Une petite île en indonésie, des jeunes enfants qui ont la soif d’apprendre et deux instituteurs bénévoles très charismatiques qui feront tout pour que l’école gratuite perdure dans ce village de pêcheurs.
L’auteur de ce livre était un de ces enfants, ses souvenirs sont gais et émouvants.
Très facile à lire
Magnifique livre autobiographique qui nous fait découvrir le courage de 10 élèves et de leur deux professeurs dépourvus de tous moyens dans un petit village indonésien.
Après avoir passé 2 ans en Asie du Sud Est et ayant fréquenté régulièrement ces écoles locales, j’ai été transporté par le sourire, l’espoir et la passion de ces instituteurs et ces institutrices. En effet, ils ne sont pas très bien payés et parfois pas du tout, mais ils continuent à transmettre des valeurs fondamentales humaines à ces enfants. J’ai adoré ce roman qui nous donne des leçons d’humilité..
Et comme cela a été dit précédemment, nos écoliers devraient pouvoir en prendre connaissance pour comprendre ces valeurs…
Le début a une très grande fraîcheur parce que le ton et le regard sont bien celui d’un enfant décrivant la réalité qu’il connaît, ce qui donne à celle-ci toute sa force. Ensuite, s’installe un ton un peu didactique qui nuit en fait à la force du témoignage. Entre joies d’enfant et démonstration politique on ne sait plus très bien que penser. Il y a sans doute aussi un effet du rewriting dont le manuscrit a dû être l’objet.
L’épilogue 12 ans après qui permet de boucler avec les événements révolutionnaires de 1998 en Indonésie est comme rajouté. Non vraiment ce livre a du mal à trouver le ton qui en aurait fait un livre extraordinaire évoquant la vie d’enfants indonésiens pauvres qui, avec leurs professeurs, se battent pour avoir accès à l’éducation.
J’ai vu il y a quelque temps au cinéma un documentaire magnifique intitulé « Sur le chemin de l’école » et qui décrivait les difficultés d’écoliers de différentes nationalités (marocaine, chilienne, kenyane et indienne) pour se rendre à l’école, avec des parcours qui forçaient l’admiration. Ce roman m’y a fait penser…mais ne m’a pas emballée autant que le film.
Je pense que la raison principale de la platitude du style tient au fait que le texte a dans un premier temps été traduit de l’indonésien à l’anglais, puis de l’anglais au français, ce qui me semble totalement aberrant stylistiquement parlant mais coûte sûrement moins cher à l’éditeur…C’est facile à lire, la trame est magnifique, mais la langue est banale. Dommage!
Petit bijou, puit riche d’enseignements pour tous : tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ! Un combat intemporel à mettre entre toutes les mains.
J’ai adoré ce livre qui nous fait découvrir le quotidien d’enfants d’une île d’Indonesie confrontés l’extrême pauvreté. Ces enfants vont découvrir la connaissance grâce à 2 instituteurs bénévoles qui ont à cœur de faire survivre leur école malgré toutes les difficultés qui vont se présenter a eux. Une école d’abnégation qui va donner une soif d’apprendre à ces enfants que rien ne prédestinait à apprendre à lire, compter…et bien plus.
A faire lire absolument aux élèves français………… où mieux dépensons l’argent de nos impôts à les envoyer là-bas pour qu’ils mesurent leur chance…. c’est peut être cela le remède pour relever leur niveau à leur retour ….
Un bon livre
Belle leçon pour ceux qui n’aiment pas l’école. Un bonheur de voir ces élèves et ces professeurs qui se battent.
A recommander à l’éducation nationale qui se pleind tout le temps!!!
Beaucoup aimé ce livre; quel plaisir de voir l’enthousiasme de ces enseignants et la soif d’apprendre des enfants; triste aussi de voir que la vie est la plus forte et qu’un des enfants particulièrement doué doit tout abandonner pour prendre en charge sa famille.
Belle hommage à son institutrice et elle le mérite bien. Ce livre en effet m’a rappelé les documentaires sur les enfants de différents pays, faisant des km à pieds dans des conditions dangereuses, pour aller à l’école. Note 4
facile à lire, agréable, mais pourtant un brin racoleur: la talentueuse institutrices parvient à enseigner les grands philosophes à de bons petits gars exténués par les trajets à pied ou bicyclette. Le premier prix qui orne la misérable école en ruine me parait un brin exagérée. Il n’est pas mauvais d’admirer le courage de certains pauvres, pauvreté n’est pas vice, pas vertu non plus.
Andrea HIRATA raconte d’une manière très intéressante comment deux enseignants, un homme âgé et une jeune femme ouvrent,sur une petite île perdue d’Indonésie dans une petite cahute,sans salaires,sans moyens, une petite école de dix très jeunes élèves d’origines familiales encore plus pauvres….
