Dans un style agréable, Natasha SOLOMONS raconte l’histoire de JULIET qui, au hasard de sa modeste vie de mère de famille, choisit,comme cadeau d’anniversaire, de s’offrir son propre portrait par un peintre inconnu au lieu de s’acheter un frigidaire…
Elle n’a aucun talent artistique mais s’aperçoit qu’elle a le don de le détecter chez les autres….
Son mari disparait sans laisser d’adresse…et JULIET va créer une galerie de peinture ….
Ce très bon livre,profondément humain, est rempli d’émotions…
Un roman agréable à lire, qui trace le portrait touchant d’une femme cherchant à s’émanciper. En quête de liberté, Juliet, dont le mari est parti sans laisser d’adresse, ouvre une galerie d’art à Londres et tente de passer outre le qu’en dira-t-on. Pas facile quand on est issu de la petite bourgeoisie anglaise et la communauté juive trés strictes des années 50 et 60.
J’ai bien aimé ce roman, l’histoire vraie d’une femme qui ne s’en laisse pas imposer. Juliett vit seule avec ses deux enfants depuis que son mari s’est volatisé. Ni divorcée ni veuve, elle est (selon les règles très strictes de cette communauté de juifs londonniens) une agouna et n’a pas le droit de refaire sa vie. Malgré tout, elle va reprendre sa vie en main…Elle deviendra une galériste renommée et gagnera son émancipation et son indépendance.
Livre à la fois simple, fluide et surprenant. Quelques rebondissement, elle nous tient en haleine jusqu’au bout concernant son mari … On apprend bcp de choses sur la vie et les conditions dans une communauté juive. J’ai passé un agréable moment à lire ce livre. Bonne description des personnages.
Il a dû me falloir 2 ou 3 chapitres pour comprendre que chacun d’entre eux fait référence à un tableau et à un flash-back, et j’ai ensuite vraiment aimé le livre, l’écriture, et l’histoire de cette femme.
Interessant grâce au contraste entre le milieu des galeries et les parents de Juliette, juifs pratiquants. Juliette et ses deux enfants réussissent à s’intégrer aux deux. Mais que c’est long !
La vie de l’héroïne qui paraît tout à la fois futile et décousue prend toute son épaisseur au fil des pages. Cette sorte de biographie mêlée à une description du milieu artistique rend finalement cette lecture passionnante.
Livre très agréable à lire. c’est très intéressant de voir qu’une femme à cette époque était obligée d’être mariée pour pouvoir demander la pilule à son médecin.
Suite à la disparition de son mari il est très intéressant de voir comment Juliet va s’émanciper de sa communauté et puis s’émanciper tout simplement en choisissant de vivre comme elle le souhaite professionnellement et personnellement.
Juliet élève ses jeunes enfants seule depuis que son mari est parti. Dans son milieu juif pratiquant, ce statut de femme abandonnée est très lourd. Grâce à son regard sur la peinture Juliet change de vie et devient galiériste. Le roman la suit sur plusieurs décennies dans son évolution personnelle et professionnelle. Les chapitres correspondent aux différents portraits que les peintres qui jalonnent sa vie font d’elle. Le tout est allègre et souvent original car toute la place est laissée à la personnalité de l’héroïne. Avec une intrigue qui va jusqu’au bout le roman est bien mené. Voilà un bon livre de vacances.
bon roman, la vie artistique est amusante, Juliet est courageuse et audacieuse pour son époque et son milieu, mais il y a des longueurs ….
de façon plus générale, la sélection de cette année reste moyenne !
J’avais déjà lu et aimé de Natasha Solomons « Jack Rosenblum rêve en anglais », roman mi-drôle mi-poignant sur un émigré juif qui pour s’intégrer en Angleterre et se faire admettre par la bonne société en vient à créer un golf, œuvre titanesque qui lui coûte la vie.
Dans un genre différent « la galerie des maris disparus » se lit d’une traite et ne rend que plus poignante la postface de l’auteur. J’ignorais tout du statut révoltant des agunas, me voilà renseignée…
Roman rafraichissant où l’on voit l’évolution et l’émancipation de Juliet ( femme juive traditionnelle des années 50) à travers des tableaux. Original! Bon livre
Dans un style agréable, Natasha SOLOMONS raconte l’histoire de JULIET qui, au hasard de sa modeste vie de mère de famille, choisit,comme cadeau d’anniversaire, de s’offrir son propre portrait par un peintre inconnu au lieu de s’acheter un frigidaire…
Elle n’a aucun talent artistique mais s’aperçoit qu’elle a le don de le détecter chez les autres….
Son mari disparait sans laisser d’adresse…et JULIET va créer une galerie de peinture ….
