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La tentation
L. LANG

Luc Lang – Stock

En quelques heures, l’univers de Philippe, chirurgien et chasseur, bascule. Il ne reconnaît plus ses enfants emportés dans une spirale où l’argent est roi, où toutes les valeurs volent en éclats. Dans une nature magnifique, deux mondes s’affrontent. Luc Lang compose un texte qui tient du roman psychologique, du policier et du thriller. Le tout servi par une écriture puissante.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

22 thoughts on “La tentation”

  1. servanetje

    Un thriller psychologique qui aurait gagné à le rester selon moi. L’auteur casse les codes de l’écriture pour mieux bousculer notre perception des personnages et de leurs interactions, la lecture est captivante jusqu’à la fin… un peu brutale.

  2. Marie-Odile de Bellefon

    Un peu perdue dans cette lecture un peu ,sinistre en cette période de confinement.

  3. Corinnette35

    Je n’ai pas réussi à suivre et n’ai pas eu envie de m’accrocher. Je ne suis pas allée au bout.

  4. Poque

    Une lecture déconcertante. Le récit commençant de façon un peu languissante, quelquefois noyé dans l’énumération de termes techniques, semble s’animer lorsqu’on passe à la partie suivante qui ne paraît plus être la suite logique du récit. Il en est de même pour l’enchaînement des autres parties. Difficulté également ces longs paragraphes et ces dialogues sans tirets, voire même sans alinéa. S’ajoutent à cela des personnages un peu caricaturaux qui situent l’action moitié dans la réalité, moitié dans l’imagination. Note : 3

  5. Thomas CLERMIDY

    Un roman bien écrit, agréable à lire mais parfois un peu complexe. Note: 4.

  6. Geneviève de Faverges

    Roman assez captivant surtout lorsque l’on chasse, mlais la chute est brutale et déstabilisante………..

  7. Claude30

    Un quasi huit clos en montagne, à travers les yeux de personnages dont les univers vacillent. Une écriture qui suit les émotions, des scènes que l’on revoit avec plus de détails, une trame qui peu à peu devient plus lisible. Un roman original avec peu de personnages et donc une découverte de chacun d’eux plus facile.

  8. annelle 30

    Très décevant, mal écrit, peu vraisemblable, je ne me suis pas attachée aux personnage et je n’ai pas trouvé ce livre agréable à lire.
    Note 1

  9. Michel78

    L’auteur, avec une écriture très ciselée, bien documentée tant sur la chasse : le gros gibier, les armes et la forêt que sur la chirurgie, se laisse emporté vers des divagations un peu longues et répétitives. Il faut attendre la fin de la première partie pour se laisser prendre par le récit qui est un peu simpliste : opposer la jeunesse qui ne pense qu’à l’argent à l’humanisme de leur père. Le personnage de la mère n’est pas très crédible mais le récit s’emballe dans une fureur qui se termine bizarrement.
    Note 3

  10. Sylvie Tours

    Très déçue. Personnages peu crédibles, mère de famille ridicule… Très documenté sur le monde e la chasse et… De la chirurgie. Style déroutant
    Note:1

  11. Conseil

    Prenez une carte routière de la région Lyon – Chambery – Lancelebourg. Un très long exercice de descriptions minutieuses et précises dans les moindres détails d’allers et retours sous la neige et de ses paysages. Ceux qui ont déjà parcouru cette région reconnaîtront probablement ses autoroutes, routes, chemins communaux, bois… Il y a aussi ces descriptifs de chasses au cerf et à l’homme, là aussi très précis : « La balle est partie, 860m/s, éclair, soubresaut de l’épaule et du torse, secousse dans la nuque avec le recul de la carabine sans frein de bouche et qu’il maitrise si bien » . Je laisse découvrir l’intrigue principal de ce roman. Elle sait se faire attendre : la chasse volontaire ou de survie au gros gibier… Tout s’effondre. Une maîtrise parfaite de l’écriture même s’il y a un peu « trop de gras »

  12. VeroG73

    Je me suis laissée prendre par l ‘ intrigue.
    Ce livre plaira aussi à ceux qui connaissent
    La vallée de la Maurienne en Savoie!

