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Quand Dieu boxait en amateur
G. BOLEY

Guy Boley – Grasset

Besançon, années 50. Le narrateur raconte l’amitié qui lie son père forgeron, amoureux des mots et peu porté sur la religion, avec un prêtre qui réussit à le convaincre de jouer le rôle de Jésus-Christ dans un spectacle paroissial. Un texte tendre et tragique à la fois.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

18 thoughts on “Quand Dieu boxait en amateur”

  1. Poque

    Un petit chef d’œuvre ! Après une première partie pleine d’humour, suit une seconde plus réaliste où subsistent malgré tout quelques images savoureuses. Puis le roman s’achève sur une troisième partie chargée d’une émotion sincère qui fait parfois monter les sanglots au bord des lèvres du lecteur ou tout au moins lui serrent la gorge. Note 5 sans hésiter.

  2. Caravatte

    Après une première partie rythmée et ponctuée d’humour et de poésie, j’ai décroché! L’auteur m’a totalement perdue. Je ne savais pas où il voulait nous emmener, le ton et l’ecriture étaient changés. Bref, au final, une déception

  3. Buci

    Plus que le récit d’une amitié entre deux gamins poursuivie à l’âge adulte , Guy Boley raconte l’histoire d’ un amour filial . Le personnage principal , forgeron, boxeur amateur, ami du père abbé, gloire locale sur la scène du théâtre paroissial ,c’est son père. L’auteur rend un vibrant hommage à son père, qui s’est battu, qui s’est élevé mais que le destin a mis KO. Si l’histoire est émouvante et décrit parfaitement la classe ouvrière des années 60
    c’est le style , la qualité de l’écriture de Guy Boley qui m’ont le plus impressionnée.

  4. Pauline

    Un petit livre drôle et émouvant à la fois.

  5. GENEVIEVE R.

    J’ai dévoré ce livre en deux heures…De l’humour, de la tendresse et un bel hommage à un père…
    Un portrait intéressant et sensible d’une classe ouvière qui a complètement disparu …
    Il me semble qu’im pourrait être lu à voix haute…
    note : 4

  6. Tournier Michelle

    J’ai beaucoup aimé ce livre plein d’humour et souvent très émouvant. Un fils qui célèbre son père ainsi, c’est très beau.
    note 4

    1. ANNIE 75

      Après tous ces commentaires élogieux ,j ai ressenti une déception , comme le deuxième commentaire j ai vite décroché ,lu jusqu au bout mais péniblement ,pas du tout convaincue .

  7. ANNIE 75

    Après tous ces commentaires élogieux ,j ai ressenti une déception , comme le deuxième commentaire j ai vite décroché ,lu jusqu au bout mais péniblement ,pas du tout convaincue .

  8. bellemeunière78

    Un livre très touchant sur l’amitié et l’amour entre père et fils.

  9. Marie L.

    Ce livre ne me laissera sans doute aucun souvenir. Le fil de l ‘histoire est par trop décousue et le style qui se veut original ne m’a semblé que pédant. L’auteur ne parait sincère que sur quelques pages, quand il oublie des’écouter écrire. Une vraie déception, heureusement que le livre est court. Note 2

  10. Marie-Hélène

    Pour moi, ce fut le contraire, plus j’avançais, plus j’étais happée par le récit ! Je n’ai mis que 4 que parce que j’ai eu un peu de mal à entrer dans l’univers de ce fils qui raconte son père. Les personnages sont très attachants et touchants.
    A ceux qui ne l’ont pas encore lu, je conseille d’aller jusqu’au bout !

  11. FGS

    Livre amusant et émouvant. Un père raconté par son fils, un boxeur et un forgeron. Une belle histoire Note : 3

  12. Michel78

    C’est un double hommage : filial à son père, mais aussi à son milieu social de cheminots vosgiens des années 50. L’écriture est assez poétique, même si l’on sent bien que l’auteur si complait avec beaucoup de recherche. Un ouvrage bien ciselé !
    Note 3

  13. Anna

    Je n’ai pas réussi à m’intéresser à ce livre….

  14. ELISABETH BERGERON

    On a là un ouvrage excessivement bien écrit. Après les quatre premières pages, un régal, on se dit que l’auteur a juste bien retravaillé le début, mais non. La suite est à la hauteur et permet de décrire René, le père, dans son humanité, dans ses évolutions, dans sa complexité. On rit, beaucoup, on pleure aussi et on revisite ces destins courageux d’artisans travailleurs mais aussi d’êtres qui auraient aimé, et qui auraient été capables, d’accéder à davantage de culture. Alors le sentiment d’injustice se dégage mais l’auteur laisse le lecteur penser ce qu’il veut, s’arrêtant avec son père sur les définitions lues et relues dans le dictionnaire Larousse.
    On est loin des jérémiades culpabilisatrices de Annie Ernaux, du règlement de compte de Didier Eribon et du côté affectif de Fottorino. Il me semble que le juste ton a été trouvé à la fois pour rendre hommage à son père, faire le bilan de leur relation et retracer à travers lui la France provinciale post seconde guerre mondiale, sans compter un hommage à la langue française partagé par le père et le fils.
    J’ai noté 4, c’est rare.

  15. Vero 73

    Petite perle . Humour , écriture vive et réjouissante
    J en redemande !

  16. Annie Serra-lechat

    Pour toute personne qui a “perdu” ses parents, un livre profond, sensible, humain, d’un humour douloureux, qui ravive avec art les émotions liées à la perte. Merci Monsieur Boley.

  17. Annie Serra-lechat

    Pour toute personne qui a “perdu” ses parents, un livre profond, sensible, humain, d’un humour douloureux, qui ravive avec art les émotions liées à la perte. Merci Monsieur Boley.

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