6 au 9 Février
Le Maître de café – Olivier Bleys
J’ai vérifié plusieurs fois si ce texte n’était pas une traduction à cause de l’irrégularité de la langue mais aussi à cause du ton général, exubérant et luxuriant qui est vraiment étranger à ce que véhicule le plus souvent le français. Mais non ! Cette faconde digne d’un récit de vieux conteur est bien issue d’une plume en langue française. On suit les péripéties rocambolesques de la famille Pietrangeli autour de son Patriarche, lui-même grand artiste de la confection et de la dégustation du café. La vraisemblance vite laissée de côté, on profite de ces aventures ponctuées d’envolées quasiment lyriques sur le café.
C’est quand même un peu long et le scénario a quelques lourdeurs, les personnages sont tout d’une pièce, un peu caricaturaux. On n’est pas dans la psychologie mais dans la fable et c’est distrayant comme un roman emporté en vacances.
Une jolie citation pour finir : « Il fallut une seconde pour dissiper l’étonnement général et marier les esprits à la réalité nouvelle. Entre-temps, le silence s’assembla comme une frêle pellicule de glace dont les premières gelées couvrent un étang. » (page 101)
fabuleux conte philosophique pour enfants, grands enfants, voir génaires. Jamais la vraisemblance ne montre le bout de son nez . Excessif le patriarche! allons donc on finirait par y croire. Pietranfelli rappelle la nécessité de ne moudre qu’au moment de chauffer l’eau. Il faudrait meme ne jamais griller à l’avance. Faut-il pour cela convoquer une explosion volcanique?
un enchantement à conseiller à tous -5- évidement
original cocasse (déjanté! ) drôle et tendre ; une fois admis que l’invraissemblance sert le sujet, il n’y a plus qu’à déguster l’histoire comme un buon caffè…j’ai aimé aussi les nombreuses comparaisons, très réalistes, parfois crues, qui ponctuent le récit et lui donnent quelque » vraissemblance » .
Pourquoi le texte en 4è de couverture raconte-t-il l’histoire jusqu’à la page 280 de ce livre qui en compte 350 ?…
Histoire non crédible mais qui ne se place pas non plus dans l’imaginaire.
Se lit facilement mais j’ai peu aimé.
je suis d’accord avec MarieP, on attend le départ qui arrive très tard. je n’ai pas pu entrer dans ce conte , les personnages n’étaient pas crédibles , je n’ai pas pu le finir, malgré le sympathique et entêtant arôme du café.
j’ai mis 2 .
Dans un style plein d’ironie et d »humour à l’italienne,Olivier BREYS nous entraine dans la vie du Chevalier Massimo Pietrangeli, le Napoléon du café,riche patriarche pathétique qui veut réussir sa mort….
Il nous entraine derrière sa smala familiale dans un voyage rocambolesque au Costa Rica…..
Dans ce scénario à couper le souffle,situé dans les années 50, il ne manque que Vittorio de Sica dans le rôle du patriarche et Gina Lolobrigida dans celui d’Ornella sa passion de jeunesse…..
Pour corser la dégustation de ses héritiers Massimo écrit comme testament à son notaire… » Donnez leur ce qu’ils demandent « …. ce qui pourrait être le titre d’une suite dramatiquement croustillante à cette saga familiale dédiée au café….
Gentillet comme livre, mais cela n’a pas beaucoup d’interet. Un conte! je ne suis pas convaincue. Ou est la magie ? Histoire assez lourde comme leurs déplacements !!!!
Je prends ce livre en rentrant d’Italie, où je me suis régalée de ristretti !
Cette histoire avait donc pour moi, une résonance particulière. Si le livre avait compté quatre-vingts pages de moins…. j’aurais mis 5.
Hélas, cette nouvelle habitude qu’on les auteurs « d’allonger la sauce » devient un peu fatigante.
De drôle et réjouissant, ce livre qui traîne en longueur sur la fin, a quelque peu épuisé ma patience de lectrice, malgré l’odeur entêtante du café. .
Dommage,
J’ai dévoré ce livre « pas sérieux du tout » et plein de défauts !
Il m’appelerait facilement à la dythirambe si je me laissais aller !.
Super livre de vacances, que l’on y soit ou que l’on veuille s’y mettre et qui tranche avec la sélection du début de l’année
j’ai mis 4
Récit à la fois drôle et émouvant autour du maître de café. Où l’on entre dans les coulisses de la torréfaction qui se révèle tout un art et qui, au fil de la lecture nous donne envie de déguster un vrai café.
Amateurs de vraissemblance, passez votre chemin. Amateurs de contes, de loufoquerie, de personnages excessifs, et soutout d’odeurs capiteusee de café, ce livre est pour nous.
Moi qui en général ai peu d’imagination j’ai adoré ce livre
j’ai découvert le café assez tard au cours d’un voyage en Italie
Et j’ai revécu avec cette histoire un voyage merveilleux
C’est peut être la raison de mon 5
très bon moment de lecture avec ce livre drôle, cocasse, amusant, tendre, tous les ingrédients pour se faire plaisir sans se prendre la tête…. ça fait un bien fou !
6 au 9 Février
Le Maître de café – Olivier Bleys
J’ai vérifié plusieurs fois si ce texte n’était pas une traduction à cause de l’irrégularité de la langue mais aussi à cause du ton général, exubérant et luxuriant qui est vraiment étranger à ce que véhicule le plus souvent le français. Mais non ! Cette faconde digne d’un récit de vieux conteur est bien issue d’une plume en langue française. On suit les péripéties rocambolesques de la famille Pietrangeli autour de son Patriarche, lui-même grand artiste de la confection et de la dégustation du café. La vraisemblance vite laissée de côté, on profite de ces aventures ponctuées d’envolées quasiment lyriques sur le café.
