terriblement confus : des noms propres impossibles à mémoriser une famille compliquée ; quelques notions de la vie difficile avec les castes, les ambiguïtés de situations familiales, la troisième partie, avec moins de personnages devient intéressante, éclairant un peu les conditions difficiles de la vie en Inde szous domination britannique. Est-ce beaucoup mieux actuellement ? -3-
Vraiment ravie de commencer le circuit et l’année 2012 avec ce livre sublime !
Il est facile à lire car bien écrit, parfois très poétique. C’est une saga familiale simple dans la masure où sont mis en scène un couple avec leurs deux fils, les belles-filles et, une seule petite fille; et autour de la famille les domestiques, un orphelin, et quelques voisins. Si le couple des parents vit de façon assez repliée sur elle-même, ce livre nous permet cependant de bien voyager grâce aux enfants dans le pays, au mileu des maisons, des jardins et de ses arômes, dans la nature sauvage, mais aussi dans la vie industrielle et commerciale. Tout de la vie quotidienne est décrite : le mode de la vie indienne, les habits, les bijoux, la nourriture, les coutumes, les castes, les façons de vivre au rythme des saisons (mousson, inondation, etc.) sont décrits avec minutie et légèreté. L’Angleterre et la partition de lInde et du Bangladesh sont abordés de façon simple. L’intrigue est soutenue jusqu’au bout du livre que j’ai trouvé trop court ! J’ai volé de page en page ! Merci infiniment de ce choix judicieux que je note bien spontanément 5, voire 5 +++.
Encore un très bon roman que j’ai dévoré d’une traite : saga familiale, portrait détaillé de l’Inde à travers les personnages divers, découverte de ce pays aux multiples facettes, c’est un livre foisonnant, odorant, coloré !
l’ayant lu avant un voyage en Inde, ce livre m’a éclairée et j’ai retrouvé sur place foule de détails,de situations, d’éclaircissements déja rencontrés dans ce livre que j’ai dévoré.
Très intéressant sur ce pays où seule la caste compte. Que peut être une personne n’entrant dans aucune caste, une personne de sang mêlé ? La valeur de la personne paraît sans grande importance. . . La partition du pays avec ce que cela entraîne d’inégalité et de violence nous est très bien restitué.
Le roman nous raconte le fossé entre les différentes castes à travers l’Inde bourgeoise qui s’affaire, s’ennuie,s’affronte, dans et autour de la maison d’Amulya, chef d’entreprise, et l’Inde des domestiques.
Ce livre aide-t-il vraiment à comprendre l’hisroire de l’Inde ? Quelques timides allusions traversent le récit.
Sommes-nous plus renseignés sur la vie quotidienne ? Peut-être un peu plus : rôle de la mère, des fils et belles-filles,
relations avec les britanniques. C’est malgré tout une » saga familiale comme on en a lue beaucoup, ne serait-ce que » Cent ans » lu il y a un mois, et c’est encore une traduction.
Une histoire familiale en Inde entre 1907 et 1960. Tout part de, et revient aux, destins de deux maisons. L’une est belle et vide (seulement occupée par un grand-père) car inondée par le Gange. L’autre est laide et isolée, mais lieu de vie familiale. Certains personnages ont des passions : le père, Anulya, celle des fleurs, le fils, Nirmal, celle de l’archéologie. Le quotidien est vu ay travers de la vie des femmes et rythmé par les repas qu’elles préparent.
Cela se lit vite et sans difficulté même si l’intrigue est maladroite. Les personnages prennent systématiquement les décisions qui nuisent à leurs proches, jusqu’au moment où cela se précipite vers un happy end très artificiel.
Le point de vue n’est pas constant : les deux premières parties sont racontées par un narrateur extérieur omniscient, la troisième par un des personnages. Cela introduit une sorte d’instabilité pour le lecteur.
On a souvent l’impression que c’est l’Inde décrite pour les non Indiens, censés faire une immersion dans la culture indienne. Tout ça est dommage car il y a de jolies choses, mais ce paquet disparate reste informe.
Tout a déjà été dit précédemment; je n’ajouterai rien de plus si ce n’est mon intérêt pour ce roman passionnant sur la culture et les conditions de vie en Inde. Il est vrai que du point de vue littéraire, j’ai été surprise par le décalage de la dernière partie écrite à la première personne alors que les autres émanaient d’un observateur extérieur.
Mais cela reste une plongée passionnante dans ce pays si contrasté.
très bon roman qui se lit avec tout le plaisir de l’évocation d’un pays, des différences de castes, de vies, avec des couleurs, des odeurs et des personnages auxquels on s’attache.
L’atmosphère de l’Inde de cette epoque est bien rendue, entre autre les conditions météorologiques sources d’inondations dramatiques et prejudiciables. Magnifiques descriptions!. Par contre, le happy end est tellement attendu qu’il nuit à l’interet porte à la culture et aux conditions de vie en Inde insuffisamment décrites….Il s’agit vraiment d’un roman avec sa connotation négative….
terriblement confus : des noms propres impossibles à mémoriser une famille compliquée ; quelques notions de la vie difficile avec les castes, les ambiguïtés de situations familiales, la troisième partie, avec moins de personnages devient intéressante, éclairant un peu les conditions difficiles de la vie en Inde szous domination britannique. Est-ce beaucoup mieux actuellement ? -3-
Vraiment ravie de commencer le circuit et l’année 2012 avec ce livre sublime !
