J’ai bien aimé ce roman qui confronte le passé et le présent d’une famille roumaine exilée aux USA et qui montre les conflits entre générations, entre cultures. J’aime moins le style simple et parfois simpliste, mais c’est un roman moderne ! très plaisant à lire.
Où sont passés la grande originalité et les sujets si impressionnants de la Catherine Cusset de « En toute innocence », « Le problème avec Jane », « Confessions d’une radine »,… qui vous donnaient la chair de poule, et ressemblaient à une autobiographie.
Avec « Un brillant avenir », nous sommes dans un vrai roman, un bon roman, un roman quoi !
L’intérêt consiste dans les parallèles entre les modes de vie aux USA, en Roumanie sous l’emprise de Ceausescu et en Israël ; entre les générations confrontées aux mêmes problèmes et aux mêmes réactions.
J’ai beaucoup aimé l’histoire de cette Elena/Helen. Le parcours de cette scientifique Roumaine est passionnant et touchant. Il y a tellement de situations décrites avec une telle justesse et sensibilié ! moi la française mariée à un Indien et émigrée aux etats unis, j’ai reconnu plusieurs expériences de ma vie dans mes relations avec mes beaux parents indiens par exemple.
Cela me donne envie d’en lire plus de Catherine Cusset. Merci aux infos de BV ci-dessus.
une roumaine échappe à la servitude de son pays sous les soviétiques : cela ne l’empêche pas de se plaindre à longueurs de pages. Ses parents avaient refusé son amoureux juif : elle avait passé outre, pour à son tour s’opposer au mariage de son fils avec une française ! beaucoup trop de larmes sur elle même… -2-
J’ai beaucoup aimé ce livre, tant pour son histoire qui révèle un personnage ultra-sensible que par le style à la fois léger et sophistiqué.
Je découvre par ce livre l’auteur et cette lecture me donne envie d’aller découvrir ses précédents livres.
Je n’ai pas trop aimé la lecture en « zigzag » dans le temps…j’ai failli abandonner mais le parcours d’Helen (et son faire valoir Jacob) est néanmoins admirable malgré une tendance à se plaindre et à imposer ses angoisses à son entourage.
Le passage roumain n’est pas assez traité ainsi que l’ installation aux USA. L’auteur s’attarde un peu trop sur la rivalité « belle-mére belle-fille ».La solitude aura le dernier mot .
Je suis assez partagee sur ce livre.
Au debut j’ai trouve le style vraiment penible (phrases tres courtes) et peu d’intrigue. Apres ca va mieux, meme si je suis d’accord avec la remarque precedente : trop acces sur la rivalite Belle mere / belle fille.
Au final, c’est plutot decevant.
Cette saga familiale se lit agréablement, on voyage entre la Roumanie communiste, l’Israël des colons juifs, les Etats-Unis et la France. Mais il y avait matière à faire un livre beaucoup plus intéressant, et je suis bien d’accord avec Marie-Noëlle sur toutes ces pages perdues à analyser (non sans clichés) la relation entre Elena et sa belle-fille, alors qu’on aurait aimé en savoir plus sur la vie quotidienne d’une jeune famille sous Ceaucescu, l’installation aux Etats-Unis etc. En outre les personnages manquent d’envergure et sont analysés assez superficiellement. Je reste donc un peu sur ma faim.
J’ai bien aimé ce livre qui nous promène dans quatre pays, au moins trois époques, par le regard du personnage central le plus souvent, quelquefois de sa belle-fille. La construction en zig-zag dans le temps et dans l’espace est parfaitement maîtrisée car le fil conducteur reste très apparent et elle permet une mise en perspective continuelle des coutumes, des mentalités, des sentiments qui donne au roman toute sa profondeur.
Trop de plaintes? Ce n’est pas mon avis car elles sont celles d’une femme courageuse, d’une battante qui sait prendre en main sa propre vie et montrent comme le reste que rien n’est simple, qu’aucune personnalité n’est tout d’une pièce, que force et faiblesse sont en chacun à des degrés divers selon les personnes et aussi selon les moments.
Le style est limpide, beaucoup moins simple qu’il n’y paraît car selon les chapitres le récit est au passé ou au présent, les phrases courtes ou longues…
Je n’ai pas noté 5 parce que j’attends LE chef d’oeuvre, mais je vais vite aller à la recherche des autres livres de Catherine Cusset.
