Il faut savoir suivre l’auteur. Ce livre est un tourbillon, foisonnement léger de ses impressions sur tout et rien comme si Cette maison amie cette douceur angevine lui inspirait une douce joie de vivre de clamer tout ce qui lui passe par la tête. L’écriture rebondit sans cesse les légumes, à la Loire à l’histoire, musique. rire des enfants comme le tourbillon de la diversité de la vie quand la profondeur devient légère et des superflus essentiels cela donne une tonalité harmonieuse ; originale, subtile vivante
Chacun peut se reconnaître dans ce livre comme si on vous demandait d’écrire votre vie mais non dans une suite logique mais tout ce qui l’a jalonnée. Chaque événement n’ayant pas vraiment de rapport avec l’autre mais contribue à la richesse si diversifiée de votre vécu…un lieu commun votre maison : s’y remémorer et l’exprimer avec allégresse
Très pâle copie du livre formidable de Jean-Paul Kauffman lu dans le circuit 2008. Le livre de Patrick Cauvin semble n’être destiné qu’à ses proches, famille et amis : il ressemble à un album photo personnel qu’on nous demande de feuilleter, alors que nous ne sommes pas concernés. On ressent l’ennui d’une après-midi sans fin avec un viel oncle qui vous passe ses diapos de famille, qu’à coup sûr il a rangées dans le désordre après les avoir malencontreusement fait tomber.
Après le livre de Jean Paul Kauffman, « La maison du retour », celui-ci semble bien insipide et ne décrit rien d’extraordinaire. Il ne révèle rien de plus que ce que chacun a pu déjà ressentir lors des étés toujours passés au même endroit. C’est une image d’Epinal. La maison ne semble qu’un prétexte, l’auteur décrit sa propre vie,ses sensations, ses souvenirs et bientôt sa nostalgie ce qui n’intéressera pas la prochaine génération car elle relate une période aujourd’hui pratiquement révolue. Si ce livre raconte les joies de la maison de campagne, c’est le point de vue d’un homme qui ne la voit que de l’extérieur et en profite comme un invité permanent.
L’écriture est facile, fluide, mais ressemble plutôt à une bonne rédaction.
Comme Iaesz et BM je suis extrêmement déçue par le fond et choquée à plusieurs titres par la forme…
Page 51, le premier paragraphe n’a ni queue ni tête : « Il faudrait, pour être un peu rigoureux et introduire de l’ordre dans ce qui n’a pas besoin d’en avoir. »…
Page 84, deuxième paragraphe. Comment le gastéropode peut-il décrire un arc dans l’espace « précédé » d’une comète de beurre persillé ?
Je l’ai cependant lu jusqu’au bout en pensant à « la maison du retour » de J.P. Kauffman
Cela ressemble un peu trop à l’exercice de style de l’écrivain qui se dit: « Tiens, je vais écrire un livre de 300 pages sur ma maison de vacances ». Comme le sujet est mince, l’auteur se promène un peu partout dans ses pensées et ce qui lui passe par la plume. C’est bien écrit, car c’est un écrivain, mais cela manque vraiment de profondeur. C’est plaisant, cela se lit facilement. Sans plus.
comme les autres, j’ai démarré ce livre avec plaisir, puis ennuie. J’ai particulièrement apprécié la comparaison avec le vieil oncle un peu gateux qui infflige une soirée photos à ses neveux. Cette maison coute certainement cher, d’où la necessité de glaner des droits d’auteurs.
En passant, je me réjouis de constater que beaucoup de lecteurs de la BO donnent des avis intéressants. Continuez !
Livre rafraichissant et facile a lire meme consamment entre-coupe (lors de brefs trajets en metro, par exemple). L’utilisation des initiales des amis de l’auteur est vite lassante, et je rejoins d’autres lecteurs: L’auteur nous rappelle trop souvent la « necessite » qu’il a d’ecrire ce livre, et cela devient desagreable. Mais dans l’ensemble, lecture agreable, sans plus.