Il est facile à lire car bien écrit, parfois très poétique. C’est une saga familiale simple dans la masure où sont mis en scène un couple avec leurs deux fils, les belles-filles et, une seule petite fille; et autour de la famille les domestiques, un orphelin, et quelques voisins. Si le couple des parents vit de façon assez repliée sur elle-même, ce livre nous permet cependant de bien voyager grâce aux enfants dans le pays, au mileu des maisons, des jardins et de ses arômes, dans la nature sauvage, mais aussi dans la vie industrielle et commerciale. Tout de la vie quotidienne est décrite : le mode de la vie indienne, les habits, les bijoux, la nourriture, les coutumes, les castes, les façons de vivre au rythme des saisons (mousson, inondation, etc.) sont décrits avec minutie et légèreté. L’Angleterre et la partition de lInde et du Bangladesh sont abordés de façon simple. L’intrigue est soutenue jusqu’au bout du livre que j’ai trouvé trop court ! J’ai volé de page en page ! Merci infiniment de ce choix judicieux que je note bien spontanément 5, voire 5 +++.
Encore un très bon roman que j’ai dévoré d’une traite : saga familiale, portrait détaillé de l’Inde à travers les personnages divers, découverte de ce pays aux multiples facettes, c’est un livre foisonnant, odorant, coloré !
Problème de l’Inde et ses castes… toujours d’actualité.
L’histoire traine un peu au début, 2nde moitié plus intéressante
l’ayant lu avant un voyage en Inde, ce livre m’a éclairée et j’ai retrouvé sur place foule de détails,de situations, d’éclaircissements déja rencontrés dans ce livre que j’ai dévoré.
Je me suis arrêtée à la 1ère partie. Je n’ai pas « accrochée » . Dommage!
Une belle decouverte de l inde. 1ere partie une peu lente. La fin est plus interessante. Bien ecrit.
Très intéressant sur ce pays où seule la caste compte. Que peut être une personne n’entrant dans aucune caste, une personne de sang mêlé ? La valeur de la personne paraît sans grande importance. . . La partition du pays avec ce que cela entraîne d’inégalité et de violence nous est très bien restitué.
Le roman nous raconte le fossé entre les différentes castes à travers l’Inde bourgeoise qui s’affaire, s’ennuie,s’affronte, dans et autour de la maison d’Amulya, chef d’entreprise, et l’Inde des domestiques.
Ce livre aide-t-il vraiment à comprendre l’hisroire de l’Inde ? Quelques timides allusions traversent le récit.
Sommes-nous plus renseignés sur la vie quotidienne ? Peut-être un peu plus : rôle de la mère, des fils et belles-filles,
relations avec les britanniques. C’est malgré tout une » saga familiale comme on en a lue beaucoup, ne serait-ce que » Cent ans » lu il y a un mois, et c’est encore une traduction.
Une histoire familiale en Inde entre 1907 et 1960. Tout part de, et revient aux, destins de deux maisons. L’une est belle et vide (seulement occupée par un grand-père) car inondée par le Gange. L’autre est laide et isolée, mais lieu de vie familiale. Certains personnages ont des passions : le père, Anulya, celle des fleurs, le fils, Nirmal, celle de l’archéologie. Le quotidien est vu ay travers de la vie des femmes et rythmé par les repas qu’elles préparent.
Cela se lit vite et sans difficulté même si l’intrigue est maladroite. Les personnages prennent systématiquement les décisions qui nuisent à leurs proches, jusqu’au moment où cela se précipite vers un happy end très artificiel.
Le point de vue n’est pas constant : les deux premières parties sont racontées par un narrateur extérieur omniscient, la troisième par un des personnages. Cela introduit une sorte d’instabilité pour le lecteur.
On a souvent l’impression que c’est l’Inde décrite pour les non Indiens, censés faire une immersion dans la culture indienne. Tout ça est dommage car il y a de jolies choses, mais ce paquet disparate reste informe.
Tout a déjà été dit précédemment; je n’ajouterai rien de plus si ce n’est mon intérêt pour ce roman passionnant sur la culture et les conditions de vie en Inde. Il est vrai que du point de vue littéraire, j’ai été surprise par le décalage de la dernière partie écrite à la première personne alors que les autres émanaient d’un observateur extérieur.
Mais cela reste une plongée passionnante dans ce pays si contrasté.
très bon roman qui se lit avec tout le plaisir de l’évocation d’un pays, des différences de castes, de vies, avec des couleurs, des odeurs et des personnages auxquels on s’attache.
L’atmosphère de l’Inde de cette epoque est bien rendue, entre autre les conditions météorologiques sources d’inondations dramatiques et prejudiciables. Magnifiques descriptions!. Par contre, le happy end est tellement attendu qu’il nuit à l’interet porte à la culture et aux conditions de vie en Inde insuffisamment décrites….Il s’agit vraiment d’un roman avec sa connotation négative….
Une très belle saga familiale que j’ai lue avec bonheur. La complexité de la société indienne est décrite avec brio.
J’étais convaincue que j’allais aimer et il n’en fut rien. Je n’ai absolument pas accroché.