J’ai été déçue par ce livre. Au départ, le sujet est bon, mais le roman est mal construit et on se perd dans les changements impromptus de périodes et de narrateurs. Les personnages n’ont pas de consistance ou de réalité. Pas de véritable suspense, beaucoup de longueurs. Assez ennuyeux.
Ma note est somme toute trop généreuse… C’est vrai que le récit est ennuyeux, qu’il fait atteindre les 50 dernières pages pour commencer à entrevoir ce qui a provoqué l’accroc dans le destin de certains des personnages et la lente dégradation de cette petite communauté qui connaissait un certain art de vivre paisible sous la domination française….
Si le titre avait l’air quelque chose d’alléchant, promesse un peu aventureuse ?,l’aventure n’était pas ce que j’espérais, encore moins motivée dans les premiers pas, ah oui c’était vraiment une ennuyeuse ‘après-midi dans le désert : je m’y suis vite perdue ensablée découragée, et assoiffée de lire un autre livre. ok je ne suis pas une grande dévoratrice de livres tout style, ce n’est pas le mien apparemment sos si quelqu’un a aimé peut-il sauver la valeur de ce livre qui le mérite peut-être…Y aura t’il un 5 ?
Oui Laetitia, c’est, pour moi, la meilleur séléction de la B O depuis que j’en fait partie.
Il est intéressant de consulter les sites internet concernant cet auteur.
Même si parfois l’écriture est déroutante, j’ai aimé ce livre. Je retrouve l’Histoire que j’ai cotoyée depuis ma naissance. Le petit milieu colonial est fort bien dépeint. Le clan formé, la peur de l’Autre, la sagesse de la population du pays, la folie des nouveaux dirigeants…. et une merveilleuse histoire d’amour
C’est émouvant, troublant et le petit milieu colonial bien décrit (pour l’avoir cotoyé plus ou moins en Afrique).Les varis relations humaines se situant à des lustres des décisions des hommes de pouvoir. Un oasis de calme au milieu du désert et soudainement des hommes sont emportés par les conséquences de décisions désastreuses. Le récit est peut-être un peu difficile à suivre au début mais la fin se lit d’une traite.
Je suis de l’avis de SK, j’ai du m’accrocher pour suivre le fil de l’histoire. Ce que j’ai préféré c’est la description de cette oasis, et l’ambiance coloniale.
Agréable roman, même si j’ai eu du mal à entrer dans l’ambiance, à repérer tous les personnages et à situer les différents moments de l’action ; il y a de belles descriptions et un certain suspense …
Indéniablement c’est un livre dont l’écriture est belle et poétique, mais on a du mal à entrer dans l’histoire… Sans doute à cause de ces va-et-vient permanents entre les époques et les narrateurs, ces innombrables questions laissées en suspens pendant trop de pages, tous ces points de suspension, puis de brusques accélérations là où on attendait des dévéloppements plus fournis (par exemple pour la Grande Catastrophe). Je me suis un peu perdue et ennuyée à la lecture de ce livre mais je l’ai quand même terminé grâce à sa qualité littéraire.
Un peu même genre de sentiments après l’avoir lu, que dans » Nuit de noces « . Bien écrit, aisé à lire, que je relirai éventuellement si l’occasion m’en est donnée mais je ne me suis pas retrouvée dans le personnage principal, que j’ai du mal à appeler héros, ce facteur qui préfère rêver à son histoire que continuer à la vivre. Je reste sur ma faim, ce qui est sans doute le but de l’auteur.
Bien aimé. Les relations humaines entre « colonisés » et colonisateurs » semblent tout à fait croyables… et dévoilent en fait les raisons pour lesquelles les peuples luttent pour leur indépendance. Cependant, la nostalgie du « temps des européens » est présente tout au long du livre…
Très beau récit sous forme de conte.
Beau style qui respire le désert, la joie de vivre, l’amour, la furie des évènements.
Sans y toucher, représentation du racisme ordinaire, de la distance entre les français et les indigènes.
Amour de cette terre d’Afrique du Nord.