Comme à chaque fois une quinzaine sur deux il faut faire un choix de livre. Je n’ai pas toujours le temps de lire le second. J’ai donc commencé par le livre de Cauvin bien distrayant et facile à lire. J’ai passé un bon moment de lecture facile. Un bon livre pour une bibliothèque tournante mais je ne l’aurais certainement pas acheté et en cela comme il le suggère en conclusion je crois qu’il a loupé son coup.
Je n’ai vraiment pas accroche avec ce livre. Je n’aime pas du tout son style, avec toutes ces phrases qui n’ont ni queue ni tete, c’est penible a lire. Je n’ai pas reussi a le finir et je n’en garderai aucun souvenir !
Je n’avais jamais lu de livres de P. Cauvin, et celui-ci ne me donne pas envie de renouveler l’expérience ; quel ennui : l’ouvrage est mal écrit, prétend être drôle, et se révèle fort ennuyeux …
Livre sans intêret,bien loin du delicieux livre de Kauffman l’an dernier.On a l’impression que P.Cauvin se moque un peu de ses lecteurs.Cela n’a ni queue ni tête;assez agreable sans plus ,ilfaut bien vivre!
dans mon jeune temps….j’ai beaucoup aimé patrick cauvin : c’était le pérou, nous allions vers les beaux jours, rue des bons enfants ou E=mc2 mon amour… j’ai été d’autant plus déçue, dommage
J’avais adoré « La Maison du retour » de JP Kauffmann, et j’étais ravie de commencer ce livre… Mais j’ai abandonné au bout d’une trentaine de pages.
A Christine: Que cela ne vous empêche pas de lire les romans de Patrick Cauvin car d’après mes souvenirs ils sont vivants, drôles, rythmés…tout le contraire de celui-ci. Il est vrai que c’était il y a plus de vingt ans.
J’ai passé un bon moment avec ce livre truffé d’humour et sans prétention. L’auteur ne se prend pas au sérieux et ce ton léger ne m’a pas gênée. Bien sûr cela n’a rien à voir avec le livre extraordinaire de J.-P. Kauffmann, mais l’intention n’était pas la même et je trouve l’ensemble très plaisant et assez attachant.
Tout à fait d’accord avec Camille. Et contrairement à d’autres démarches : j’avais trouvé sans intérêt un des premiers livres de PC – Monsieur Papa – et là j’ai l’impression d’avoir découvert un auteur !
Ce livre de 182 pages se lit comme s’il en avait 800. On arrive péniblement a la fin. Aucun humour, aucune anecdote, rien de percutant et quand on arrive finalement au bout on se demande pourquoi.
La seule note amusante, décrite avec humour, est l’histoire de ses « Franzini » et la critique artistique qui vient avec.
En effet, essai de plagiat de « la maison du retour »?
L’auteur s’écoute parler, se disperse, s’évade de la maison…
A la fin j’ai survolé le livre pour le finir plus vite….
Un point positif? son vocabulaire recherché, j’ai dû ouvrir souvent mon dictionnaire, mais est-ce utile pour nous de connaître des mots si rares et recherchées?
En commencant le livre, je me suis dit que je l’avais déjà lu mais cela me rappelait le Kaufmann que j’avais peu apprécié à l’époque…Je dois avouer que j’ai vite parcouru ce livre, vite refermé et je l’aurai vite oublié. Je n’ai pas aimé ….
l’idée était bonne mais l’auteur égrène des souvenirs dispersés, pas forcément en rapport avec la maison, et il ne recrée absolument pas le charme ou l’atmosphère qu’abritent ce genre de maison.
c’est facile et ennuyeux, c’est court mais on a du mal à le finir.
Pourquoi comparer ce livre avec celui de Kauffman ? Ca n’a strictement rien à voir. L’un est d’un poète doublé d’un philosophe au coeur meurtri qui voit les choses avec sagesse L’autre est d’un écrivain que l’on connait plein d’humour et qui ne veut voir que le côté drôle de sa vie. L’un habite sa maison toute l’année. L’autre y vient trois mois par an aux beaux jours. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre qu’il est vrai, on doit oublier assez vite.
Mais ce n’est pas un défaut pour un livre.
