Dans un excellent style,Justin CARTWRIGHT nous raconte avec un humour British féroce,beaucoup d’ intelligence et de psychologie, le déclin d’une banque privée Anglaise bicentenaire empêtrée dans des opérations douteuses causées par l’arrogance, le mépris traditionnel et l’opacité qui entourent les questions d’argent dans les hautes sphères de la finance,pour le commun des mortels…
Un très bon livre…
Ce livre décrit essentiellement le petit et le grand monde qui gravite autour d’une banque . C’est virtuose et agréable à lire mais on reste sur sa faim quant aux combines bancaires et leurs méfaits que l’on aurait voulu apprendre à comprendre …
Où comment une banque familiale anglaise à la renommée séculaire, la nouvelle génération rompant avec sa tradition de prudence , se laisse aller aux sirènes toxiques des fonds spéculatifs sur la foi d’algorithmes infaillibles concoctés par des mathématiciens géniaux et tente de limiter les dégats par des manoeuvres douteuses destinées à tromper les agences de notation et les autorités de contrôle…
Et la presse de s’en mêler, pour débusquer ces financiers tous pourris comme l’a démontré la crise des subprimes. Amusante galerie de financiers et de leur entourage, d’artistes fatigués, de femmes sérieuses, légères ou terrifiantes et de journalistes ingénus et amers, au détour d »intrigues où l’argent, le sexe, le pouvoir et la jalousie mènent la danse.
L’auteur mène son lecteur où il le veut. Les principaux protagonistes, un père banquier et son fils banquier, sont au cœur du récit. Le père âgé puis mourant, inspire la pitié, le fils est sympathique et attachant, on veut donc qu’il s’en sorte. Si bien qu’on en vient à souhaiter que tout rentre dans l’ordre, que cette famille de possédants continue à vivre grâce à l’argent gagné en exploitant les autres et le système. Une scène extrêmement emblématique du livre est celle où Julian récupère le Matisse auprès de Estelle, la secrétaire de son père. Il mène efficacement la rencontre pour récupérer 30 millions d’euros. Comme tout bon négociateur, il sait ce que la partie adverse souhaite et exploite cette connaissance. En l’occurrence il s’agit pour Estelle d’avoir le sentiment d’appartenir à la famille. Alors Julian lui dit les quelques mots qui font croire à Estelle que c’est le cas. Il lui donne du vent, elle lui donne ce qui est pour lui une somme d’argent et pour elle un objet plein de souvenirs qu’elle a reçu en cadeau après des années de loyaux service.
Le titre du livre est bien là pour rappeler son véritable propos, sinon il pourrait se lire comme un long article de Paris Match illustrant avec de belles photos que les nantis de ce monde s’en sortent toujours.
Dans toute cette histoire, il y a du luxe, de l’ élégance, du goût des belles choses ….Pourquoi pas ! Il ya aussi de la mesquinerie, de l’envie, de la lassitude,..de la trahison…..La vie quoi !!
Roman facile à lire qui nous emmène dans le milieu financier.
Je n’en garderai pas un souvenir impérissable mais ce roman est malgré tout agréable à lire.
Très bon roman que j’ai lu d’une traite et que je trouve (pour une fois!) particulièrement bien traduit.
L’aspect concernant le montage financier est finalement assez peu exploité, reste une galerie de personnages particulièrement convaincante et bien campée, depuis la fidèle secrétaire prête à se laisser rouler dans la farine du moment que la famille lui témoigne un tant soit peu d’affection jusqu’au skipper australien au langage fleuri plus vrai que nature et à l’homme politique qui met son point d’honneur à rouler à vélo (parodie de Boris Johnson?).
Enfin un vrai plaisir de lecture qui change un peu des biographies poussiéreuses!
long, très long, compliqué, très compliqué
Un thriller financier qui montre les rouages du monde bancaire face aux affaires pas très légales. Et la fin correspond bien à la réalité.
Dans un excellent style,Justin CARTWRIGHT nous raconte avec un humour British féroce,beaucoup d’ intelligence et de psychologie, le déclin d’une banque privée Anglaise bicentenaire empêtrée dans des opérations douteuses causées par l’arrogance, le mépris traditionnel et l’opacité qui entourent les questions d’argent dans les hautes sphères de la finance,pour le commun des mortels…
Un très bon livre…
Des regards croisés sur la fortune familiale, un monde financier d’initiés et de soudaines envies de légèreté comme des ruptures générationnelles.
