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Une bouffée d'air pur

Une boufée d’air pur
A. MALLADI

Amulya Malladi – Mercure de France

3 décembre 1984. Anjali attend son mari infidèle à la gare de… Bhopal. Elle ne se remettra jamais complètement des séquelles du terrible accident industriel survenu, cette nuit-là, à l’usine de l’Union Carbide. Des années plus tard, divorcée et remariée, mère d’un jeune enfant malade, elle croise son ex-mari dans les rues de la ville. Et son fragile équilibre menace alors de basculer.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

11 thoughts on “Une boufée d’air pur”

  1. Marie Agnès

    L’intérêt de ce livre réside essentiellement dans la découverte de la société indienne à la fin du siècle dernier. L’intrigue est faiblarde.
    A lire si vous n’avez rien d’autre à lire .

  2. Françoise

    J’ai beaucoup aimé ce livre , l’analyse des sentiments des personnages, chacun essaie d’affronter ses difficultés “en solitaire” mais aussi au travers des relations qu’ils tissent au fil de l’histoire…..exercice d’équilibriste pour Anjali !!

  3. Françoise S

    Belle lecture. Beaucoup d’amour malgré les différences.
    Note : 5

  4. Poque

    Un récit humain qui nous fait vivre ces retrouvailles à travers les sentiments des trois personnages principaux. Une lecture agréable malgré de nombreuses redondances.

  5. Michel78

    Le drame de Bohpal laissait envisager un récit peut être intéressant. Malheureusement on retombe très rapidement dans ces romans photos si chers aux indiens et l’on s’ennuie très vite ! Comme le style est moyen, on ne voit pas trop l’intérêt de ce roman. Il n’y a même pas une bonne peinture des mœurs dans une petite ville de garnison.

  6. SNOP30

    Le drame de Bhopal en 1984 détermine la santé des personnes l’ayant subi et de son enfant…. Il y a donc à peine 40 ans La catastrophe écologique donne la base de la trame. Ce roman qui nous emmène dans la complexité de la société indoue dont la place de la femme (la jeune femme, sa belle sœur, sa mère) et de l’homme (l’époux, l’ex-mari, le père)…toute la lourdeur de ce pays qui cherche de nouvelles voies. Extrêmement intéressant pour ceux qui connaissent le sous continent indien

  7. lise bazet

    …u peu à l’eau de rose, non? le “truc” d’écriture consistant à faire parler les personnages à tour de rôle devient une facilité de remplissage.

  8. Marguerite Verstraeten

    C’est vrai “un peu d’eau de rose” mais finalement une “Belle histoire”!

  9. brioche

    des histoires de “destin”, la vrai vie….

  10. Elisabeth

    Voici un petit roman à l’eau de rose indien dont le point de départ est la catastrophe de la fuite de gaz de Bhopal en 1984. Tout est un peu sirupeux : l’héroïne a été une belle jeune fille pleine d’illusions et est devenue une femme éprouvée par la vie. Elle fait face au malheur de son enfant handicapé courageusement. La perception de cet ouvrage n’est pas aidée par la traduction dans un français médiocre. Une phrase comme : (…) je ne savais pas s’il pouvait discerner l’illumination qui m’avait été concédée » (page 193) n’est pas unique en son genre. Reste à deviner si le texte original était d’aussi mauvaise qualité. Tout cela dit, le roman donne un petit aperçu sur la vie des femmes indiennes qui apparaissent comme à la fois modernes et traditionnelles.

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