J’ai beaucoup aime ce livre et suis d’accord avec tout ce qui en est dit de positif. Je vais aussi me precipiter pour lire les autres livres de CC. BV nous en donne l’envie.
Aucun intérêt dans ce livre. Que des platitudes. De plus, pas de style. Il parait que le franglais de l’auteur a été transformé en français. Voir les remerciements de l’auteur à la fin du livre.
Prix Goncourt des Lycéens en 2008 , ce roman est intéressant de par sa structure, qui juxtapose les changements des individus au cours du temps, dans leur personnalité mais aussi dans leurs capacités et, de par son écriture, que je trouve d’une sensibilité très féminine. La sensation d’une profonde tristesse est sans cesse présente puisque l’héroïne, malgré son combat permanent contre des situations adverses, ne parvient pas à contrôler sa vie… qui dépend toujours des autres.
Ce livre, que j’ai lu avec intérêt, résume, pour moi, plus que la réalité de l’immigration, les problèmes du féminisme. Cette femme professionnelle compétente, épouse dévouée et amoureuse, mère de famille soucieuse, bref, parfaite et comblée se retrouve presqu’invalide ayant perdu toute envie de vivre du fait de la mort de son conjoint. Une femme qui a toujours été le pilier de cet homme qui ne prenait pas les décisions mais se laissait mener confiant par son épouse en laquelle il avait toute confiance.
Les relations avec sa belle fille sont aussi, plus qu’un incomptabilite de caractere, une lutte d’influence sur sur ce fils unique
Pourquoi si peu de 5, puisque beaucoup de » j’ai beaucoup aimé » ?
J’aime Catherine Cusset et son style dépouillé et direct. Son histoire est passionnante de cette femme
qui revient de loin dans sa jeunesse perturbée. Et elle est si franche dans ses rapports avec Marie…
Ce n’est jamais trés simple ce genre de vie trés près de ses enfants !!!
je n’ai pas réussie à m’intéresser à ce livre qui saute d’une décennie à l’autre etrevient en arrière, même en sautant des chapitres pour revenir en arrière, je n’y comprends rien.
Du même avis que Camille, livre très plaisant à lire, mais hélas qui n’apporte rien. alors qu’il y avait matière à « développer » la famille sous Ceausescu, l’arrivée en Amérique…..
j’ai aime ce livre et je vais lire les autres livres ce c cusset au debut j’ai ete un genen par les retours en arrier mais tres vite je me suis passionne pour cette elena merci d’avoir choisi ce livre
Note moyenne pour un livre attachant mais pas passionnant, sans beaucoup de relief. Pas d’effets de style, mais une description assez fine des personnages, rarement sympathiques, peu attachants pour la plupart, mais terriblement reels. C’est la grande reussite du livre: on finit par prevoir leurs emotions, tant elles sont humaines et ancrees en chacun de nous. Malgre tout, la magie n’opere pas vraiment. Je serais curieuse de lire d’autres titres du meme auteur…
Les commentaires des personnes ayant lu le livre avant moi m’ont incitée, dès la 40ème page, à lire le récit dans l’ordre chronologique grâce au sommaire de la fin du livre.
Dès lors, la lecture a été plus facile. C’est un livre vite lu, au style un peu dépouillé mais l’histoire est plaisante à lire.
Un sujet, un verbe un complément et cela fait une phrase.Le style est pauvre il serait du franglais traduit en français ! La partie roumaine, mieux documentée, sauve le livre. des sentiments à faire pleurer dans les chaumières. Et pourtant toutes les dames de mon circuit qui m’ont précédé ont toutes mis un généreux 4 ! Cela doit être un livre pour les dames
Je reprends l’écrit de Depois et conviens que ces retours en arrière sont déroutants. Beaucoup d’écrivains utilisent cette forme d’écriture, c’est une mode que je n’apprécie que modérément… Le secret pour bien suivre ce genre et ne pas se perdre entre tous les personnages, c’est de lire pratiquement d’une seule traite au moins la moitié du bouquin. On ne peut pas en faire la lecture par petits morceaux du genre « un chapitre chaque soir dans son lit » on perd le fil, on se désintéresse et on laisse tomber !