J’ai beaucoup apprécié ce roman. Meme si, au debut, j’ai eu un peu de mal à me plonger dans ce va et vient entre le présent et le passé, j’ai très vite dévoré ce livre. L’auteur nous décrit avec grande sensibilité cet équilibre entre colonisateurs et colonisés, cet oasis de paix, ces évènements bouleversants…Tres beau recit!
le style est fort intéressant, à la fois poétique, familier et étrange comme l’histoire de ce livre : le désert où chacun peut se trouver – combien de livres extraordinaires a-il inspiré : Le Clézio…. -, les personnages qui se racontent chacun avec un style particulier et les relations si particulières des habitants de l’oasis, français, berbères, exilés, colonisateurs et colonisés, … c’est ce genre de livre que je n’aurais sans doute jamais lu si la bibliothèque ne l’avait pas amené chez moi et qui ouvre la porte sur les autres…merci
Un après-midi dans le désert – (Mustapha Tlili)
Les avis contrastés se comprennent. J’ai beaucoup aimé l’évocation, bien écrite et sans doute bien informée, d’une oasis à la fin de l’ère coloniale, et du chaos qui a suivi. Mais certains personnages apparaissent comme derrière un voile: qui est réellement Ursuline? On lui donne un visage et un corps; mais derrière? Plus ennuyeux, l’incertitude où on se trouve constamment: à laquelle des deux époques visées se situe ce nouveau chapitre? Cette sorte de devinette est aussi inutile qu’agaçante. Je ne peux mettre plus de 3.
Dans la verve du conteur, une belle histoire où l’on se perd parfois. Une trame de décolonisation très légère, sans drames autres que ceux des personnages . La vraisemblance laisse à désirer mais peut être doit on se transporter à un niveau supérieur d’abstraction…
Tout m’a paru factice : la cohabitation idyllique entre les légionnaires et les indigènes, le récit d’un bédouin illettré qui parle comme un livre, un petit garçon qui tombe malade providentiellement en France. L’histoire traîne en longueur. Le lecteur est appâté par des allusions « vous allez voir ce qui va se passer… » J’ai été eue. Je suis allée jusqu’au bout et j’ai perdu mon temps.
J’ai bcp aimé ce roman, qui colle selon moi à la réalité.
Histoire de racisme ordinaire comme le dit bien Marie-Claire.
Emouvant, poétique, histoire de rencontres et de pertes, souvenirs, extrême sensibilité, cruauté de l’Homme, la vie quoi!
J’ai été déçue par ce livre. Au départ, le sujet est bon, mais le roman est mal construit et on se perd dans les changements impromptus de périodes et de narrateurs. Les personnages n’ont pas de consistance ou de réalité. Pas de véritable suspense, beaucoup de longueurs. Assez ennuyeux.
Ma note est somme toute trop généreuse… C’est vrai que le récit est ennuyeux, qu’il fait atteindre les 50 dernières pages pour commencer à entrevoir ce qui a provoqué l’accroc dans le destin de certains des personnages et la lente dégradation de cette petite communauté qui connaissait un certain art de vivre paisible sous la domination française….
Si le titre avait l’air quelque chose d’alléchant, promesse un peu aventureuse ?,l’aventure n’était pas ce que j’espérais, encore moins motivée dans les premiers pas, ah oui c’était vraiment une ennuyeuse ‘après-midi dans le désert : je m’y suis vite perdue ensablée découragée, et assoiffée de lire un autre livre. ok je ne suis pas une grande dévoratrice de livres tout style, ce n’est pas le mien apparemment sos si quelqu’un a aimé peut-il sauver la valeur de ce livre qui le mérite peut-être…Y aura t’il un 5 ?
Oui Laetitia, c’est, pour moi, la meilleur séléction de la B O depuis que j’en fait partie.
Il est intéressant de consulter les sites internet concernant cet auteur.
Même si parfois l’écriture est déroutante, j’ai aimé ce livre. Je retrouve l’Histoire que j’ai cotoyée depuis ma naissance. Le petit milieu colonial est fort bien dépeint. Le clan formé, la peur de l’Autre, la sagesse de la population du pays, la folie des nouveaux dirigeants…. et une merveilleuse histoire d’amour
C’est émouvant, troublant et le petit milieu colonial bien décrit (pour l’avoir cotoyé plus ou moins en Afrique).Les varis relations humaines se situant à des lustres des décisions des hommes de pouvoir. Un oasis de calme au milieu du désert et soudainement des hommes sont emportés par les conséquences de décisions désastreuses. Le récit est peut-être un peu difficile à suivre au début mais la fin se lit d’une traite.
