Les Suprêmes chantent le blues
E.K. MOORE
Edward Kelsey Moore – Actes Sud
Ce n’est plus le fantôme d’Eleanor Roosevelt qui va hanter Clarisse, Odette et Barbara Jane mais bien le passé d’un joueur de jazz. On retrouve avec plaisir et tendresse le trio amical découvert dans la sélection 2015 (Les Suprêmes), leurs familles et… le blues.
Très difficile de rentrer dans l’histoire, à cause de la multitude de personnages et de l’écriture haché et probablement une traduction très moyenne.
Comme pour le précédent livre sur le trio des Suprêmes tous les ingrédients y sont : une convivialité de petite ville qui s’exprime notamment lors des repas pris au restaurant du coin, une intrigue qui touche de près les héroïnes, des couches et des couches de bons sentiments, une touche de pratique religieuse et surtout une fond d’horreur dans lequel on se complaît. Les personnages ont tous connu drogue, prostitution, violence, alcool, … et tout s’explique par les passés louches et douloureux, les traumatismes venus de ces héritages insupportables. Bref, la recette est appliquée à la lettre et le tout est aussi systématique que pénible. Ah, j’oubliais ce qui rajoute au caractère pénible, la langue : un parler totalement anti-naturel. Tout sonne faux et artificiel. Exemple : « Je sais que tu n’as jamais voulu entailler la joue de James. Il le sait, je m’en suis assurée. » (page 152) C’est sûr que, par convention, ce qui est dit est transcrit autrement, mais il y a des limites.
une somme d’ennuis…
livre lu … bien déçue
les commentaires précédents ne sont guère élogieux… Pourtant moi, j’ai retrouvé avec plaisir cette bande de personnages farfelus, hauts en couleur et attachants !…
Je ne suis pas rentrée dans ce livre. J’ai essayé pourtant…
je n’y arrive pas
ne m’intéresse absolument pas
pas bien écrit et pour la première fois depuis plus de 20 ans que je suis a la BO je mets
pas lu manque d’attrait
Peut-être aurait-il fallu relire « Les Suprêmes », premier roman de cet auteur, qui était parmi la sélection de 2015, avant de se lancer dans la lecture de celui-ci et de se sentir perdu dans les premiers chapitres par cet afflux de personnages bien difficiles à tous mémoriser ? De ce fait, il m’a fallu atteindre la moitié de l’ouvrage avant de m’intéresser vraiment à leurs aventures. En résumé, une lecture un peu pénible qui fait perdre une bonne partie de la drôlerie sous-jacente. Note : 3
Bien ennuyeux et sans intérêt. ça ne vaut que 2 ou 3
C’est vraiment très brouillon et le récit est un peu difficile à suivre. Le sujet n’est pas très original et fait plutôt penser à un scénario de séries télé. On ne peut même pas se raccrocher à une bonne description d’une petite ville de l’Indiana
Note 2
Je viens de retrouver mes commentaires sur le 1er roman en 2015: les critiques concernant l’auteur sont toujours les mêmes:
roman très confus : l’intrigue se perd entre flash-back, souvenirs, fantômes…il n’y a que durant les cent dernières pages que l’on peut suivre une histoire finalement très convenue, à la mode de ces séries américaines qui nous raconte la vie sans intérêt de bandes de filles et en délaissant le problème raciale de ces années 60. On est loin de Kathryn STOCKETT avec « La couleur des sentiments » Note : 2
je pense que ce roman n’avait pas en 2015 reçu beaucoup de suffrages….Dommage que le jury de sélection persiste ainsi, trop souvent, dans ses choix et re-sélectionne les mêmes auteurs.