Livre interessant, le contraste entre deux cultures est parfaitement demontre et ecrit. On discerne, on comprend et on s y attache a chaque personnage. Mais je reste sur ma fin. La derniere partie ( retour au pays d amina pour ramener ses parents aux E-U) m’ a decue (passage previsibl, parfois illogique, …)
Je note ce livre 1 il y a beaucoup de livres sur des jeunes femmes « méritantes » qui quittent leur pays pour vivre à l’étranger j’ai trouvé ce livre mal écrit , bavard et ennuyeux. Et je ne l’ai pas terminé.
Signature Zeng
Les démélés de cette jeune femme, aussi bien aux Etats-Unis pour trouver un emploi, obtenir son passeport et résoudre ses problèmes conjugaux, qu’au Bangladesh pour retrouver ses parents, oublier son passé et parvenir enfin à prendre avec eux le vol du retour, deviennent vite passionnants. Leur description montre une étude attentive des milieux décrits et une excellente peinture des personnages.
Que de longueurs, même si les personnages sont attachants. Je suis d’accord avec Denise 78 : nous avons eu beaucoup de ces romans sur l’adaptation difficile à une culture étrangère et différente.
oui, c’est long…. et reprend un sujet dont la BO nous a presque saturés ces dernières années…par des romans parfois beaucoup plus intéressants que celui-ci ! qui finalamant est assez terne ! Cela dit ce genre de situations : mariages mixtes, religion et civilisation différentes sur fond de développement économique et technique amenant de grands « changements « ou au contraire des façons de se ‘raccrocher » à des habitudes différentes, crée beaucoupde conflits dépassant largement le cadre familil !
Je suis surprise de constater que ce roman a si peu emballé les lecteurs!
Certes il n’a pas la puissance narrative de l’œuvre de CN Adichie, romancière nigériane découverte par le biais de la B.O (« Autour de ton cou » dans le circuit de l’an dernier) mais tous ces récits ont pour fil conducteur l’exil aux EU de femmes issues du Tiers Monde (ici le Bangladesh), le poids des traditions, la découverte de la vie américaine et de la société d’abondance qui pour autant se préoccupe fort peu de ses personnes âgées, les relations souvent compliquées au sein de couples mixtes. Il y a également de très belles descriptions de la campagne, des odeurs, des couleurs du Bangladesh.
C’est finement vu et j’ai lu ce livre avec un grand plaisir. Je compte l’offrir autour de moi.
Difficile de voir autre chose qu’un exercice d’application d’atelier d’écriture américain. Ingrédients : une tranche de vie réelle, avec exotisme inclus, sur laquelle on applique toutes les recettes pour faire un roman : quelques événements dramatiques ici complètement plaqués par rapport à la trame du roman – que vient faire cette histoire qui ne tient pas debout entre la cousine et le mari ? Et cette pseudo histoire d’amour avec l’ami d’enfance ? – sur fond de description minutieuse de détails de la vie quotidienne américaine ou bangladaise. Le tout est mal ficela comme tout et tellement fastidieux à lire.
Il y avait là matière à un bon article-reportage de 8 pages sur les femmes du Bangladesh qui choisissent de faire leur vie ailleurs, qui choisissent une autre vie. La conclusion de l’article aurait pu porter sur ce qu’est la modernité dans la société du Bangladesh aujourd’hui … 419 pages de trop donc. Tout cela ne me réconcilie pas avec les écrivains américains et leur formatage idiot.
Je viens de finir ce gros livre dont on pourrait couper une centaine de pages. J’ai apprécié les discriptions, senti les odeurs vu les paysages du Bangladesh. L’auteur est bien documenté sur la vie au pays et aux USA.
Le poids des traditions et le désir des’adapter dans sa nouvelle vie ne va pas sans tiraillement pour cette jeune femme qui a rencontré son mari sur Internet. Qu’ils aient tous 2 une aventure ou tentation d’aventure avec une cousine d’adoption ou un ami d’enfance au pays, ne fait que souligner la différence de culture et le tiraillement entre rester au pays ou s’en aller (dans les 2 sens, Kim ou Amina).Une relation qui se construit entre les jeunes mariés.
J’ai lu ce livre avec intêret et plaisir.
ça me rassure de voir que je ne suis pas le seul à m’ennuyer dans ce livre ; j’en suis aux deux tiers et je ne suis pas sûr d’aller au bout, ce qui est rarissime chez moi… D’accord avec Françoise 91, on a déjà beaucoup lu sur ce thème et on aurait bien pu se passer de ce livre-là…
Livre interessant, le contraste entre deux cultures est parfaitement demontre et ecrit. On discerne, on comprend et on s y attache a chaque personnage. Mais je reste sur ma fin. La derniere partie ( retour au pays d amina pour ramener ses parents aux E-U) m’ a decue (passage previsibl, parfois illogique, …)
D’accord avec Caroline !
les personnages sont honnêtes et sympatiques, mais que de dialogues ennuyeux, c’est long, long, pour un sujet plutot mince finalement !
