J’ai bien aimé ce livre même si ce n’est pas le type de livre que je lis d’habitude; il se lit facilement; le sujet en est très original et c’est un excellent ouvrage pour les vacances. On change complètement d’univers; cela donne aussi une idée de ce que pouvait être New York dans les années 1900.
Vol Paris New York, fin février 2015, arrivée à JFK dans le blizzard avec ce livre largement entame…’de quoi se mettre dans l ambiance! La vie est un combat et pour les migrants de cette époque la, c était leur survie qui était en jeu. Une porteuse saine qui transmet la maladie à son insu et que l on oblige à vivre sur une île , coupe des siens, ce n est vraiment pas facile pour personne, y compris pour la médecine balbutiante.
Le destin d’une femme forte qui devra lutter contre l’absurdité d’une situation mal maîtrisée par des médecins qui découvrent le concept de porteur sain, le New York des années 1900 ; un livre passionnant.
Dans ce livre passionnant, Mary Beth KEANE nous raconte la vie poignante,difficile et chaotique de Mary MELLON, une immigrée irlandaise,cuisinière talentueuse dans les grandes familles Américaines au début du 20e siècle ….
Un docteur découvre qu’elle est » porteur sain » du bacille de la fièvre typhoïde , maladie mortelle à cette époque..
Mary la transmet par l’intermédiaire de la nourriture qu’elle prépare,tout en ne présentant elle-même aucun symptôme de la maladie….
Un très bon livre…
Le sujet des porteurs sains est intéressant, nous le savions avec le SIDA, mais le livre assez quelconque. Le personnage de Mary Mellon a existé mais n’est pas pour autant sympathique. Toute sa vie se résume en une page sur wikipedia ce qui évite une lecture longue et globalement sans grand intérêt.
Même si ce livre présente quelques longueurs, je l’ai, dans l’ensemble, bien aimé et adhére aux commentaires précédents.
Cependant je suis quelque peu surprise par le commentaire de Anne de L. « Le personnage de Mary Mallon…. n’est pas sympathique » Si l’on écrivait que sur les gens sympathiques, il y aurait beaucoup moins de biographies en librairie !
« sa vie se résume en une page sur wikipedia » . L’intérêt pour une personne ou un sujet dépend-il de la longueur de la notice sur Wikipedia…. ?
J’ai trouvé ce roman original et très intéressant. L’héroïne est attachante, son incompréhension face aux accusations de contamination, ses doutes, son caractère en font un personnage fort que l’on a envie de soutenir. Un très beau personnage de roman.
C’est très long, sans émotion. La lutte d’une illétrée face à l’absurdité de médecins surtout préoccupés par le principe de précaution. Le tout dans une Irlande du 19ème. Aurait mérité d’être beaucoup plus court et d’éviter la vie du compagnon.
Un roman intéressant avec une parfaite description du drame de cette femme qui peine à comprendre cette sorte de malédiction qui la frappe. Par contre les longues diversions consacrées à la vie de son compagnon nuisent un peu à l’unité de l’œuvre.
J’ai beaucoup aimé : le drame du porteur sain; de la cuisinière accusée de donner la mort, l’injustice de la position hiérarchique qu’on perd ( une blanchisseuse est tellement moins qu’une cuisinière); celui de la détresse qu’elle ressent devant la mort des petits enfants et qu’elle doit refouler pour continuer à vivre. Et tout le regard de la société : un autre porteur sain, patriarche, homme, éleveur, est laissé chez lui ( avec pour seule obligation de ne pas s’occupper du lait) . Dans quelle mesure le fait qu’elle soit irlandaise, peu cultivée, non mariée, indépendante financièrement et forte tête n’a pas majoré sa peine ? Et le soutien tacite que lui apporte l’autre « boulangère » montre bien qu’elle se reconnait …C’est si vraissemblable…
Histoire surprenante d un bouleversant destin. Assassin sans le savoir ! Sujet du germe porteur plus qu interessant. L histoire m a prise et ne m a pas lache !
Un thème très intéressant. Mais noyé dans le roman feuilleton de la vie et surtout des amours – pas toujours passionnantes – d’une femme certes très courageuse et victime d’injustices, mais aussi assez égoïste – ou assez stupide – pour parvenir à se persuader que faire des gâteaux n’est pas cuisiner… Bref, un livre, à mon sens, mal composé et plein d’interminables longueurs.
Si le thème est intéressant, la façon de le développer est d’une lourdeur… et l’écriture beaucoup trop moderne même si l’héroïne est féministe avant l’heure.
C’est vraiment long ce vaste délayage autour de Mary Mallon, porteuse saine de la typhoïde au début du XXème. La thèse du livre tient en deux phrases : cette femme porteuse de germes d’une maladie mortelle a été emprisonnée dans un premier temps sans aucune base légale. Même porteuse de la maladie elle n’en est pas moins un être humain avec une vie personnelle.
Anne de L a bien raison…autant lire un article sur cette irlandaise dont la malchance a voulu qu’elle soit saine l’aise porteuse de typhoïde alors qu’elle était cuisinière. Le côté romanesque est superflu
Livre intéressant qui permet de voir comment les porteurs sains étaient perçus au début du XXème siècle. Le rapport de la médecine avec ses porteurs sains qui transmettent la maladie sans savoir qu’ils sont porteurs de bactéries infectieuses. Et cette cuisinière qui est porteuse de la fièvre typhoïde sans comprendre qu’elle puisse transmettre une maladie sans être malade elle-même.
Ce livre nous éclaire sur la médecine du fin du XIXème et début XXème siècle qui tatonne et essaie de comprendre avec les moyens à sa disposition.