  13. Dupuis

    Jean Dupuis 77600
    Ce roman à la fois familial, médical, psychiatrique, chirurgical, policier et…. cynégétique est passionnant, et souvent haletant. Malgré cela j’ai eu du mal aller jusqu’au bout : le récit est souvent embrouiilé. On passe d’un moment à une autre ou bien d’un lieu à un autre sans transition. En plus il y a trop de paragraphes interminables couvrant plusieurs pages. Si bien que parfois on ne sait plus où l’on en est. Dommage!

  14. Pascale Baratay

    Un roman décevant pour moi, l’histoire improbable et son fil emmêlé, la débauche interrompue de détails, les personnages assez caricaturaux … rien ne m’a finalement accroché, mais j’ai quand-même poursuivi jusqu’à la fin. L’écriture surchargée ne m’a pas séduite non plus, j’ai mis 2 pour l’effort … désolée.

  15. Chantal

    Roman original, déroutant, série d’actions très bien détaillées…

    J’ai été emportée par ce livre, j’ai adoré !!! A lire.

  16. Françoise 47

    Françoise 47
    Belle écriture pour ce livre que n’ai pourtant pas aimé. Je ne me suis attachée à aucun des personnages, même au père qui semble porter une attention affective et lointaine à sa famille mais qui restera présent pour sa fille, aveuglée par sa passion pour un voyou blessé et traqué (comme un cerf?) deviens despotique et violente. . La mère est folle et destructrice (pourquoi?) le fils et sa femme évoluent dans un monde superficiel dénué bienveillance. Ouf, un livre qui se termine dans la souffrance et le sacrifice.
    j’ai mis 2 pour l’écriture.

  17. Vienne

    Je me suis arrêtée après qqn pages, sans intérêt, je ne suis pas rentrée dedans.

  18. Jeanne

    un peu déçue de ce dernier livre de la saison, descriptions trop longues à mon gout

  19. Kty

    Ecriture spéciale, très descriptive, trop à mon goût, dialogues insérés. Evènement revu , complété en plusieurs mouvements, chapitres. Liens familiaux qui se déploient selon selon le personnage principal, Confrontation générationnelle sans nuance, passion des personnages pour le fric, la chasse, la chirurgie sauver des vies, la religion, l’amour, la violence, la tuerie. Livre déroutant que j’ai failli abandonner au premier chapitre, mais comme le style m’intriguait j’ai poursuivi. Cela ne fait pas parti des livres que j’offrirais et je reste perplexe. Peut être en lire d’autres du même auteur pour me faire une idée sur l’écrivain

  20. ELISABETH BERGERON

    C’est un livre difficile à lire car il est très effrayant de partir de situations tout à fait réelles et de déraper dans l’horreur. Peut-être parce qu’on imagine trop vite que dans notre quotidien aussi pourraient survenir des choses aussi extrêmes et qu’on se sent donc fragilisé. A la fin, je ne le lisais plus que de jour et avec quelqu’un à côté de moi.

    Pour autant j’aime cette structure redondante, où la deuxième partie reprend la première partie avec un angle de vue un peu différent qui fait que la réalité décrite dans un premier temps ne peut pas forcément être qualifiée de réalité. Cela m’a rappelé La Reprise de Robe-Grillet ou La Disparition de Perrec qui jouent de la même façon avec le récit. Dans la troisième partie, c’est la crédibilité même du personnage principal qui est remise en cause : peut-être n’est-il pas le mari aimant qui attend patiemment sa femme. Et s’il ne l’est pas, est-il le chirurgien consciencieux et défendant une médecine de soins qu’il a semblé être ?

    Par ailleurs la, multiplication des passages en voiture, comme dans Au commencement du septième jour du même auteur, n’apporte pas grand chose.
    Notons, enfin une série d’invraisemblances sur tout ce qui touche à la vie d’entreprise. (Par exemple, dans la clinique, il n’est sûrement pas possible de vendre 10% des parts sans une AGE où les autres porteurs de parts donnent leur accord ; les statuts ne peuvent que prévoir une clause visant à ne pas vendre à n’importe qui. De la même façon le juriste financier Matthieu est bien peu crédible dans l’exercice de ses fonctions. C’est un juriste qui ne lit pas et qui est devenu maffieux en très peu d’années d’exercice. Il faut du temps pour tisser de tels réseaux.
    Enfin la quatrième de couverture est, comme très souvent, inexacte. Il y est écrit « Son héros croit encore à la pureté. » Il faut ne pas avoir lu le livre pour écrire cela. Quant à la notion de rédemption … encore moins.

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