Dès leur première leçon,ils leurs enseignent que, grâce à la religion,on ne transige pas avec ses convictions et qu’il faut absolument vouloir réaliser ses rêves….ils veulent leur apprendre à aimer étudier et apprendre car ils souhaitent les convaincre que même si on était pauvre, on pouvait avoir une vie heureuse à partir du moment ou on savait donner plutôt que prendre…
Ces deux enseignants deviennent leurs héros discrets,prince et princesse en gentillesse et puits de science dans un champs aride oublié de tous…….ils ouvrent les coeurs de leurs élèves à la vie…..
En déclenchant leur soif d’apprendre,ils font découvrir par chacun d’eux leurs possibilités de savoir qui les exaltent et les fascinent…
Un très joli livre qui est comme une leçon de simplicité, de modestie,d’amitié profonde,de courage, de sagesse, de volonté ,de patience et de persévérance……
Une belle leçon d’optimisme et de courage ! Effectivement, ce livre est à recommander chaudement aux élèves et enseignants qui se plaignent souvent de l’état « déplorable » de l’éducation en France, même s’il faut relativiser : les conditions de vie ne sont pas vraiment les mêmes. Pour ma part, l’épilogue ne m’a pas gêné, au contraire, c’est une autobiographie, et il est intéressant de savoir ce que sont devenus ces enfants.
Un très beau roman, agréable à lire.
Ces » Guerriers de l’arc en ciel » et leurs deux enseignants nous font réaliser la chance que nous avons eue d’aller à
l’école. Serions-nous de sales gosses trop gâtés pour l’oublier ?
C’est le récit d’une bataille des plus pauvres pour l’instruction. Cette école menacée par la vétusté, par l’inspecteur, par les mines d’étain, réussit à survivre grâce à la volonté de ses deux enseignants qui mènent un véritable combat pour l’éducation de ces enfants déshérités, mais aussi la volonté de ces enfants eux-mêmes, habités par un immense appétit de savoir. Un livre passionnant qui donne confiance en l’humanité.
Tout en étant d’accord avec tous les commentaires élogieux évoqués par les lecteurs, j’ai aussi fort apprécié les évocations discrètes d’un islam strict, certes, mais généreux et positif.
Une petite île en indonésie, des jeunes enfants qui ont la soif d’apprendre et deux instituteurs bénévoles très charismatiques qui feront tout pour que l’école gratuite perdure dans ce village de pêcheurs.
L’auteur de ce livre était un de ces enfants, ses souvenirs sont gais et émouvants.
Très facile à lire
On devrait faire lire ce roman-récit dans les écoles françaises ! Emouvant, drôle, poétique et très facile à lire.
Joli récit, facile à lire, rafraîchissant et plein d’espérance.
À donner à lire pour nous rappeler combien l’éducation est une chance!
J’ai noté 3 mais je ne suis pas certaine qu’elle ait été prise compte
On découvre l’Indonésie au travers les yeux d’un écolier. Très enrichissant. A lire absolument pour se dépayser et relativiser notre situation…
Moi j’ai adoré et dévoré ce petit bijou d’espoir, de pugnacité et d’énergie.
Magnifique livre autobiographique qui nous fait découvrir le courage de 10 élèves et de leur deux professeurs dépourvus de tous moyens dans un petit village indonésien.
Après avoir passé 2 ans en Asie du Sud Est et ayant fréquenté régulièrement ces écoles locales, j’ai été transporté par le sourire, l’espoir et la passion de ces instituteurs et ces institutrices. En effet, ils ne sont pas très bien payés et parfois pas du tout, mais ils continuent à transmettre des valeurs fondamentales humaines à ces enfants. J’ai adoré ce roman qui nous donne des leçons d’humilité..
Et comme cela a été dit précédemment, nos écoliers devraient pouvoir en prendre connaissance pour comprendre ces valeurs…
Le début a une très grande fraîcheur parce que le ton et le regard sont bien celui d’un enfant décrivant la réalité qu’il connaît, ce qui donne à celle-ci toute sa force. Ensuite, s’installe un ton un peu didactique qui nuit en fait à la force du témoignage. Entre joies d’enfant et démonstration politique on ne sait plus très bien que penser. Il y a sans doute aussi un effet du rewriting dont le manuscrit a dû être l’objet.
L’épilogue 12 ans après qui permet de boucler avec les événements révolutionnaires de 1998 en Indonésie est comme rajouté. Non vraiment ce livre a du mal à trouver le ton qui en aurait fait un livre extraordinaire évoquant la vie d’enfants indonésiens pauvres qui, avec leurs professeurs, se battent pour avoir accès à l’éducation.
un livre charmant et émouvant. Il faut le mettre dans les bibliothèques des écoles et des collèges.
J’ai vu il y a quelque temps au cinéma un documentaire magnifique intitulé « Sur le chemin de l’école » et qui décrivait les difficultés d’écoliers de différentes nationalités (marocaine, chilienne, kenyane et indienne) pour se rendre à l’école, avec des parcours qui forçaient l’admiration. Ce roman m’y a fait penser…mais ne m’a pas emballée autant que le film.
