J avais deja lu « le Pingouin », du meme auteur et apprecie son humour corrosif et suis parafaitement convaincue avec cet autre titre du meme auteur.les personnages sont attachants dans cet univers etrange et ou l on ne sait pas ou l auteur va nous emmener’….passionnant
Histoire onirique, qui se lit comme un polar. Très bonne plongée dans le monde soviétique actuel et celui de 1957. Un point commun à ces 2 époques : l’alcool.
C’est long comme un hiver russe malgré l’alcool qui coule à flot. Les différentes situations sont souvent difficiles à comprendre et je suis sûre de ne pas avoir tout saisi, mais qu’importe !
Ce livre me fait penser à » La patrouille du temps » de Poul Anderson. Un Russe qui rappelle un Amèricain, drôle de mélange. Il faut attendre la page 286 pour retrouver le Ruskoff : Qui sommes-nous Jardinier ou forestier ?
La pitié de Valia la Rousse vaut bien le plus grand amour. Je ne regrette pas d’avoir persevérer dans ma lecture.
J’ai beaucoup aimé. C’est trés original, l’histoire est bien racontée et elle est envoutante et pleine d’humour. Les personnages sont attachants. Vraiment un super livre !
Roman assez prenant dans un style science fiction avec le costume à remonter le temps. On passe un bon moment de lecture. Finalement en 1957 ou dans les années 2000, la difficulté d’exister le manque de liberté sont toujours présents, ainsi que l’alcool. (note 3)
Tout d’abord, je dois dire que je partais un peu à reculons avec ce livre puisqu’aucune de mes prédécesseures (dans mon circuit local) avait décidé ou eu le temps de lire ce livre. J’ai donc décidé de m’y attaquer rapidement. C’est en fait un livre qui se lit assez rapidement et pour une néophyte de l’Ukraine soviétique comme moi, j’ai y ai retrouvé un monde ‘nouveau’. J’ai trouvé difficile d’alterner entre le présent et le passé en début de livre, mais on s’y fait rapidement. Bref, une lecture agréable d’un roman ‘optimiste’.
Il y a des jolies choses dans ce roman : certaines pages, certaines images, mais la réussite d’ensemble n’y est pas vraiment. Malgré un pseudo « happyend », c’est bien amer et cela ne fait pas un univers…
Récit original qui mêle le présent et les années 1957 en alternance : le lecteur est un peu surpris par le procédé utilisé par l’auteur pour emmener son héros d’une époque à l’autre en Russie. Mais une fois qu’on est entré dans le jeu, les avatars d’Igor nous interpellent et nous suivons ses « sauts » du présent dans la passé avec intérêt.
Après « Le pingouin » « Les pingouins n’ont jamais froid », Kourkov nous régale de nouveau avec ce roman qui hésite entre le « loufoque » et le réalisme, entre deux périodes : l’Ukraine d’hier « 1957, régime soviétique » et d’aujourd’hui, intriquant tout cela pour nous placer dans une ambiance mystérieuse qui dérange par le procédé employé pour passer d’une époque à l’autre pour finalement les mélanger l’une à l’autre…. Que de suspens ! On rencontre des personnages intrigants, une mère si réaliste et modeste, je ne parle pas des autres personnages à découvrir avec plaisir. J’ai vraiment aimé et l’écriture et l’originalité du roman, que j’ai lu non stop. D’autres s’il vous plait.
Malgré le côté irréaliste, j’ai lu ce livre avec plaisir en ayant envie d’aller jusqu’au bout pour en connaître la fin.
Cette histoire permet de comparer 2 périodes éloignées avec un même personnage et comme le souligne Elis42, des difficultés similaires demeurent.
Un côté très invraisemblable dans ce livre avec cette histoire du costume à remonter le temps. Un genre littéraire qui ne s’apparente à aucun autre et qui est plus que déroutant. Je n’aime pas le loufoque et je n’ai pas aimé ce livre. Je mats 1.
Fameux conteur ce Kourkov car le talent d’un conteur est de nous entraîner ds une histoire grâce au réalisme de son écriture . On a du mal à interrompre sa lecture tant on est curieux de découvrir la fin de l’énigme .
Oui les personnages sont attachants , notamment la mère, bonne babouchka .
Se lit comme un conte loufoque, surréaliste, grotesque parfois. Seul le personnage central manque de consistance, mais peut-être est-ce un parti pris de l’auteur qui laisse son héros errer entre présent et passé sans se poser de questions. Un bon moment cependant.
Bien drôle et attachant ce livre ! au début un peu loof-dingue mais si l’on accepte les effets sur-réalistes l’histoire est captivante et les personnages attachants. la lecture est facile et je le recommande .