Et bien moi, j’ai aimé.. et j’ai bien ri (ce qui n’est pas si fréquent à la Bibliothèque Orange !) . Bulotte vous êtes dans le vrai « comparaison n’est pas raison » et sourire avec Cauvin n’empêche pas d’être émue avec Kauffman ! Je n’avais d’ailleurs pas apprécié outre mesure « La maison du retour » que j’avais trouvé un peu egocentrique.
Enfin, mais je n’en ai pas la certitude, ce livre n’est-il pas justement un exercice de style imposé par l’éditeur à un auteur pour composer une « collection » ??? Je n’ai plus le livre en main, mais il me semble bien qu’au début il est mentionné « dans la même collection » quelqu’un a-t-il une info à ce sujet ?
Bien d’accord avec Geneviève. Moi aussi dans mon jeune temps j’ai beaucoup aimé P. Cauvin. Mais la maison de l’été est un de ces livres qui n’a du sa parition qu’à la réputation déjà acquise de l’auteur. Sans intérêt.
d’accord avec laetitia lamblin ,camille et bulotte
livre rafraichissant et plein d’humour je me retrouve avec p c quand il dit qu’il est vraiment dans sa maison quand il a enfile les vetements qu’ils laissent
il ne faut pas le comparer a j. P k
Impossible de le comparer à « La maison du retour » : ce n’est ni le même auteur, ni le même livre, ni la même maison et visiblement pas les mêmes raisons d’attachement à leur maison.
Cela étant, la première tentative de comparaison vite repoussée, j’ai passé comme Camille un excellent moment à lire ce livre et je ris encore de l’anecdote de la visite guidée du château où il n’y avait rien à visiter. Rien que pour ce passage savoureux, mais aussi pour la légèreté de l’oeuvre et l’humour qui s’en dégage, j’en garderai un bon souvenir.
Bonjour,
Revenant de République tchèque et ayant visité la ville de Terezin où est présenté un film de propagande nazie sur un « village juif heureux » et me souvenant de ce livre, je me suis demandé si Patrick Cauvin s’était inspiré de ce qui s’est déroulé dans cette ville de Terezin… pour écrire son roman « Nous allions vers les beaux jours »
Le savez-vous ?
Comme laesz, je me suis vite souvenu de l’extraordinaire livre de KAUFMANN sur sa maison des Landes. Depuis, un autre ouvrage du même auteur, sur la Courlande, m’a autant captivé. Ici, à côté, il s’agit d’un aimable divertissement. Je l’ai lu sans ennui et sans passion. Je lui donne la moyenne: 3.
Je me suis bien amusée pendant ces deux jours qui me restaient avant de remettre le livre à ma suivante, c’est léger, rigolo, distrayant. Je ne vois vraiment pas pourquoi plusieurs lecteurs font la comparaison avec la « maison du retour », cela n’a rien à voir. C’était un livre splendide que j’ai offert à plusieurs personnes.
Dans une langue agréable, l’auteur impose son intimité sans beaucoup de révélations, ni de rythme. Les pages se suivent et se ressemblent, le plan reste linéaire d’où une lassitude grandissante . Pour finir sur une note positive, je dirai que son emploi de vocabulaire local ou spécifique n’est pas sans intérêt…
Peut être que son chef d’oeuvre est dans un ouvrage antérieur.
Quelle drôle d’idée de rapprocher Kauffmann et Cauvin ! Peut-on comparer un curry d’agneau à l’indienne avec un bonbon à la grenadine ? Ce livre-ci est agréable à lire. L’auteur essaie de « raccrocher » le client avec un ton primesautier, quelques anecdotes, un brin d’humour, mais quel nombrilisme ! La maison, les amis, le vélo… Tout nous ramène au centre unique d’intérêt : lui.