J’ai lu « Le brillant avenir » dans d’excellentes conditions, j’ai beaucoup aimé le style, les personnages. J’ai passé avec Elena de très bons moments.
La vie de l’héroïne nous est présentée en puzzle : sauts en arrière, bonds en avant… on a du mal à suivre. L’intérêt du livre réside dans la psychologie des personnages, des femmes surtout, leur force, leur faiblesses, le grand amour qu’elles portent à leur homme, à leur enfant. Également dans le poids des racines, roumaines, juives, ou françaises, si différentes. Le style est simple certes, mais a le mérite d’en faciliter la lecture, et convient à cette longue histoire où s’intercalent des petites réflexions anodines mais pleines de vérité sur le caractère féminin. Paul a raison : c’est plutôt un livre pour dames…
Une saga en trop de mots, trop d’effets qui perd son lecteur dans ce va et vient constant entre le passé et le présent. Ne manque pas néanmoins d’intérêts dans ses parallèles historiques.
J’ai utilisé tous mes marque-pages pour arriver à suivre la chronologie : fatigant.
Le style est basique, mais l’histoire intéressante même si la partie américaine n’est pas très évocatrice de ce pays.
Je suis assez déçue.
Moi ce livre m’a passionné comme d’ailleurs beaucoup de livres écrits par des femmes.
Héléna a traversé des adversités sans nombre et chaque fois elle a pris son courage à deux mains pour permettre à son fils et son mari d’accéder à de meilleures conditions de vie.
Elle s’est battue avec hargne tant sur le plan familial que professionnel remuant ciel et terre pour conquérir son eldorado…
Quelques moments de découragement, de lassitude me semblent bien pardonnables de même que son instinct de véritable louve qui tente de protéger à outrance son fils même en rejettant de prime abord sa future belle fille!
Le style direct ne m’a pas gêné du tout de même que le décrochage systématique du récit.
Pas difficile à suivre du tout pour ma part
J’ai bien aimé ce roman qui confronte le passé et le présent d’une famille roumaine exilée aux USA et qui montre les conflits entre générations, entre cultures. J’aime moins le style simple et parfois simpliste, mais c’est un roman moderne ! très plaisant à lire.
Où sont passés la grande originalité et les sujets si impressionnants de la Catherine Cusset de « En toute innocence », « Le problème avec Jane », « Confessions d’une radine »,… qui vous donnaient la chair de poule, et ressemblaient à une autobiographie.
Avec « Un brillant avenir », nous sommes dans un vrai roman, un bon roman, un roman quoi !
L’intérêt consiste dans les parallèles entre les modes de vie aux USA, en Roumanie sous l’emprise de Ceausescu et en Israël ; entre les générations confrontées aux mêmes problèmes et aux mêmes réactions.
J’ai beaucoup aimé l’histoire de cette Elena/Helen. Le parcours de cette scientifique Roumaine est passionnant et touchant. Il y a tellement de situations décrites avec une telle justesse et sensibilié ! moi la française mariée à un Indien et émigrée aux etats unis, j’ai reconnu plusieurs expériences de ma vie dans mes relations avec mes beaux parents indiens par exemple.
Cela me donne envie d’en lire plus de Catherine Cusset. Merci aux infos de BV ci-dessus.
Je trouve ce livre écrit de façon si pauvre que j’ai du mal à m’intéresser au récit.
une roumaine échappe à la servitude de son pays sous les soviétiques : cela ne l’empêche pas de se plaindre à longueurs de pages. Ses parents avaient refusé son amoureux juif : elle avait passé outre, pour à son tour s’opposer au mariage de son fils avec une française ! beaucoup trop de larmes sur elle même… -2-
J’ai beaucoup aimé ce livre, tant pour son histoire qui révèle un personnage ultra-sensible que par le style à la fois léger et sophistiqué.
Je découvre par ce livre l’auteur et cette lecture me donne envie d’aller découvrir ses précédents livres.
Je n’ai pas trop aimé la lecture en « zigzag » dans le temps…j’ai failli abandonner mais le parcours d’Helen (et son faire valoir Jacob) est néanmoins admirable malgré une tendance à se plaindre et à imposer ses angoisses à son entourage.