Je pense que la raison principale de la platitude du style tient au fait que le texte a dans un premier temps été traduit de l’indonésien à l’anglais, puis de l’anglais au français, ce qui me semble totalement aberrant stylistiquement parlant mais coûte sûrement moins cher à l’éditeur…C’est facile à lire, la trame est magnifique, mais la langue est banale. Dommage!
Petit bijou, puit riche d’enseignements pour tous : tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir ! Un combat intemporel à mettre entre toutes les mains.
J’ai adoré ce livre qui nous fait découvrir le quotidien d’enfants d’une île d’Indonesie confrontés l’extrême pauvreté. Ces enfants vont découvrir la connaissance grâce à 2 instituteurs bénévoles qui ont à cœur de faire survivre leur école malgré toutes les difficultés qui vont se présenter a eux. Une école d’abnégation qui va donner une soif d’apprendre à ces enfants que rien ne prédestinait à apprendre à lire, compter…et bien plus.
A faire lire absolument aux élèves français………… où mieux dépensons l’argent de nos impôts à les envoyer là-bas pour qu’ils mesurent leur chance…. c’est peut être cela le remède pour relever leur niveau à leur retour ….
Un bon livre
Belle leçon pour ceux qui n’aiment pas l’école. Un bonheur de voir ces élèves et ces professeurs qui se battent.
A recommander à l’éducation nationale qui se pleind tout le temps!!!
re « qui se plaint » c’est mieux …..
Beaucoup aimé ce livre; quel plaisir de voir l’enthousiasme de ces enseignants et la soif d’apprendre des enfants; triste aussi de voir que la vie est la plus forte et qu’un des enfants particulièrement doué doit tout abandonner pour prendre en charge sa famille.
Un bon livre !
Positif : triste, mais porteur d’un bon message.
Belle hommage à son institutrice et elle le mérite bien. Ce livre en effet m’a rappelé les documentaires sur les enfants de différents pays, faisant des km à pieds dans des conditions dangereuses, pour aller à l’école. Note 4
facile à lire, agréable, mais pourtant un brin racoleur: la talentueuse institutrices parvient à enseigner les grands philosophes à de bons petits gars exténués par les trajets à pied ou bicyclette. Le premier prix qui orne la misérable école en ruine me parait un brin exagérée. Il n’est pas mauvais d’admirer le courage de certains pauvres, pauvreté n’est pas vice, pas vertu non plus.
Andrea HIRATA raconte d’une manière très intéressante comment deux enseignants, un homme âgé et une jeune femme ouvrent,sur une petite île perdue d’Indonésie dans une petite cahute,sans salaires,sans moyens, une petite école de dix très jeunes élèves d’origines familiales encore plus pauvres….
Dès leur première leçon,ils leurs enseignent que, grâce à la religion,on ne transige pas avec ses convictions et qu’il faut absolument vouloir réaliser ses rêves….ils veulent leur apprendre à aimer étudier et apprendre car ils souhaitent les convaincre que même si on était pauvre, on pouvait avoir une vie heureuse à partir du moment ou on savait donner plutôt que prendre…
Ces deux enseignants deviennent leurs héros discrets,prince et princesse en gentillesse et puits de science dans un champs aride oublié de tous…….ils ouvrent les coeurs de leurs élèves à la vie…..
En déclenchant leur soif d’apprendre,ils font découvrir par chacun d’eux leurs possibilités de savoir qui les exaltent et les fascinent…
Un très joli livre qui est comme une leçon de simplicité, de modestie,d’amitié profonde,de courage, de sagesse, de volonté ,de patience et de persévérance……
Une belle leçon d’optimisme et de courage ! Effectivement, ce livre est à recommander chaudement aux élèves et enseignants qui se plaignent souvent de l’état « déplorable » de l’éducation en France, même s’il faut relativiser : les conditions de vie ne sont pas vraiment les mêmes. Pour ma part, l’épilogue ne m’a pas gêné, au contraire, c’est une autobiographie, et il est intéressant de savoir ce que sont devenus ces enfants.
Un très beau roman, agréable à lire.
très tonique, l’enthousiasme des enseignants et de certains élèves est communicatif : prenons en de la graine
Ces » Guerriers de l’arc en ciel » et leurs deux enseignants nous font réaliser la chance que nous avons eue d’aller à
l’école. Serions-nous de sales gosses trop gâtés pour l’oublier ?
C’est le récit d’une bataille des plus pauvres pour l’instruction. Cette école menacée par la vétusté, par l’inspecteur, par les mines d’étain, réussit à survivre grâce à la volonté de ses deux enseignants qui mènent un véritable combat pour l’éducation de ces enfants déshérités, mais aussi la volonté de ces enfants eux-mêmes, habités par un immense appétit de savoir. Un livre passionnant qui donne confiance en l’humanité.
Tout en étant d’accord avec tous les commentaires élogieux évoqués par les lecteurs, j’ai aussi fort apprécié les évocations discrètes d’un islam strict, certes, mais généreux et positif.