Dans ce livre ,bien écrit, Andrei KOURKOV nous raconte avec humour que l’imagination de l’âme slave est sans limite….
On s’amuse à suivre IGOR qui , naviguant sur un fleuve d’alcool, traverse subtilement un passé confondu avec le présent en conservant l’ éternel espoir slave……
Ce roman ,optimiste et facile à lire, fait du bien car il nous balade,à sa manière, dans la joie…
Nous passons de 2010 à 1957 en de multiples péripéties très alcoolisées Les personnages sont bien décrits
Mais en 2010 comme en 1957 nous restons dans le domaine de la débrouille tendance maffieuse.
C’est loufoque mais ça manque d’unité. le happy end de de la fin est juste là pour faire une fin acceptable où le « Jardinier « met chacun à sa place mais c’est plutôt artificiel.
Le sujet hyper mince aurait suffit à faire une courte nouvelle : un homme mûr débarque dans une petite ville et par une série de hasards change de vie, cependant qu’un homme de trente ans un peu perdu dans la vie assiste et participe à ce changement, non sans faire un détour par le fantastique.
Maintenant étalé sur plus de 300 pages avec un style haché et plat c‘est long, d’autant plus que le contexte soviétique puis ukrainien est à peine esquissé. On sent l’auteur qui a sorti le livre que l’éditeur lui demandait pour maintenir les ventes.
C’est original, excellent, farfelu, imaginatif, très bien construit.
J’aime le personnage de la mère, attentive et impassible.
Bravo.
Etrange , invraisemblable, attachant malgré tout
J avais deja lu « le Pingouin », du meme auteur et apprecie son humour corrosif et suis parafaitement convaincue avec cet autre titre du meme auteur.les personnages sont attachants dans cet univers etrange et ou l on ne sait pas ou l auteur va nous emmener’….passionnant
je ne suis pas rentrée dans cet univers loufoque.
loufoque et très décalé mais intéressant. J’ai tout lu d’une traite un peu comme un polar. Mais il este quelques mystères
Histoire onirique, qui se lit comme un polar. Très bonne plongée dans le monde soviétique actuel et celui de 1957. Un point commun à ces 2 époques : l’alcool.
C’est long comme un hiver russe malgré l’alcool qui coule à flot. Les différentes situations sont souvent difficiles à comprendre et je suis sûre de ne pas avoir tout saisi, mais qu’importe !
Ce livre me fait penser à » La patrouille du temps » de Poul Anderson. Un Russe qui rappelle un Amèricain, drôle de mélange. Il faut attendre la page 286 pour retrouver le Ruskoff : Qui sommes-nous Jardinier ou forestier ?
La pitié de Valia la Rousse vaut bien le plus grand amour. Je ne regrette pas d’avoir persevérer dans ma lecture.
J’ai beaucoup aimé. C’est trés original, l’histoire est bien racontée et elle est envoutante et pleine d’humour. Les personnages sont attachants. Vraiment un super livre !
Roman assez prenant dans un style science fiction avec le costume à remonter le temps. On passe un bon moment de lecture. Finalement en 1957 ou dans les années 2000, la difficulté d’exister le manque de liberté sont toujours présents, ainsi que l’alcool. (note 3)
Tout d’abord, je dois dire que je partais un peu à reculons avec ce livre puisqu’aucune de mes prédécesseures (dans mon circuit local) avait décidé ou eu le temps de lire ce livre. J’ai donc décidé de m’y attaquer rapidement. C’est en fait un livre qui se lit assez rapidement et pour une néophyte de l’Ukraine soviétique comme moi, j’ai y ai retrouvé un monde ‘nouveau’. J’ai trouvé difficile d’alterner entre le présent et le passé en début de livre, mais on s’y fait rapidement. Bref, une lecture agréable d’un roman ‘optimiste’.
Il y a des jolies choses dans ce roman : certaines pages, certaines images, mais la réussite d’ensemble n’y est pas vraiment. Malgré un pseudo « happyend », c’est bien amer et cela ne fait pas un univers…
Récit original qui mêle le présent et les années 1957 en alternance : le lecteur est un peu surpris par le procédé utilisé par l’auteur pour emmener son héros d’une époque à l’autre en Russie. Mais une fois qu’on est entré dans le jeu, les avatars d’Igor nous interpellent et nous suivons ses « sauts » du présent dans la passé avec intérêt.