Le passage roumain n’est pas assez traité ainsi que l’ installation aux USA. L’auteur s’attarde un peu trop sur la rivalité « belle-mére belle-fille ».La solitude aura le dernier mot .
Je suis assez partagee sur ce livre.
Au debut j’ai trouve le style vraiment penible (phrases tres courtes) et peu d’intrigue. Apres ca va mieux, meme si je suis d’accord avec la remarque precedente : trop acces sur la rivalite Belle mere / belle fille.
Au final, c’est plutot decevant.
Cette saga familiale se lit agréablement, on voyage entre la Roumanie communiste, l’Israël des colons juifs, les Etats-Unis et la France. Mais il y avait matière à faire un livre beaucoup plus intéressant, et je suis bien d’accord avec Marie-Noëlle sur toutes ces pages perdues à analyser (non sans clichés) la relation entre Elena et sa belle-fille, alors qu’on aurait aimé en savoir plus sur la vie quotidienne d’une jeune famille sous Ceaucescu, l’installation aux Etats-Unis etc. En outre les personnages manquent d’envergure et sont analysés assez superficiellement. Je reste donc un peu sur ma faim.
J’ai bien aimé ce livre qui nous promène dans quatre pays, au moins trois époques, par le regard du personnage central le plus souvent, quelquefois de sa belle-fille. La construction en zig-zag dans le temps et dans l’espace est parfaitement maîtrisée car le fil conducteur reste très apparent et elle permet une mise en perspective continuelle des coutumes, des mentalités, des sentiments qui donne au roman toute sa profondeur.
Trop de plaintes? Ce n’est pas mon avis car elles sont celles d’une femme courageuse, d’une battante qui sait prendre en main sa propre vie et montrent comme le reste que rien n’est simple, qu’aucune personnalité n’est tout d’une pièce, que force et faiblesse sont en chacun à des degrés divers selon les personnes et aussi selon les moments.
Le style est limpide, beaucoup moins simple qu’il n’y paraît car selon les chapitres le récit est au passé ou au présent, les phrases courtes ou longues…
Je n’ai pas noté 5 parce que j’attends LE chef d’oeuvre, mais je vais vite aller à la recherche des autres livres de Catherine Cusset.
J’ai beaucoup aime ce livre et suis d’accord avec tout ce qui en est dit de positif. Je vais aussi me precipiter pour lire les autres livres de CC. BV nous en donne l’envie.
Aucun intérêt dans ce livre. Que des platitudes. De plus, pas de style. Il parait que le franglais de l’auteur a été transformé en français. Voir les remerciements de l’auteur à la fin du livre.
Prix Goncourt des Lycéens en 2008 , ce roman est intéressant de par sa structure, qui juxtapose les changements des individus au cours du temps, dans leur personnalité mais aussi dans leurs capacités et, de par son écriture, que je trouve d’une sensibilité très féminine. La sensation d’une profonde tristesse est sans cesse présente puisque l’héroïne, malgré son combat permanent contre des situations adverses, ne parvient pas à contrôler sa vie… qui dépend toujours des autres.
Ce livre, que j’ai lu avec intérêt, résume, pour moi, plus que la réalité de l’immigration, les problèmes du féminisme. Cette femme professionnelle compétente, épouse dévouée et amoureuse, mère de famille soucieuse, bref, parfaite et comblée se retrouve presqu’invalide ayant perdu toute envie de vivre du fait de la mort de son conjoint. Une femme qui a toujours été le pilier de cet homme qui ne prenait pas les décisions mais se laissait mener confiant par son épouse en laquelle il avait toute confiance.
Les relations avec sa belle fille sont aussi, plus qu’un incomptabilite de caractere, une lutte d’influence sur sur ce fils unique
Pourquoi si peu de 5, puisque beaucoup de » j’ai beaucoup aimé » ?
J’aime Catherine Cusset et son style dépouillé et direct. Son histoire est passionnante de cette femme
qui revient de loin dans sa jeunesse perturbée. Et elle est si franche dans ses rapports avec Marie…
Ce n’est jamais trés simple ce genre de vie trés près de ses enfants !!!
je n’ai pas réussie à m’intéresser à ce livre qui saute d’une décennie à l’autre etrevient en arrière, même en sautant des chapitres pour revenir en arrière, je n’y comprends rien.
