Magnifique livre qui se déguste phrase par phrase. Très belle écriture, précise, serrée. On relit avant de s’en séparer. L’histoire elle-même est fascinante. L’auteur évite de tomber dans l’orientalisme de pacotille. L’auteur de « Zone » décidément ne déçoit pas.
Belle intrigue autour d’un pont sur la Corne d’or à construire sur le Bosphore par Michel Ange! Inspiré de faits réels , Mathias Enard, par une écriture en prose, poétique mais simple nous envoute sur un passage de la vie de Michel Ange dans les contrées « d’où jaillit le liquide noir aux reflets rouges dans la lueur des lampes des saphirs qui jouent aux rubis »…. . Ce grand sculpteur saura t’il relever le défi d’architecte, »Michel Ange ne dessine pas de pont » sera t’il inspiré, saura t’il atteindre le but et sera t’il payé.que va changer cette expérience à Byzance., découvrira t’il l’amour ? »Michel Ange n’était pas très beau, le front trop haut,le nez tordu, brisé lors d’une rixe de jeunesse, les sourcils trop épais, les oreilles un peu décollées »….
« Michel Ange a peur de l’amour comme il a peur de l’enfer… »voici quelques extraits qu’il vous donnent envie d’aller de découvrir l’énigme du pont sur La Corne d’or…et quelques esquisses de la vie de ce grand sculpteur…
Et le titre vous le comprendrez en lisant évidemment le livre…
Moi aussi, j »aime qu’on me parle de batailles, de rois et d’éléphants, si en plus je côtoie Michel-Ange en pleine création, que demander de plus ? La danseuse qui séduit Michel-Ange serait-elle Schéhérazade ?
Je ne me souviens pas avoir étudié cet épisode de la vie de Michel-Ange, mais j’ai aimé le travail de l’artiste sa recherche du bon marbre, sa quête de reconnaissance et d’amour ; j’ai aimé aussi les éclairages et l’ambiance orientale que l’écrivain sait excellemment retranscrire. Un vrai bonheur à lire et à garder dans sa bibliothèque.
Quel bonheur! Un rêve, une écriture magnifique, une atmosphère poétique. Je rejoins les commentaires de Denise, et j’aimerais bien qu’on parle d’éléphants et de batailles.
Un vrai bonheur. Séduisante, cette écriture poètique est un régal. Et quelle érudition !
Je ne savais pas Michel-Ange célibataire, mais cette fragilité pour un homme aussi puissant, dans son art, le rend attachant. J’ai eu du mal à quitter ce livre.
Très bien écrit . Ambiance fascinante de Constantinople magnifiquement restituée. J’ignorais que le sulpteur avait été pressenti pour dessiner le pont sur le Bosphore et participer à sa construction. Cet épisode de sa vie m’était totalement inconnu….
Je veux bien reconnaitre la qualité de l’écriture mais il n’en demeure pas moins qu’aucun sentiment, aucune émotion ne m’ont traversée durant cette lecture et je ne suis même pas certaine que j’aurais été jusqu’au bout s’il avait fait 100 pages de plus. Je me réjouissais de découvrir Enard : grosse déception !
passionnant, bien écrit, vraisemblable, pourtant quid de la vérité historique. ? J’ai appris avec plaisir que les deux plus grands artistes de l’humanité avaient cohabité. Et qu’ils avaient connu l’avarice de Jules 2 !
Je n’ai pas réussi a m’extraire de l’ambiguïté permanente qui règne dans cette oeuvre. Pourquoi, en effet décrire l’homosexualité de Michel-Ange alors que le génie de ses créations vaut tellement plus. En clair, je préfère contempler sa Piéta ou sa Chapelle Sixtine plutôt que de connaitre une pseudo vie privée de l’artiste.
Tout à fait d’accord avec j m val d’oise : ce livre bien écrit sur un sujet original est gâché pour moi par une complaisance inutile^à l’égard des ébats nocturnes de Michel-Ange qui n’intéressent personne…Autrement dit , je suis de l’avis de Proust « contre Sainte-Beuve » et ses ragots de concierge !
Magnifique… comme une oeuvre du héros de ce roman ! J’ai lu ce livre deux fois, sans m’en lasser. La personnalité complexe de Michel Ange et des personnages secondaires, l’intrigue, l’ambiance de la ville de Constantinople,… tout m’a emporté ! C’est le premier roman de Mathias Enard que je lis, et je ne suis pas déçue.
Magnifique livre qui se déguste phrase par phrase. Très belle écriture, précise, serrée. On relit avant de s’en séparer. L’histoire elle-même est fascinante. L’auteur évite de tomber dans l’orientalisme de pacotille. L’auteur de « Zone » décidément ne déçoit pas.
Tout à fait d’accord avec Christiane. Quel plaisir de lire un livre si bien écrit!