Ce très bon livre,profondément humain, est rempli d’émotions…
Un très » beau » roman (artistique dans tous les sens du terme) que j’ai lu d’une traite . Trame et construction très originales ;
j’ai lu ce bon roman d’une traite. Juliet, l’héroïne est attachante, elle revendique sa liberté dans la socièté des années 50.
Un roman agréable à lire, qui trace le portrait touchant d’une femme cherchant à s’émanciper. En quête de liberté, Juliet, dont le mari est parti sans laisser d’adresse, ouvre une galerie d’art à Londres et tente de passer outre le qu’en dira-t-on. Pas facile quand on est issu de la petite bourgeoisie anglaise et la communauté juive trés strictes des années 50 et 60.
J’ai bien aimé ce roman, l’histoire vraie d’une femme qui ne s’en laisse pas imposer. Juliett vit seule avec ses deux enfants depuis que son mari s’est volatisé. Ni divorcée ni veuve, elle est (selon les règles très strictes de cette communauté de juifs londonniens) une agouna et n’a pas le droit de refaire sa vie. Malgré tout, elle va reprendre sa vie en main…Elle deviendra une galériste renommée et gagnera son émancipation et son indépendance.
Livre à la fois simple, fluide et surprenant. Quelques rebondissement, elle nous tient en haleine jusqu’au bout concernant son mari … On apprend bcp de choses sur la vie et les conditions dans une communauté juive. J’ai passé un agréable moment à lire ce livre. Bonne description des personnages.
personnage sympatique, écriture agréable = un bon roman
un bon moment de lecture. d’accord avec les commentaires précédents.
je reprends : « un bon moment de lecture. d’accord avec les commentaires précédents »
Il a dû me falloir 2 ou 3 chapitres pour comprendre que chacun d’entre eux fait référence à un tableau et à un flash-back, et j’ai ensuite vraiment aimé le livre, l’écriture, et l’histoire de cette femme.
Interessant grâce au contraste entre le milieu des galeries et les parents de Juliette, juifs pratiquants. Juliette et ses deux enfants réussissent à s’intégrer aux deux. Mais que c’est long !
La vie de l’héroïne qui paraît tout à la fois futile et décousue prend toute son épaisseur au fil des pages. Cette sorte de biographie mêlée à une description du milieu artistique rend finalement cette lecture passionnante.
Trame bien mince perdue au milieu d’un flot de mots. Et pourtant, il y avait de quoi faire un bon roman sans tomber dans la bluette facile. Dommage
Ttès bon roman, très agréable à lire. On admire le courage de cette femme qui a su sortir de son milieu d’origine et prendre son indépendance.
Livre très agréable à lire. c’est très intéressant de voir qu’une femme à cette époque était obligée d’être mariée pour pouvoir demander la pilule à son médecin.
Suite à la disparition de son mari il est très intéressant de voir comment Juliet va s’émanciper de sa communauté et puis s’émanciper tout simplement en choisissant de vivre comme elle le souhaite professionnellement et personnellement.
Un roman,avec les qualités et les défauts du genre…Mais, ô combien reposant après « La Mort est ma Servante « ….
Juliet élève ses jeunes enfants seule depuis que son mari est parti. Dans son milieu juif pratiquant, ce statut de femme abandonnée est très lourd. Grâce à son regard sur la peinture Juliet change de vie et devient galiériste. Le roman la suit sur plusieurs décennies dans son évolution personnelle et professionnelle. Les chapitres correspondent aux différents portraits que les peintres qui jalonnent sa vie font d’elle. Le tout est allègre et souvent original car toute la place est laissée à la personnalité de l’héroïne. Avec une intrigue qui va jusqu’au bout le roman est bien mené. Voilà un bon livre de vacances.
bon roman, la vie artistique est amusante, Juliet est courageuse et audacieuse pour son époque et son milieu, mais il y a des longueurs ….
de façon plus générale, la sélection de cette année reste moyenne !
J’avais déjà lu et aimé de Natasha Solomons « Jack Rosenblum rêve en anglais », roman mi-drôle mi-poignant sur un émigré juif qui pour s’intégrer en Angleterre et se faire admettre par la bonne société en vient à créer un golf, œuvre titanesque qui lui coûte la vie.
Dans un genre différent « la galerie des maris disparus » se lit d’une traite et ne rend que plus poignante la postface de l’auteur. J’ignorais tout du statut révoltant des agunas, me voilà renseignée…
Roman rafraichissant où l’on voit l’évolution et l’émancipation de Juliet ( femme juive traditionnelle des années 50) à travers des tableaux. Original! Bon livre