Très bon livre sur les rouages des grandes familles des banqueset de la finance.
Ce livre décrit essentiellement le petit et le grand monde qui gravite autour d’une banque . C’est virtuose et agréable à lire mais on reste sur sa faim quant aux combines bancaires et leurs méfaits que l’on aurait voulu apprendre à comprendre …
Bon thriller financier mais avec des longueurs…
Un roman agréable à lire, qui montre le pouvoir infini et destructeur de l’argent.
personnages tout à fait crédibles et bien campés, certains aspects financiers m’ont totalement échappé, que j’ai allègrement « sauté »….
Quel pavé! Le thème est interessant mais pourquoi tant de longueurs? Je suis d’accord avec l’avis de Toulemeonde, et cla avant d’arriver à la fin.
Où comment une banque familiale anglaise à la renommée séculaire, la nouvelle génération rompant avec sa tradition de prudence , se laisse aller aux sirènes toxiques des fonds spéculatifs sur la foi d’algorithmes infaillibles concoctés par des mathématiciens géniaux et tente de limiter les dégats par des manoeuvres douteuses destinées à tromper les agences de notation et les autorités de contrôle…
Et la presse de s’en mêler, pour débusquer ces financiers tous pourris comme l’a démontré la crise des subprimes. Amusante galerie de financiers et de leur entourage, d’artistes fatigués, de femmes sérieuses, légères ou terrifiantes et de journalistes ingénus et amers, au détour d »intrigues où l’argent, le sexe, le pouvoir et la jalousie mènent la danse.
Je n’y arrive pas! Tellement mal ecrit (ou traduit), tellement de cliches. Ca y est, je m’endors…
L’auteur mène son lecteur où il le veut. Les principaux protagonistes, un père banquier et son fils banquier, sont au cœur du récit. Le père âgé puis mourant, inspire la pitié, le fils est sympathique et attachant, on veut donc qu’il s’en sorte. Si bien qu’on en vient à souhaiter que tout rentre dans l’ordre, que cette famille de possédants continue à vivre grâce à l’argent gagné en exploitant les autres et le système. Une scène extrêmement emblématique du livre est celle où Julian récupère le Matisse auprès de Estelle, la secrétaire de son père. Il mène efficacement la rencontre pour récupérer 30 millions d’euros. Comme tout bon négociateur, il sait ce que la partie adverse souhaite et exploite cette connaissance. En l’occurrence il s’agit pour Estelle d’avoir le sentiment d’appartenir à la famille. Alors Julian lui dit les quelques mots qui font croire à Estelle que c’est le cas. Il lui donne du vent, elle lui donne ce qui est pour lui une somme d’argent et pour elle un objet plein de souvenirs qu’elle a reçu en cadeau après des années de loyaux service.
Le titre du livre est bien là pour rappeler son véritable propos, sinon il pourrait se lire comme un long article de Paris Match illustrant avec de belles photos que les nantis de ce monde s’en sortent toujours.
Dans toute cette histoire, il y a du luxe, de l’ élégance, du goût des belles choses ….Pourquoi pas ! Il ya aussi de la mesquinerie, de l’envie, de la lassitude,..de la trahison…..La vie quoi !!
Roman facile à lire qui nous emmène dans le milieu financier.
Je n’en garderai pas un souvenir impérissable mais ce roman est malgré tout agréable à lire.
Très bon roman que j’ai lu d’une traite et que je trouve (pour une fois!) particulièrement bien traduit.
L’aspect concernant le montage financier est finalement assez peu exploité, reste une galerie de personnages particulièrement convaincante et bien campée, depuis la fidèle secrétaire prête à se laisser rouler dans la farine du moment que la famille lui témoigne un tant soit peu d’affection jusqu’au skipper australien au langage fleuri plus vrai que nature et à l’homme politique qui met son point d’honneur à rouler à vélo (parodie de Boris Johnson?).
Enfin un vrai plaisir de lecture qui change un peu des biographies poussiéreuses!