Je suis de l’avis de SK, j’ai du m’accrocher pour suivre le fil de l’histoire. Ce que j’ai préféré c’est la description de cette oasis, et l’ambiance coloniale.
Agréable roman, même si j’ai eu du mal à entrer dans l’ambiance, à repérer tous les personnages et à situer les différents moments de l’action ; il y a de belles descriptions et un certain suspense …
Indéniablement c’est un livre dont l’écriture est belle et poétique, mais on a du mal à entrer dans l’histoire… Sans doute à cause de ces va-et-vient permanents entre les époques et les narrateurs, ces innombrables questions laissées en suspens pendant trop de pages, tous ces points de suspension, puis de brusques accélérations là où on attendait des dévéloppements plus fournis (par exemple pour la Grande Catastrophe). Je me suis un peu perdue et ennuyée à la lecture de ce livre mais je l’ai quand même terminé grâce à sa qualité littéraire.
Un peu même genre de sentiments après l’avoir lu, que dans » Nuit de noces « . Bien écrit, aisé à lire, que je relirai éventuellement si l’occasion m’en est donnée mais je ne me suis pas retrouvée dans le personnage principal, que j’ai du mal à appeler héros, ce facteur qui préfère rêver à son histoire que continuer à la vivre. Je reste sur ma faim, ce qui est sans doute le but de l’auteur.
Bien aimé. Les relations humaines entre « colonisés » et colonisateurs » semblent tout à fait croyables… et dévoilent en fait les raisons pour lesquelles les peuples luttent pour leur indépendance. Cependant, la nostalgie du « temps des européens » est présente tout au long du livre…
Très beau récit sous forme de conte.
Beau style qui respire le désert, la joie de vivre, l’amour, la furie des évènements.
Sans y toucher, représentation du racisme ordinaire, de la distance entre les français et les indigènes.
Amour de cette terre d’Afrique du Nord.
J’ai beaucoup apprécié ce roman. Meme si, au debut, j’ai eu un peu de mal à me plonger dans ce va et vient entre le présent et le passé, j’ai très vite dévoré ce livre. L’auteur nous décrit avec grande sensibilité cet équilibre entre colonisateurs et colonisés, cet oasis de paix, ces évènements bouleversants…Tres beau recit!
le style est fort intéressant, à la fois poétique, familier et étrange comme l’histoire de ce livre : le désert où chacun peut se trouver – combien de livres extraordinaires a-il inspiré : Le Clézio…. -, les personnages qui se racontent chacun avec un style particulier et les relations si particulières des habitants de l’oasis, français, berbères, exilés, colonisateurs et colonisés, … c’est ce genre de livre que je n’aurais sans doute jamais lu si la bibliothèque ne l’avait pas amené chez moi et qui ouvre la porte sur les autres…merci
Un après-midi dans le désert – (Mustapha Tlili)
Les avis contrastés se comprennent. J’ai beaucoup aimé l’évocation, bien écrite et sans doute bien informée, d’une oasis à la fin de l’ère coloniale, et du chaos qui a suivi. Mais certains personnages apparaissent comme derrière un voile: qui est réellement Ursuline? On lui donne un visage et un corps; mais derrière? Plus ennuyeux, l’incertitude où on se trouve constamment: à laquelle des deux époques visées se situe ce nouveau chapitre? Cette sorte de devinette est aussi inutile qu’agaçante. Je ne peux mettre plus de 3.
Dans la verve du conteur, une belle histoire où l’on se perd parfois. Une trame de décolonisation très légère, sans drames autres que ceux des personnages . La vraisemblance laisse à désirer mais peut être doit on se transporter à un niveau supérieur d’abstraction…
Tout m’a paru factice : la cohabitation idyllique entre les légionnaires et les indigènes, le récit d’un bédouin illettré qui parle comme un livre, un petit garçon qui tombe malade providentiellement en France. L’histoire traîne en longueur. Le lecteur est appâté par des allusions « vous allez voir ce qui va se passer… » J’ai été eue. Je suis allée jusqu’au bout et j’ai perdu mon temps.
J’ai bcp aimé ce roman, qui colle selon moi à la réalité.
Histoire de racisme ordinaire comme le dit bien Marie-Claire.
Emouvant, poétique, histoire de rencontres et de pertes, souvenirs, extrême sensibilité, cruauté de l’Homme, la vie quoi!
pardon – j’a noté 4 et non 3