Je me suis plutôt ennuyée à la lecture de ce livre. Cela manque sérieusement de profondeur.
Je note ce livre 1 il y a beaucoup de livres sur des jeunes femmes « méritantes » qui quittent leur pays pour vivre à l’étranger j’ai trouvé ce livre mal écrit , bavard et ennuyeux. Et je ne l’ai pas terminé.
Signature Zeng
Les démélés de cette jeune femme, aussi bien aux Etats-Unis pour trouver un emploi, obtenir son passeport et résoudre ses problèmes conjugaux, qu’au Bangladesh pour retrouver ses parents, oublier son passé et parvenir enfin à prendre avec eux le vol du retour, deviennent vite passionnants. Leur description montre une étude attentive des milieux décrits et une excellente peinture des personnages.
Je me suis fermement ennuyée! J’ai tenu 110 pages avant d’interrompre la lecture. Suis tout à fait d’accord avec Lise.
Bof ! lu et relu mille fois.
Un roman de we
Intéressant, même si ce n’est pas un roman d’action … un peu comme la vie, avec des hauts et des bas, des événements et des moments moins denses …
Parfait pour les vacances : on lit……. et on oublie.
Que de longueurs, même si les personnages sont attachants. Je suis d’accord avec Denise 78 : nous avons eu beaucoup de ces romans sur l’adaptation difficile à une culture étrangère et différente.
oui, c’est long…. et reprend un sujet dont la BO nous a presque saturés ces dernières années…par des romans parfois beaucoup plus intéressants que celui-ci ! qui finalamant est assez terne ! Cela dit ce genre de situations : mariages mixtes, religion et civilisation différentes sur fond de développement économique et technique amenant de grands « changements « ou au contraire des façons de se ‘raccrocher » à des habitudes différentes, crée beaucoupde conflits dépassant largement le cadre familil !
Je suis surprise de constater que ce roman a si peu emballé les lecteurs!
Certes il n’a pas la puissance narrative de l’œuvre de CN Adichie, romancière nigériane découverte par le biais de la B.O (« Autour de ton cou » dans le circuit de l’an dernier) mais tous ces récits ont pour fil conducteur l’exil aux EU de femmes issues du Tiers Monde (ici le Bangladesh), le poids des traditions, la découverte de la vie américaine et de la société d’abondance qui pour autant se préoccupe fort peu de ses personnes âgées, les relations souvent compliquées au sein de couples mixtes. Il y a également de très belles descriptions de la campagne, des odeurs, des couleurs du Bangladesh.
C’est finement vu et j’ai lu ce livre avec un grand plaisir. Je compte l’offrir autour de moi.
Difficile de voir autre chose qu’un exercice d’application d’atelier d’écriture américain. Ingrédients : une tranche de vie réelle, avec exotisme inclus, sur laquelle on applique toutes les recettes pour faire un roman : quelques événements dramatiques ici complètement plaqués par rapport à la trame du roman – que vient faire cette histoire qui ne tient pas debout entre la cousine et le mari ? Et cette pseudo histoire d’amour avec l’ami d’enfance ? – sur fond de description minutieuse de détails de la vie quotidienne américaine ou bangladaise. Le tout est mal ficela comme tout et tellement fastidieux à lire.
Il y avait là matière à un bon article-reportage de 8 pages sur les femmes du Bangladesh qui choisissent de faire leur vie ailleurs, qui choisissent une autre vie. La conclusion de l’article aurait pu porter sur ce qu’est la modernité dans la société du Bangladesh aujourd’hui … 419 pages de trop donc. Tout cela ne me réconcilie pas avec les écrivains américains et leur formatage idiot.
Je viens de finir ce gros livre dont on pourrait couper une centaine de pages. J’ai apprécié les discriptions, senti les odeurs vu les paysages du Bangladesh. L’auteur est bien documenté sur la vie au pays et aux USA.
Le poids des traditions et le désir des’adapter dans sa nouvelle vie ne va pas sans tiraillement pour cette jeune femme qui a rencontré son mari sur Internet. Qu’ils aient tous 2 une aventure ou tentation d’aventure avec une cousine d’adoption ou un ami d’enfance au pays, ne fait que souligner la différence de culture et le tiraillement entre rester au pays ou s’en aller (dans les 2 sens, Kim ou Amina).Une relation qui se construit entre les jeunes mariés.
J’ai lu ce livre avec intêret et plaisir.
ça me rassure de voir que je ne suis pas le seul à m’ennuyer dans ce livre ; j’en suis aux deux tiers et je ne suis pas sûr d’aller au bout, ce qui est rarissime chez moi… D’accord avec Françoise 91, on a déjà beaucoup lu sur ce thème et on aurait bien pu se passer de ce livre-là…