Après « Le pingouin » « Les pingouins n’ont jamais froid », Kourkov nous régale de nouveau avec ce roman qui hésite entre le « loufoque » et le réalisme, entre deux périodes : l’Ukraine d’hier « 1957, régime soviétique » et d’aujourd’hui, intriquant tout cela pour nous placer dans une ambiance mystérieuse qui dérange par le procédé employé pour passer d’une époque à l’autre pour finalement les mélanger l’une à l’autre…. Que de suspens ! On rencontre des personnages intrigants, une mère si réaliste et modeste, je ne parle pas des autres personnages à découvrir avec plaisir. J’ai vraiment aimé et l’écriture et l’originalité du roman, que j’ai lu non stop. D’autres s’il vous plait.
Malgré le côté irréaliste, j’ai lu ce livre avec plaisir en ayant envie d’aller jusqu’au bout pour en connaître la fin.
Cette histoire permet de comparer 2 périodes éloignées avec un même personnage et comme le souligne Elis42, des difficultés similaires demeurent.
Moi aussi, j’ai aimé ce livre que j’ai mis du temps à lire (par manque de temps !) mais dont je n’ai jamais perdu le fil ….
j’ai été envoutée par ce livre mêlant présent et passé malgré le peu d’enthousiasme de mes prédécesseurs mais que d’alcool ….
J’ai été surprise par ce livre, pas envoûtée…! Le côté loufoque m’a empêchée d’adhérer à l’histoire.
Les vapeurs d’alcool ne m’ont pas permis d’apprécier le livre à sa juste valeur?
j’aimerai une suite…
Un côté très invraisemblable dans ce livre avec cette histoire du costume à remonter le temps. Un genre littéraire qui ne s’apparente à aucun autre et qui est plus que déroutant. Je n’aime pas le loufoque et je n’ai pas aimé ce livre. Je mats 1.
Comme « Goodbye Lenine » mais en beaucoup moins bien… J’a i trouvé ce roman très rasoir.
Comme Françoise et Anne, je n’ai pas réussi à aimer ce livre: pourvu la majorité de vos avis m’incitait à le faire.
je n’ai pas réussi à entrer dans ce livre, il m’a beaucoup ennuyé
Un livre très attachant, truffé d’humour et de joie de vivre.
Fameux conteur ce Kourkov car le talent d’un conteur est de nous entraîner ds une histoire grâce au réalisme de son écriture . On a du mal à interrompre sa lecture tant on est curieux de découvrir la fin de l’énigme .
Oui les personnages sont attachants , notamment la mère, bonne babouchka .
Se lit comme un conte loufoque, surréaliste, grotesque parfois. Seul le personnage central manque de consistance, mais peut-être est-ce un parti pris de l’auteur qui laisse son héros errer entre présent et passé sans se poser de questions. Un bon moment cependant.
Bien drôle et attachant ce livre ! au début un peu loof-dingue mais si l’on accepte les effets sur-réalistes l’histoire est captivante et les personnages attachants. la lecture est facile et je le recommande .
Voilà un livre formidable et que je n’aurai pas lu sans la bibliothèque Orange…
Un tiers trop long…
Dans ce livre ,bien écrit, Andrei KOURKOV nous raconte avec humour que l’imagination de l’âme slave est sans limite….
On s’amuse à suivre IGOR qui , naviguant sur un fleuve d’alcool, traverse subtilement un passé confondu avec le présent en conservant l’ éternel espoir slave……
Ce roman ,optimiste et facile à lire, fait du bien car il nous balade,à sa manière, dans la joie…
J’ai bien aimé ce livre, mélange de réalité et de fantaisie
Le procédé du costume à remonter le temps m’a découragée, j’ai abandonné assez vite ….
Je suis allée jusqu’au bout, espérant toujours que j’allais y trouver un intérêt. En vain …i
Nous passons de 2010 à 1957 en de multiples péripéties très alcoolisées Les personnages sont bien décrits
Mais en 2010 comme en 1957 nous restons dans le domaine de la débrouille tendance maffieuse.
C’est loufoque mais ça manque d’unité. le happy end de de la fin est juste là pour faire une fin acceptable où le « Jardinier « met chacun à sa place mais c’est plutôt artificiel.
Le sujet hyper mince aurait suffit à faire une courte nouvelle : un homme mûr débarque dans une petite ville et par une série de hasards change de vie, cependant qu’un homme de trente ans un peu perdu dans la vie assiste et participe à ce changement, non sans faire un détour par le fantastique.
Maintenant étalé sur plus de 300 pages avec un style haché et plat c‘est long, d’autant plus que le contexte soviétique puis ukrainien est à peine esquissé. On sent l’auteur qui a sorti le livre que l’éditeur lui demandait pour maintenir les ventes.