Belle intrigue autour d’un pont sur la Corne d’or à construire sur le Bosphore par Michel Ange! Inspiré de faits réels , Mathias Enard, par une écriture en prose, poétique mais simple nous envoute sur un passage de la vie de Michel Ange dans les contrées « d’où jaillit le liquide noir aux reflets rouges dans la lueur des lampes des saphirs qui jouent aux rubis »…. . Ce grand sculpteur saura t’il relever le défi d’architecte, »Michel Ange ne dessine pas de pont » sera t’il inspiré, saura t’il atteindre le but et sera t’il payé.que va changer cette expérience à Byzance., découvrira t’il l’amour ? »Michel Ange n’était pas très beau, le front trop haut,le nez tordu, brisé lors d’une rixe de jeunesse, les sourcils trop épais, les oreilles un peu décollées »….
« Michel Ange a peur de l’amour comme il a peur de l’enfer… »voici quelques extraits qu’il vous donnent envie d’aller de découvrir l’énigme du pont sur La Corne d’or…et quelques esquisses de la vie de ce grand sculpteur…
Et le titre vous le comprendrez en lisant évidemment le livre…
Moi aussi, j »aime qu’on me parle de batailles, de rois et d’éléphants, si en plus je côtoie Michel-Ange en pleine création, que demander de plus ? La danseuse qui séduit Michel-Ange serait-elle Schéhérazade ?
Je ne me souviens pas avoir étudié cet épisode de la vie de Michel-Ange, mais j’ai aimé le travail de l’artiste sa recherche du bon marbre, sa quête de reconnaissance et d’amour ; j’ai aimé aussi les éclairages et l’ambiance orientale que l’écrivain sait excellemment retranscrire. Un vrai bonheur à lire et à garder dans sa bibliothèque.
Quel bonheur! Un rêve, une écriture magnifique, une atmosphère poétique. Je rejoins les commentaires de Denise, et j’aimerais bien qu’on parle d’éléphants et de batailles.
Un vrai bonheur. Séduisante, cette écriture poètique est un régal. Et quelle érudition !
Je ne savais pas Michel-Ange célibataire, mais cette fragilité pour un homme aussi puissant, dans son art, le rend attachant. J’ai eu du mal à quitter ce livre.
Très bien écrit . Ambiance fascinante de Constantinople magnifiquement restituée. J’ignorais que le sulpteur avait été pressenti pour dessiner le pont sur le Bosphore et participer à sa construction. Cet épisode de sa vie m’était totalement inconnu….
tres beau livre historique avec une ecriture magnifique et poetique.
Alors là d’accord. Mais je l’avais déjà lu, il y a déjà pas mal de temps. Je l’ai reparcouru avec plaisir.
Merveilleux travail de recherche et d’écriture. Je l’ai commencé et terminé hier… je ne pouvais pas le lâcher.
Je veux bien reconnaitre la qualité de l’écriture mais il n’en demeure pas moins qu’aucun sentiment, aucune émotion ne m’ont traversée durant cette lecture et je ne suis même pas certaine que j’aurais été jusqu’au bout s’il avait fait 100 pages de plus. Je me réjouissais de découvrir Enard : grosse déception !
Je ne connaissais pas un séjour de Michel-Ange à Constantinople . Belle description de la vie en Orient.
Je l’avais déjà lu et l’ai relu avec plaisir! Un livre à conserver!
Un moment de beauté et de contemplation, ce livre est un vrai bijou ciselé d’une écriture impeccable.
passionnant, bien écrit, vraisemblable, pourtant quid de la vérité historique. ? J’ai appris avec plaisir que les deux plus grands artistes de l’humanité avaient cohabité. Et qu’ils avaient connu l’avarice de Jules 2 !
Extraordinaire , un bijou, pas assez de livres dans la liste de cette qualite
que dire de plus après tous ces commentaires : lu d’une traite
Je n’ai pas réussi a m’extraire de l’ambiguïté permanente qui règne dans cette oeuvre. Pourquoi, en effet décrire l’homosexualité de Michel-Ange alors que le génie de ses créations vaut tellement plus. En clair, je préfère contempler sa Piéta ou sa Chapelle Sixtine plutôt que de connaitre une pseudo vie privée de l’artiste.
Tout à fait d’accord avec j m val d’oise : ce livre bien écrit sur un sujet original est gâché pour moi par une complaisance inutile^à l’égard des ébats nocturnes de Michel-Ange qui n’intéressent personne…Autrement dit , je suis de l’avis de Proust « contre Sainte-Beuve » et ses ragots de concierge !
Magnifique… comme une oeuvre du héros de ce roman ! J’ai lu ce livre deux fois, sans m’en lasser. La personnalité complexe de Michel Ange et des personnages secondaires, l’intrigue, l’ambiance de la ville de Constantinople,… tout m’a emporté ! C’est le premier roman de Mathias Enard que je lis, et je ne suis pas déçue.