Il faut savoir suivre l’auteur. Ce livre est un tourbillon, foisonnement léger de ses impressions sur tout et rien comme si Cette maison amie cette douceur angevine lui inspirait une douce joie de vivre de clamer tout ce qui lui passe par la tête. L’écriture rebondit sans cesse les légumes, à la Loire à l’histoire, musique. rire des enfants comme le tourbillon de la diversité de la vie quand la profondeur devient légère et des superflus essentiels cela donne une tonalité harmonieuse ; originale, subtile vivante
Chacun peut se reconnaître dans ce livre comme si on vous demandait d’écrire votre vie mais non dans une suite logique mais tout ce qui l’a jalonnée. Chaque événement n’ayant pas vraiment de rapport avec l’autre mais contribue à la richesse si diversifiée de votre vécu…un lieu commun votre maison : s’y remémorer et l’exprimer avec allégresse
Très pâle copie du livre formidable de Jean-Paul Kauffman lu dans le circuit 2008. Le livre de Patrick Cauvin semble n’être destiné qu’à ses proches, famille et amis : il ressemble à un album photo personnel qu’on nous demande de feuilleter, alors que nous ne sommes pas concernés. On ressent l’ennui d’une après-midi sans fin avec un viel oncle qui vous passe ses diapos de famille, qu’à coup sûr il a rangées dans le désordre après les avoir malencontreusement fait tomber.
Bon démarrage de ce livre puis la douceur angevine prend le dessus et ralentit le rythme et cela traîne en longueur.
Après le livre de Jean Paul Kauffman, « La maison du retour », celui-ci semble bien insipide et ne décrit rien d’extraordinaire. Il ne révèle rien de plus que ce que chacun a pu déjà ressentir lors des étés toujours passés au même endroit. C’est une image d’Epinal. La maison ne semble qu’un prétexte, l’auteur décrit sa propre vie,ses sensations, ses souvenirs et bientôt sa nostalgie ce qui n’intéressera pas la prochaine génération car elle relate une période aujourd’hui pratiquement révolue. Si ce livre raconte les joies de la maison de campagne, c’est le point de vue d’un homme qui ne la voit que de l’extérieur et en profite comme un invité permanent.
L’écriture est facile, fluide, mais ressemble plutôt à une bonne rédaction.
Comme Iaesz et BM je suis extrêmement déçue par le fond et choquée à plusieurs titres par la forme…
Page 51, le premier paragraphe n’a ni queue ni tête : « Il faudrait, pour être un peu rigoureux et introduire de l’ordre dans ce qui n’a pas besoin d’en avoir. »…
Page 84, deuxième paragraphe. Comment le gastéropode peut-il décrire un arc dans l’espace « précédé » d’une comète de beurre persillé ?
Je l’ai cependant lu jusqu’au bout en pensant à « la maison du retour » de J.P. Kauffman
Cela ressemble un peu trop à l’exercice de style de l’écrivain qui se dit: « Tiens, je vais écrire un livre de 300 pages sur ma maison de vacances ». Comme le sujet est mince, l’auteur se promène un peu partout dans ses pensées et ce qui lui passe par la plume. C’est bien écrit, car c’est un écrivain, mais cela manque vraiment de profondeur. C’est plaisant, cela se lit facilement. Sans plus.
comme les autres, j’ai démarré ce livre avec plaisir, puis ennuie. J’ai particulièrement apprécié la comparaison avec le vieil oncle un peu gateux qui infflige une soirée photos à ses neveux. Cette maison coute certainement cher, d’où la necessité de glaner des droits d’auteurs.
En passant, je me réjouis de constater que beaucoup de lecteurs de la BO donnent des avis intéressants. Continuez !
Livre rafraichissant et facile a lire meme consamment entre-coupe (lors de brefs trajets en metro, par exemple). L’utilisation des initiales des amis de l’auteur est vite lassante, et je rejoins d’autres lecteurs: L’auteur nous rappelle trop souvent la « necessite » qu’il a d’ecrire ce livre, et cela devient desagreable. Mais dans l’ensemble, lecture agreable, sans plus.
Comme à chaque fois une quinzaine sur deux il faut faire un choix de livre. Je n’ai pas toujours le temps de lire le second. J’ai donc commencé par le livre de Cauvin bien distrayant et facile à lire. J’ai passé un bon moment de lecture facile. Un bon livre pour une bibliothèque tournante mais je ne l’aurais certainement pas acheté et en cela comme il le suggère en conclusion je crois qu’il a loupé son coup.
