Alors que la 4ème de couverture me donnait bien envie, j’ai eu du mal à rentrer dans le roman et à m’attacher aux personnages. Heureusement, la 2ème partie m’est apparue plus plaisante, même si j’ai trouvé les propos du vieux sage un peu plats et sans originalité, avec un sentiment de « déjà entendu ».
« La vraie liberté consiste à reconnaître le fardeau que tu dois porter. A le prendre à pleins bras et à le porter non avec résignation mais avec joie, avec force ».
Des longueurs, certes, mais pour trouver des passages d’anthologie où la vie des hommes et la description de la nature prennent un relief et une force intenses.
De grandes descriptions de la faune et la flore africaines. Une intrigue simplissime qui se crée une pseudo complexité en décrivant de façon entremêlée les destins de deux personnages qui finissent par se rencontrer à la fin. Ces deux personnages sont des opposés et représentent chacun un des visages du jeune africain d’aujourd’hui. S’ajoutent à cela des considérations environnementales répétées comme des messages dont on sent bien qu’il est nécessaire que le lecteur les ingurgite. Tout cela est donc bien mal cousu et bien caricatural dans la forme et dans le fond. Dommage. Quelque chose de plus court, aurait permis de passer les mêmes messages sans tomber dans les défauts d’un roman peu original.
Peu tentée, j’ai quand même commencé la lecture pour me donner une chance de découverte. Je ne suis pas allée très loin, les notes étaient médiocres, les commentaires peu encourageants… J’ai gardé mon temps pour d’autres lectures.
intéressant par les descriptions des paysages du Kenya et de la Tanzanie, de la faune et de la flore et du mode de vie des Massaïs mais personnages trop falots dont les destins s’entremêlent sans que nous y adhérions vraiment..;Le récit n’est pas assez fouillé et donne une impression de « fourre tout » Un peu décevant donc
Je ne regarde jamais les notes des lecteurs avant d’entamer une nouvelle lecture. J’aurais râté une description poétique et réaliste du Kenya et de la Tanzanie. Parole est donnée au Massaï, ce qui peut déranger le Blanc, l’intrus dans ce milieu africain manifestement. Se laisser porter par la vie, la nature, le temps, les paroles d’Olé Séggi fut un beau voyage philosophique, qui avait le mérite de ne déranger ni la nature ni les animaux. De même pour la quête d’Olélaîga qui le porte vers des contrées lointaines, voyage dépourvu de sens peut-être, à notre niveau, qu’en savons-nous? Dommage que les braconniers ne soient pas plus punis que par une charge d’éléphant.
Tu as bien fait, et je suis d’accord avec toi ! J’ai bien aimé l’opposition des deux Afrique, l’ancestrale avec ses légendes et sa philosophie, la moderne avec ses jeunes qui ont besoin qu’on leur donne des valeurs…
Joli conte qui s’étire un peu. Poétique portrait d’une afrique entre deux eaux.
Alors que la 4ème de couverture me donnait bien envie, j’ai eu du mal à rentrer dans le roman et à m’attacher aux personnages. Heureusement, la 2ème partie m’est apparue plus plaisante, même si j’ai trouvé les propos du vieux sage un peu plats et sans originalité, avec un sentiment de « déjà entendu ».
« La vraie liberté consiste à reconnaître le fardeau que tu dois porter. A le prendre à pleins bras et à le porter non avec résignation mais avec joie, avec force ».
Des longueurs, certes, mais pour trouver des passages d’anthologie où la vie des hommes et la description de la nature prennent un relief et une force intenses.
Pas lu. Manque d’intérêt.
plaisant a lire sans plus
le bon sauvage détruit par la civilisation ?? bof !
entre réalité et conte africain mais des longueurs…
encore un bon sauvage ou plusieurs. Intéressante étude de la vie des massai.
De grandes descriptions de la faune et la flore africaines. Une intrigue simplissime qui se crée une pseudo complexité en décrivant de façon entremêlée les destins de deux personnages qui finissent par se rencontrer à la fin. Ces deux personnages sont des opposés et représentent chacun un des visages du jeune africain d’aujourd’hui. S’ajoutent à cela des considérations environnementales répétées comme des messages dont on sent bien qu’il est nécessaire que le lecteur les ingurgite. Tout cela est donc bien mal cousu et bien caricatural dans la forme et dans le fond. Dommage. Quelque chose de plus court, aurait permis de passer les mêmes messages sans tomber dans les défauts d’un roman peu original.
Peu tentée, j’ai quand même commencé la lecture pour me donner une chance de découverte. Je ne suis pas allée très loin, les notes étaient médiocres, les commentaires peu encourageants… J’ai gardé mon temps pour d’autres lectures.
intéressant par les descriptions des paysages du Kenya et de la Tanzanie, de la faune et de la flore et du mode de vie des Massaïs mais personnages trop falots dont les destins s’entremêlent sans que nous y adhérions vraiment..;Le récit n’est pas assez fouillé et donne une impression de « fourre tout » Un peu décevant donc
Je ne regarde jamais les notes des lecteurs avant d’entamer une nouvelle lecture. J’aurais râté une description poétique et réaliste du Kenya et de la Tanzanie. Parole est donnée au Massaï, ce qui peut déranger le Blanc, l’intrus dans ce milieu africain manifestement. Se laisser porter par la vie, la nature, le temps, les paroles d’Olé Séggi fut un beau voyage philosophique, qui avait le mérite de ne déranger ni la nature ni les animaux. De même pour la quête d’Olélaîga qui le porte vers des contrées lointaines, voyage dépourvu de sens peut-être, à notre niveau, qu’en savons-nous? Dommage que les braconniers ne soient pas plus punis que par une charge d’éléphant.
Tu as bien fait, et je suis d’accord avec toi ! J’ai bien aimé l’opposition des deux Afrique, l’ancestrale avec ses légendes et sa philosophie, la moderne avec ses jeunes qui ont besoin qu’on leur donne des valeurs…
J’ai bien aimé ce livre, peut-être parce qu’ayant eu la chance d’aller au Kenya, les endroits, les gens, les choses me parlent.