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la vie secrète des arbres

La vie secrète des arbres
P. WOHLLEBEN

Peter Wohlleben – Les Arènes

Savez-vous qu’un arbre, ça parle ? Avec ses congénères. Si, si. ça parle, et ça forme une communauté qui s’organise, se protège, élève ses petits. En de courts chapitres, clairs et limpides, l’auteur nous introduit dans cette société. Un livre qui nous fait voir la vie en vert.

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sur ce livre

9 thoughts on “La vie secrète des arbres”

  1. Poque

    Cette passion des arbres de l’auteur lui donne un peu trop l’envie de comparer les arbres aux hommes. Sous prétexte de vulgarisation il joue un peu trop d’anthropomorphisme. Il reste de cela nombre d’informations intéressantes sur la vie des arbres et de la forêt, bien que très souvent ses informations se limitent aux hêtres, chênes et épicéas. En résumé : beaucoup de pages mais peu d’entre elles sont vraiment intéressantes.

  2. anne

    Je partage l’avis précédent ! Des passages intéressants mais que c’est long !

  3. Michel78

    A partir de connaissances scientifiques, dont on ne nous explique pas beaucoup comment elles ont été révélées, l’auteur, dans un style très plaisant à lire nous raconte la vie des arbres. Mais comme tout conteur, on a quand même l’impression qu’il se laisse parfois emporter par son imagination. Il a conscience pour éviter les répétitions de découper ses descriptions en courts chapitres mais cela reste un peu répétitif. Bien que trop long, c’est passionnant à lire.
    Il existe une édition de ce livre avec des photos magnifiques.

  4. Anne Dumontier

    Toute la 1ere partie sur les arbres est passionnante, même si l’écriture est un peu lourde. La 2eme partie sur les insectes m’a beaucoup moins accrochée. Elle m’a même ennuyée, sans doute parce que je n’ai pas la culture anglo-germanique de fascination-répulsion pour les insectes. Mais toute la partie sur les arbres est étonnante et vaut vraiment d’être lue. On apprend énormément de choses.

  5. Anne à la BO

    Toute la 1ere partie sur les arbres est passionnante, même si l’écriture est un peu lourde. La 2eme partie sur les insectes m’a beaucoup moins accrochée. Elle m’a même ennuyée, sans doute parce que je n’ai pas la culture anglo-germanique de fascination-répulsion pour les insectes. Mais toute la partie sur les arbres est étonnante et vaut vraiment d’être lue. On apprend énormément de choses.

  6. lorenzini

    très lassant, malgré l’enthousiasme de l’auteur!

  7. Anne

    J ai ete passionnee par ce livre où l’on apprend enormement :que devient la chlorophylle en hiver ?comment Les arbres communiquent ils entre eux? Il est vrai qu’il manque souvent Les sources..mais ce n’est pas une thèse de botanique… Cela change totalement l’abord des forets.

  8. balthy

    Un autre regard sur la nature décrite par un passionné, peut être avec outrance, mais ce livre a au moins le mérite de nous permettre de voir les arbres et la nature avec un autre regard.
    À relire tranquillement.
    La version illustrée contient de très belles photos.

  9. Elisabeth

    Le début est passionnant parce qu’au-delà de la question des arbres c’est toute une réflexion sur la notion même d’interaction tout à fait transposable à ce que les humains vivent. Justement la transposition est très très facilitée par le vocabulaire et par la vision qui est donnée : on parle de mère-arbre, d’éducation, … c’est là que le livre devient un peu « trop » : cet anthropomorphisme à tout crin est simplificateur et finalement comme réducteur. Je comprends bien que c’est le fond de commerce de l’auteur qui a une approche très pédagogique pour défendre la forêt primaire – son dada numéro 1 – et aussi pour développer ses différentes activités ayant pour but de trouver des financements à celle-ci (stages de survie et cimetière forestier naturel, voire page 9). Un exemple de cette exagération anthropomorphique se trouve page 153. L’auteur y explique qu’à l’automne pucerons et insectes cherchent à se réfugier dans les anfractuosités des écorces. A ce moment-là, les arbres sont rouges et jaunes, car ils commencent leur grand repli en vue de l’hiver. L’auteur écrit alors : « les lumineuses couleurs automnales qu’ils arborent sont pour les arbres en pleine santé une façon de signaler qu’il seront prêts à en découdre dès les premières heures du printemps. » Il me semble qu’on suppose ici que les pucerons et insectes voient ces couleurs, que les arbres les ont développées avec un but médiatique et que le message est sciemment envoyé, … c’est un peu beaucoup raisonné comme les humains, non ?
    Ce que prône Peter Wohlleben (dont le nom veut dire bien vivre) c’est le retour à la forêt primaire et de laisser ainsi les arbres (bien) vivre. En cela l’auteur ressemble un peu aux écolos de la première heure qui négligeaient l’aspect global de la question (interaction humanité dans sa globalité //nature) et qui ont abouti, entre autres, à des dynamiques à deux vitesses : les riches qui mangent bio et les pauvres qui mangent industriel. On aurait finalement des riches qui vivraient à proximité des forêts primaires et y auraient accès et les pauvres qui ne connaîtraient plus les arbres. Je veux dire par là que certes, les arbres dans les parcs ou dans les allées sont moins bien qu’à l’état sauvage, mais que pour l’homme moyen – l’homme des villes – c’est mieux que rien. Il n’empêche que, comme chez les écologistes de la première heure, il y a là beaucoup de bonnes idées qu’il faut sans doute réutiliser … après les avoir élaguées …
    En tous cas, matière à débat.

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