Je n’ai vraiment pas accroche avec ce livre. Je n’aime pas du tout son style, avec toutes ces phrases qui n’ont ni queue ni tete, c’est penible a lire. Je n’ai pas reussi a le finir et je n’en garderai aucun souvenir !
Je n’avais jamais lu de livres de P. Cauvin, et celui-ci ne me donne pas envie de renouveler l’expérience ; quel ennui : l’ouvrage est mal écrit, prétend être drôle, et se révèle fort ennuyeux …
Livre sans intêret,bien loin du delicieux livre de Kauffman l’an dernier.On a l’impression que P.Cauvin se moque un peu de ses lecteurs.Cela n’a ni queue ni tête;assez agreable sans plus ,ilfaut bien vivre!
Moi aussi j’ai préféré de loin le livre de J.P. Kauffman.
dans mon jeune temps….j’ai beaucoup aimé patrick cauvin : c’était le pérou, nous allions vers les beaux jours, rue des bons enfants ou E=mc2 mon amour… j’ai été d’autant plus déçue, dommage
D’accord avec Jacqueline. Divagations sans but. On dirait vraiment que l’auteur avait à honorer un contrat avec son éditeur.
J’avais adoré « La Maison du retour » de JP Kauffmann, et j’étais ravie de commencer ce livre… Mais j’ai abandonné au bout d’une trentaine de pages.
A Christine: Que cela ne vous empêche pas de lire les romans de Patrick Cauvin car d’après mes souvenirs ils sont vivants, drôles, rythmés…tout le contraire de celui-ci. Il est vrai que c’était il y a plus de vingt ans.
J’ai passé un bon moment avec ce livre truffé d’humour et sans prétention. L’auteur ne se prend pas au sérieux et ce ton léger ne m’a pas gênée. Bien sûr cela n’a rien à voir avec le livre extraordinaire de J.-P. Kauffmann, mais l’intention n’était pas la même et je trouve l’ensemble très plaisant et assez attachant.
Tout à fait d’accord avec Camille. Et contrairement à d’autres démarches : j’avais trouvé sans intérêt un des premiers livres de PC – Monsieur Papa – et là j’ai l’impression d’avoir découvert un auteur !
Ce livre de 182 pages se lit comme s’il en avait 800. On arrive péniblement a la fin. Aucun humour, aucune anecdote, rien de percutant et quand on arrive finalement au bout on se demande pourquoi.
La seule note amusante, décrite avec humour, est l’histoire de ses « Franzini » et la critique artistique qui vient avec.
En effet, essai de plagiat de « la maison du retour »?
L’auteur s’écoute parler, se disperse, s’évade de la maison…
A la fin j’ai survolé le livre pour le finir plus vite….
Un point positif? son vocabulaire recherché, j’ai dû ouvrir souvent mon dictionnaire, mais est-ce utile pour nous de connaître des mots si rares et recherchées?
En commencant le livre, je me suis dit que je l’avais déjà lu mais cela me rappelait le Kaufmann que j’avais peu apprécié à l’époque…Je dois avouer que j’ai vite parcouru ce livre, vite refermé et je l’aurai vite oublié. Je n’ai pas aimé ….
l’idée était bonne mais l’auteur égrène des souvenirs dispersés, pas forcément en rapport avec la maison, et il ne recrée absolument pas le charme ou l’atmosphère qu’abritent ce genre de maison.
c’est facile et ennuyeux, c’est court mais on a du mal à le finir.
Facile à lire. Bien écrit. Un livre que je relirai facilement, si je le découvrai au hasard d’une chambre d’hôtes.
Pourquoi comparer ce livre avec celui de Kauffman ? Ca n’a strictement rien à voir. L’un est d’un poète doublé d’un philosophe au coeur meurtri qui voit les choses avec sagesse L’autre est d’un écrivain que l’on connait plein d’humour et qui ne veut voir que le côté drôle de sa vie. L’un habite sa maison toute l’année. L’autre y vient trois mois par an aux beaux jours. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre qu’il est vrai, on doit oublier assez vite.
