Surface
O. NOREK
Olivier Norek – Michel Lafon
Olivier Norek nous emmène sur les traces d’une capitaine de police défigurée lors d’une fusillade. Sa hiérarchie l’envoie se mettre au vert en Aveyron pour une mission prétendument tranquille. Mais la découverte d’un cadavre au fond de l’eau fait resurgir de vilaines affaires. Tout finit par remonter à la surface.
Des personnages qui manquent d’épaisseur et de nuance psychologique.
Le début est très prometteur…Alors on continue…C’est long, trop long, compliqué, on se perd dans les personnages, et on est content d’arriver au bout!!! Dommage!
Intrigue au suspense maintenu jusqu’aux dernières pages. Personnages principaux attachants.
un bon polar, facile à lire, tranquille
Superbe
Un bon moment
Un fût qui émerge soudainement des profondeurs d’un lac, c’est le passé d’un village qui remonte à la surface. Un visage défiguré par la brutalité d’un coup de feu, c’est le futur d’une capitaine de police qui doit se reconstruire (ça, c’est pour la prise en charge du traitement post traumatique par les psys du groupe de lecture…).
Cette histoire vous mènera jusqu’au bout de la nuit tant elle est addictive et ce sont les toutes dernières lignes qui vous livreront la clé de la vérité.
Bonne nuit.
Excellent polar . Ne le loupez pas.
Merci Didier tant pour le clin d’oeil au trauma mais aussi pour ton commentaire sur la métaphore entre ce village et la policière défigurée. Polar à l’écriture tonique où s’entrecroisent intrigue, réalité de terrain, psychologie des personnages, dégats du traumatisme, suspens, Donne envie de lire ses autres livres
Note 4 . Moi qui ne suis pas fana de polar
Je me suis laissée prendre par les meandres de l intrigue.
Une jeune capitaine de la police défigurée et mise sur la touche dans l’Aveyron, débarque à Decazeville aussi déboussolée par cette destination perdue que par la nouvelle vie qu’elle doit mener pour apprivoiser sa propre image. La découverte de corps dans le lac artificiel qui réveille tout un passé immergé un quart de siècle auparavant va lui permettre de faire ressurgir son énergie vitale. Le ton est alerte et direct à l’image de cette héroïne qui n’a rien à perdre. L’intrigue est cohérente et bien menée sauf peut-être la fin qui fait surgir un ultime – dans tous les sens du terme – coupable et celui-là est peu crédible. C’est un joli livre de vacances et une ode à l’Aveyron.
Un roman très bien construit avec des rebondissements successifs, et surtout des personnages aux caractères très variés dont les sentiments évoluent au cours du récit. Un autre atout est la parfaite connaissance du milieu policier dont l’auteur est issu, connaissance enrichie par sa documentation exacte sur des secteurs qu’il connaît peu, comme la Brigade Fluviale de Paris par exemple. À cela s’ajoute une description de la vie provinciale telle qu’on peut l’imaginer. Note : 5
Une écriture vive, directe au service d’un polar aux multiples rebondissements.
Un cadavre est retrouvé dans un lac en Aveyron. Noémie CHASTAIN enquête. Un policier bien écrit, bien mené, passionnant du début à la fin.
Pour moi qui aime le polar, j’avais découvert cet auteur sélectionné par la BO l’année dernière. Une vrai découverte et ce roman est tout aussi captivant : une belle intrigue bien construite, soutenue par une écriture ciselée dans le cadre des paysages et de la vie d’un village de l’Aveyron. Un livre à l’opposé du précédent et c’est un bon signe. Du coup j’ai lu ses autres romans parus : un Michael CONNELY à la française.
Note 4
Super génial, un choix du roi!
Excellent polar qu’on n’a pas envie de s’arrêter de lire. Note 5. Bon choix du comité de lecture
Le polar n’est pas le genre que je préfère, j’ai mis 2 mais c’est peut-être un peu sévère. Je rejoins ceux qui trouvent que les personnages sont sommairement brossés, le récit trop long et l’enquête un brin trop tarabiscotée. Cependant le charme de l’Aveyron (2nd roman de la sélection dans ce territoire, y aurait-il des Aveyronnais dans le comité de lecture ?) et le style énergique de l’auteur compensent. On est loin quand-même d’un chef d’oeuvre.