Pas très interessant, pas très gai, pas très bien écrit…
Du même avis que Camille, livre très plaisant à lire, mais hélas qui n’apporte rien. alors qu’il y avait matière à « développer » la famille sous Ceausescu, l’arrivée en Amérique…..
j’ai aime ce livre et je vais lire les autres livres ce c cusset au debut j’ai ete un genen par les retours en arrier mais tres vite je me suis passionne pour cette elena merci d’avoir choisi ce livre
Note moyenne pour un livre attachant mais pas passionnant, sans beaucoup de relief. Pas d’effets de style, mais une description assez fine des personnages, rarement sympathiques, peu attachants pour la plupart, mais terriblement reels. C’est la grande reussite du livre: on finit par prevoir leurs emotions, tant elles sont humaines et ancrees en chacun de nous. Malgre tout, la magie n’opere pas vraiment. Je serais curieuse de lire d’autres titres du meme auteur…
Les commentaires des personnes ayant lu le livre avant moi m’ont incitée, dès la 40ème page, à lire le récit dans l’ordre chronologique grâce au sommaire de la fin du livre.
Dès lors, la lecture a été plus facile. C’est un livre vite lu, au style un peu dépouillé mais l’histoire est plaisante à lire.
Un sujet, un verbe un complément et cela fait une phrase.Le style est pauvre il serait du franglais traduit en français ! La partie roumaine, mieux documentée, sauve le livre. des sentiments à faire pleurer dans les chaumières. Et pourtant toutes les dames de mon circuit qui m’ont précédé ont toutes mis un généreux 4 ! Cela doit être un livre pour les dames
Je reprends l’écrit de Depois et conviens que ces retours en arrière sont déroutants. Beaucoup d’écrivains utilisent cette forme d’écriture, c’est une mode que je n’apprécie que modérément… Le secret pour bien suivre ce genre et ne pas se perdre entre tous les personnages, c’est de lire pratiquement d’une seule traite au moins la moitié du bouquin. On ne peut pas en faire la lecture par petits morceaux du genre « un chapitre chaque soir dans son lit » on perd le fil, on se désintéresse et on laisse tomber !
J’ai lu « Le brillant avenir » dans d’excellentes conditions, j’ai beaucoup aimé le style, les personnages. J’ai passé avec Elena de très bons moments.
La vie de l’héroïne nous est présentée en puzzle : sauts en arrière, bonds en avant… on a du mal à suivre. L’intérêt du livre réside dans la psychologie des personnages, des femmes surtout, leur force, leur faiblesses, le grand amour qu’elles portent à leur homme, à leur enfant. Également dans le poids des racines, roumaines, juives, ou françaises, si différentes. Le style est simple certes, mais a le mérite d’en faciliter la lecture, et convient à cette longue histoire où s’intercalent des petites réflexions anodines mais pleines de vérité sur le caractère féminin. Paul a raison : c’est plutôt un livre pour dames…
Une saga en trop de mots, trop d’effets qui perd son lecteur dans ce va et vient constant entre le passé et le présent. Ne manque pas néanmoins d’intérêts dans ses parallèles historiques.
J’ai utilisé tous mes marque-pages pour arriver à suivre la chronologie : fatigant.
Le style est basique, mais l’histoire intéressante même si la partie américaine n’est pas très évocatrice de ce pays.
Je suis assez déçue.
Moi ce livre m’a passionné comme d’ailleurs beaucoup de livres écrits par des femmes.
Héléna a traversé des adversités sans nombre et chaque fois elle a pris son courage à deux mains pour permettre à son fils et son mari d’accéder à de meilleures conditions de vie.
Elle s’est battue avec hargne tant sur le plan familial que professionnel remuant ciel et terre pour conquérir son eldorado…
Quelques moments de découragement, de lassitude me semblent bien pardonnables de même que son instinct de véritable louve qui tente de protéger à outrance son fils même en rejettant de prime abord sa future belle fille!
Le style direct ne m’a pas gêné du tout de même que le décrochage systématique du récit.
Pas difficile à suivre du tout pour ma part