Mais ce n’est pas un défaut pour un livre.
Et bien moi, j’ai aimé.. et j’ai bien ri (ce qui n’est pas si fréquent à la Bibliothèque Orange !) . Bulotte vous êtes dans le vrai « comparaison n’est pas raison » et sourire avec Cauvin n’empêche pas d’être émue avec Kauffman ! Je n’avais d’ailleurs pas apprécié outre mesure « La maison du retour » que j’avais trouvé un peu egocentrique.
Enfin, mais je n’en ai pas la certitude, ce livre n’est-il pas justement un exercice de style imposé par l’éditeur à un auteur pour composer une « collection » ??? Je n’ai plus le livre en main, mais il me semble bien qu’au début il est mentionné « dans la même collection » quelqu’un a-t-il une info à ce sujet ?
J’avais oublié de noter !
Bien d’accord avec Geneviève. Moi aussi dans mon jeune temps j’ai beaucoup aimé P. Cauvin. Mais la maison de l’été est un de ces livres qui n’a du sa parition qu’à la réputation déjà acquise de l’auteur. Sans intérêt.
pas grand interet, et beaucoup de chapitres ennuyeux…..Bof!!!!!
P. Cauvin devait avoir quelque souci d’argent et vite il a pondu ce livre….C’est bien écrit mais c’est vraiment léger.
d’accord avec laetitia lamblin ,camille et bulotte
livre rafraichissant et plein d’humour je me retrouve avec p c quand il dit qu’il est vraiment dans sa maison quand il a enfile les vetements qu’ils laissent
il ne faut pas le comparer a j. P k
Impossible de le comparer à « La maison du retour » : ce n’est ni le même auteur, ni le même livre, ni la même maison et visiblement pas les mêmes raisons d’attachement à leur maison.
Cela étant, la première tentative de comparaison vite repoussée, j’ai passé comme Camille un excellent moment à lire ce livre et je ris encore de l’anecdote de la visite guidée du château où il n’y avait rien à visiter. Rien que pour ce passage savoureux, mais aussi pour la légèreté de l’oeuvre et l’humour qui s’en dégage, j’en garderai un bon souvenir.
Bonjour,
Revenant de République tchèque et ayant visité la ville de Terezin où est présenté un film de propagande nazie sur un « village juif heureux » et me souvenant de ce livre, je me suis demandé si Patrick Cauvin s’était inspiré de ce qui s’est déroulé dans cette ville de Terezin… pour écrire son roman « Nous allions vers les beaux jours »
Le savez-vous ?
Comme laesz, je me suis vite souvenu de l’extraordinaire livre de KAUFMANN sur sa maison des Landes. Depuis, un autre ouvrage du même auteur, sur la Courlande, m’a autant captivé. Ici, à côté, il s’agit d’un aimable divertissement. Je l’ai lu sans ennui et sans passion. Je lui donne la moyenne: 3.
Je me suis bien amusée pendant ces deux jours qui me restaient avant de remettre le livre à ma suivante, c’est léger, rigolo, distrayant. Je ne vois vraiment pas pourquoi plusieurs lecteurs font la comparaison avec la « maison du retour », cela n’a rien à voir. C’était un livre splendide que j’ai offert à plusieurs personnes.
Dans une langue agréable, l’auteur impose son intimité sans beaucoup de révélations, ni de rythme. Les pages se suivent et se ressemblent, le plan reste linéaire d’où une lassitude grandissante . Pour finir sur une note positive, je dirai que son emploi de vocabulaire local ou spécifique n’est pas sans intérêt…
Peut être que son chef d’oeuvre est dans un ouvrage antérieur.
Quelle drôle d’idée de rapprocher Kauffmann et Cauvin ! Peut-on comparer un curry d’agneau à l’indienne avec un bonbon à la grenadine ? Ce livre-ci est agréable à lire. L’auteur essaie de « raccrocher » le client avec un ton primesautier, quelques anecdotes, un brin d’humour, mais quel nombrilisme ! La maison, les amis, le vélo… Tout nous ramène au centre unique d’intérêt : lui.