C’est quand même un peu long et le scénario a quelques lourdeurs, les personnages sont tout d’une pièce, un peu caricaturaux. On n’est pas dans la psychologie mais dans la fable et c’est distrayant comme un roman emporté en vacances.
Une jolie citation pour finir : « Il fallut une seconde pour dissiper l’étonnement général et marier les esprits à la réalité nouvelle. Entre-temps, le silence s’assembla comme une frêle pellicule de glace dont les premières gelées couvrent un étang. » (page 101)
fabuleux conte philosophique pour enfants, grands enfants, voir génaires. Jamais la vraisemblance ne montre le bout de son nez . Excessif le patriarche! allons donc on finirait par y croire. Pietranfelli rappelle la nécessité de ne moudre qu’au moment de chauffer l’eau. Il faudrait meme ne jamais griller à l’avance. Faut-il pour cela convoquer une explosion volcanique?
un enchantement à conseiller à tous -5- évidement
et en prime, une belle histoire d’amour
original cocasse (déjanté! ) drôle et tendre ; une fois admis que l’invraissemblance sert le sujet, il n’y a plus qu’à déguster l’histoire comme un buon caffè…j’ai aimé aussi les nombreuses comparaisons, très réalistes, parfois crues, qui ponctuent le récit et lui donnent quelque » vraissemblance » .
Un beau voyage parfumé au café de l’Italie au Costa Rica.
A écouter Olivier Bleys:
http://youtu.be/GTJCo_TMOG8
Pourquoi le texte en 4è de couverture raconte-t-il l’histoire jusqu’à la page 280 de ce livre qui en compte 350 ?…
Histoire non crédible mais qui ne se place pas non plus dans l’imaginaire.
Se lit facilement mais j’ai peu aimé.
merci Elis 42 pour ce complément…
On s’échappe, on s’envole dans les parfums de café, l’invraisemblance, l’amour et la joie … un moment de légèreté.
je suis d’accord avec MarieP, on attend le départ qui arrive très tard. je n’ai pas pu entrer dans ce conte , les personnages n’étaient pas crédibles , je n’ai pas pu le finir, malgré le sympathique et entêtant arôme du café.
j’ai mis 2 .
Belle histoire dont le café et son maître sont les héros!!! loufoque……..Italien….magique!!!!
Dans un style plein d’ironie et d »humour à l’italienne,Olivier BREYS nous entraine dans la vie du Chevalier Massimo Pietrangeli, le Napoléon du café,riche patriarche pathétique qui veut réussir sa mort….
Il nous entraine derrière sa smala familiale dans un voyage rocambolesque au Costa Rica…..
Dans ce scénario à couper le souffle,situé dans les années 50, il ne manque que Vittorio de Sica dans le rôle du patriarche et Gina Lolobrigida dans celui d’Ornella sa passion de jeunesse…..
Pour corser la dégustation de ses héritiers Massimo écrit comme testament à son notaire… » Donnez leur ce qu’ils demandent « …. ce qui pourrait être le titre d’une suite dramatiquement croustillante à cette saga familiale dédiée au café….
Un bon livre amusant…
Gentillet comme livre, mais cela n’a pas beaucoup d’interet. Un conte! je ne suis pas convaincue. Ou est la magie ? Histoire assez lourde comme leurs déplacements !!!!
Je prends ce livre en rentrant d’Italie, où je me suis régalée de ristretti !
Cette histoire avait donc pour moi, une résonance particulière. Si le livre avait compté quatre-vingts pages de moins…. j’aurais mis 5.
Hélas, cette nouvelle habitude qu’on les auteurs « d’allonger la sauce » devient un peu fatigante.
De drôle et réjouissant, ce livre qui traîne en longueur sur la fin, a quelque peu épuisé ma patience de lectrice, malgré l’odeur entêtante du café. .
Dommage,
J’ai dévoré ce livre « pas sérieux du tout » et plein de défauts !
Il m’appelerait facilement à la dythirambe si je me laissais aller !.
Super livre de vacances, que l’on y soit ou que l’on veuille s’y mettre et qui tranche avec la sélection du début de l’année
j’ai mis 4
Récit à la fois drôle et émouvant autour du maître de café. Où l’on entre dans les coulisses de la torréfaction qui se révèle tout un art et qui, au fil de la lecture nous donne envie de déguster un vrai café.
Amateurs de vraissemblance, passez votre chemin. Amateurs de contes, de loufoquerie, de personnages excessifs, et soutout d’odeurs capiteusee de café, ce livre est pour nous.
Moi qui en général ai peu d’imagination j’ai adoré ce livre
j’ai découvert le café assez tard au cours d’un voyage en Italie
Et j’ai revécu avec cette histoire un voyage merveilleux
C’est peut être la raison de mon 5
Beaucoup apprécié ce livre drole loufoque ,poétique,grave et une belle histoire d’amour vient embellir le tout.Bravo .je mets 5
très bon moment de lecture avec ce livre drôle, cocasse, amusant, tendre, tous les ingrédients pour se faire plaisir sans se prendre la tête…. ça fait un bien fou !
Merci à Elys 42 pour la vidéo.