprendre et observer la flexibilité de ses genous, qui se plient près de cinquante mille fois et surtout ses pieds qui, jamais ne le laissent en l´air, ni « tomber sur un maivais pied »:puisqu´une seule et unique entorse de la cheville, pourrait mettre fin à course et à son rêve !
    VAINCRE À ROME, c´est avoir « la petite voix » qui à chaque fois « remet la pendule à l´heure » dans le sens que c´est elle qui fait émerger ce regain de forces intérieures, tenues par les compromis personnels et envers ceux qui l´ont aidé à en arriver là, comme son coach et gourou, son pays et son peuple. Lui, il est avant tout un soldat, et comme tout soldat, il a une mission: « Vaincre à Rome » !
    VAINCRE À BERLIN, ce fût n´ont pas une petite voix, je dirais plutôt de grandes voix qui faisaient foule, tout en cadence, puisque rythmées par mille instruments, ce qui fût une grande suprise, à tous les quilomètres un groupe musical maintenait les airs embaumés de leur mélodie. J´en ai même compté trois, de musique brésilienne.
    De la même manière que le coureur de Rome, rendait présente, sa charmante Yewebdar, moi je gardais en tête le nom et la présence de toutes les personnes qui ont fait partie de mon projet de « Courir à Berlin » !
    À Rome ce fût ABEBE, à Berlin ce fût AVILA, à Rome ce fût le record du monde du Marathon (2 heures 15 minutes e cinq segondes), à Berlin ce fût (presque)» le plus long marathon jamais couru (cinq heures et trentes cinq mnutes) – alors je me demande que était le plus fort ? – celui qui arrive à courir pendant 2h15m05s ou celui qui le fait pendaat 5h35m? Je vous laisse la parole.
    VAINCRE À ROME est un livre qui se lit pendant la durée d´un marathon, du moins c´est l´idée de l´auteur, mais bien évidemment, il incombe à chacun de trouver son rythme, en 2h15m05s, ou alors, comme moi : en 5h35m! Courir comme on vit, chacun à son rythme !
    VAINCRE À ROME ou VIANCRE À BERLIN, ont eu tous les deux le même objetif: « offrir un cadeau », pour « Rome » un cadeau de mariage, pour « Berlin », un cadeau d´anniversaire (célébrer mes 60 ans!).
    Bonne lecture!
    Avril – 2021
    Avila(brésil)

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