Un très beau livre qui nous emmène dans un monde tout à fait inconnu, nous fait découvrir d’autres modes de vie peu connus; sans oublier l’héroïne très attachante qui tente de faire le deuil de son époux disparu en montagne.
je suis très étonnée qu’Acte Sud ait publié ce livre : intérêt très limité, des longueurs à n’en plus fini, une description de la campagne indienne loin de la réalité. La vie de cette jeune indienne relève plus de la vie d’une occidentale perdue dans un village himalayen que d’une indienne en rupture de ban.
J’ai eu un peu de mal à entrer dans ce roman, mais je suis arrivée au bout, et finalement, je ne suis pas déçue. L’ambiance indienne est plutôt dépaysante.
La prise de contact avec chacun des personnages de cette communauté est un peu longue et il faut attendre à peu près la moitié du livre pour que les intrigues se nouent et donnent vraiment vie à l’ensemble. Cela réduit un peu l’intérêt de ce roman qui est bonne description de ce monde montagnard méconnu.
Il est vrai qu’il n’est pas très facile d’entrer dans ce livre, où les personnages et les intrigues se multiplient et s’entrecroisent, on se demande souvent où on va. J’ai failli ne même pas l’ouvrir au vu des commentaires précédents mais j’ai finalement pris plaisir et intérêt aux destins cabossés de ces personnages et à cette esquisse de la société indienne contemporaine. Donc je vous encourage à l’ouvrir et à persévérer !
D’accord avec les précédents arguments,les description et le mode de vie simple des montagnards indiens,mais je n’ai vraiment pas compris où voulait en venir l’auteure avec le personnage de Veer qui disparaît subitement à moins de 100 pages de la fin… bizarre, la fin est vraiment bâclée et c’est dommage.
Le vrai sujet du roman est la ville de Ranikhet, petite ville d’où on aperçoit l’Himalaya. Sur cet arrière fond se détachent diverses figures dont celle de Diwan Sahib, vieil homme au passé prestigieux qui rappelle à lui seul un monde enfui, celle d’Ama la vieille paysanne au savoir ancestral et à l’intelligence des choses et des gens et celle de Charu, la jeune fille des montagnes simple et volontaire. L’héroïne elle-même, jeune veuve institutrice déracinée, est bien émouvante dans son deuil. C’est souvent joli mais l’intrigue peine à maintenir sa tension, tout cela manque d’unité.
Renaissance dans l’Himalaya, peut être quelques longueurs.
Un très beau livre qui nous emmène dans un monde tout à fait inconnu, nous fait découvrir d’autres modes de vie peu connus; sans oublier l’héroïne très attachante qui tente de faire le deuil de son époux disparu en montagne.
un livre intéressant
mais un peu lent et trop long
long et ennuyeux, personnages difficiles à mémoriser: traduction pauvre
Le livre m’est tombé des mains et je ne l’ai pas ramassé…….
Belle description d’une petite ville de l’Himalaya et de ses habitants
je suis très étonnée qu’Acte Sud ait publié ce livre : intérêt très limité, des longueurs à n’en plus fini, une description de la campagne indienne loin de la réalité. La vie de cette jeune indienne relève plus de la vie d’une occidentale perdue dans un village himalayen que d’une indienne en rupture de ban.
J’ai eu un peu de mal à entrer dans ce roman, mais je suis arrivée au bout, et finalement, je ne suis pas déçue. L’ambiance indienne est plutôt dépaysante.
La prise de contact avec chacun des personnages de cette communauté est un peu longue et il faut attendre à peu près la moitié du livre pour que les intrigues se nouent et donnent vraiment vie à l’ensemble. Cela réduit un peu l’intérêt de ce roman qui est bonne description de ce monde montagnard méconnu.
On confond les noms des personnages. Lent
Il est vrai qu’il n’est pas très facile d’entrer dans ce livre, où les personnages et les intrigues se multiplient et s’entrecroisent, on se demande souvent où on va. J’ai failli ne même pas l’ouvrir au vu des commentaires précédents mais j’ai finalement pris plaisir et intérêt aux destins cabossés de ces personnages et à cette esquisse de la société indienne contemporaine. Donc je vous encourage à l’ouvrir et à persévérer !
D’accord avec les précédents arguments,les description et le mode de vie simple des montagnards indiens,mais je n’ai vraiment pas compris où voulait en venir l’auteure avec le personnage de Veer qui disparaît subitement à moins de 100 pages de la fin… bizarre, la fin est vraiment bâclée et c’est dommage.
Le vrai sujet du roman est la ville de Ranikhet, petite ville d’où on aperçoit l’Himalaya. Sur cet arrière fond se détachent diverses figures dont celle de Diwan Sahib, vieil homme au passé prestigieux qui rappelle à lui seul un monde enfui, celle d’Ama la vieille paysanne au savoir ancestral et à l’intelligence des choses et des gens et celle de Charu, la jeune fille des montagnes simple et volontaire. L’héroïne elle-même, jeune veuve institutrice déracinée, est bien émouvante dans son deuil. C’est souvent joli mais l’intrigue peine à maintenir sa tension, tout cela manque d’unité.