Livre interessant sur la découverte des porteurs sains à New York au début du XX siècle et sur la vie d’une femme irlandaise qui se bat pour survivre.
j’ai eu du mal à continuer ce livre bien que le sujet soit interessant ; note moyenne
J’ai bien aimé ce livre même si ce n’est pas le type de livre que je lis d’habitude; il se lit facilement; le sujet en est très original et c’est un excellent ouvrage pour les vacances. On change complètement d’univers; cela donne aussi une idée de ce que pouvait être New York dans les années 1900.
Vol Paris New York, fin février 2015, arrivée à JFK dans le blizzard avec ce livre largement entame…’de quoi se mettre dans l ambiance! La vie est un combat et pour les migrants de cette époque la, c était leur survie qui était en jeu. Une porteuse saine qui transmet la maladie à son insu et que l on oblige à vivre sur une île , coupe des siens, ce n est vraiment pas facile pour personne, y compris pour la médecine balbutiante.
Le destin d’une femme forte qui devra lutter contre l’absurdité d’une situation mal maîtrisée par des médecins qui découvrent le concept de porteur sain, le New York des années 1900 ; un livre passionnant.
livre intéressant sur la vie des migrants et la médecine au début du 20ème siècle à New York
livre un peu long
interminable, filandreux : les américains qui ont bien connu la polio ont peut-être aimé! pas mùoi
Livre intéressant mais avec beaucoup de longueurs. Sur le même sujet, j’ai préféré celui de P. Roth Némésis.
Dans ce livre passionnant, Mary Beth KEANE nous raconte la vie poignante,difficile et chaotique de Mary MELLON, une immigrée irlandaise,cuisinière talentueuse dans les grandes familles Américaines au début du 20e siècle ….
Un docteur découvre qu’elle est » porteur sain » du bacille de la fièvre typhoïde , maladie mortelle à cette époque..
Mary la transmet par l’intermédiaire de la nourriture qu’elle prépare,tout en ne présentant elle-même aucun symptôme de la maladie….
Un très bon livre…
Intéressant, on y découvre New York au début du 20ième siècle et le sort des émigrés vivant de petits boulots
Le sujet des porteurs sains est intéressant, nous le savions avec le SIDA, mais le livre assez quelconque. Le personnage de Mary Mellon a existé mais n’est pas pour autant sympathique. Toute sa vie se résume en une page sur wikipedia ce qui évite une lecture longue et globalement sans grand intérêt.
Même si ce livre présente quelques longueurs, je l’ai, dans l’ensemble, bien aimé et adhére aux commentaires précédents.
Cependant je suis quelque peu surprise par le commentaire de Anne de L. « Le personnage de Mary Mallon…. n’est pas sympathique » Si l’on écrivait que sur les gens sympathiques, il y aurait beaucoup moins de biographies en librairie !
« sa vie se résume en une page sur wikipedia » . L’intérêt pour une personne ou un sujet dépend-il de la longueur de la notice sur Wikipedia…. ?
J’ai trouvé ce roman original et très intéressant. L’héroïne est attachante, son incompréhension face aux accusations de contamination, ses doutes, son caractère en font un personnage fort que l’on a envie de soutenir. Un très beau personnage de roman.
C’est très long, sans émotion. La lutte d’une illétrée face à l’absurdité de médecins surtout préoccupés par le principe de précaution. Le tout dans une Irlande du 19ème. Aurait mérité d’être beaucoup plus court et d’éviter la vie du compagnon.
Un roman intéressant avec une parfaite description du drame de cette femme qui peine à comprendre cette sorte de malédiction qui la frappe. Par contre les longues diversions consacrées à la vie de son compagnon nuisent un peu à l’unité de l’œuvre.
J’ai beaucoup aimé : le drame du porteur sain; de la cuisinière accusée de donner la mort, l’injustice de la position hiérarchique qu’on perd ( une blanchisseuse est tellement moins qu’une cuisinière); celui de la détresse qu’elle ressent devant la mort des petits enfants et qu’elle doit refouler pour continuer à vivre. Et tout le regard de la société : un autre porteur sain, patriarche, homme, éleveur, est laissé chez lui ( avec pour seule obligation de ne pas s’occupper du lait) . Dans quelle mesure le fait qu’elle soit irlandaise, peu cultivée, non mariée, indépendante financièrement et forte tête n’a pas majoré sa peine ? Et le soutien tacite que lui apporte l’autre « boulangère » montre bien qu’elle se reconnait …C’est si vraissemblable…
Histoire surprenante d un bouleversant destin. Assassin sans le savoir ! Sujet du germe porteur plus qu interessant. L histoire m a prise et ne m a pas lache !
Un thème très intéressant. Mais noyé dans le roman feuilleton de la vie et surtout des amours – pas toujours passionnantes – d’une femme certes très courageuse et victime d’injustices, mais aussi assez égoïste – ou assez stupide – pour parvenir à se persuader que faire des gâteaux n’est pas cuisiner… Bref, un livre, à mon sens, mal composé et plein d’interminables longueurs.
Si le thème est intéressant, la façon de le développer est d’une lourdeur… et l’écriture beaucoup trop moderne même si l’héroïne est féministe avant l’heure.
Bien sûr, si cette femme n’avait p
C’est vraiment long ce vaste délayage autour de Mary Mallon, porteuse saine de la typhoïde au début du XXème. La thèse du livre tient en deux phrases : cette femme porteuse de germes d’une maladie mortelle a été emprisonnée dans un premier temps sans aucune base légale. Même porteuse de la maladie elle n’en est pas moins un être humain avec une vie personnelle.
OK , rien à ajouter au témoignage précédent !
Anne de L a bien raison…autant lire un article sur cette irlandaise dont la malchance a voulu qu’elle soit saine l’aise porteuse de typhoïde alors qu’elle était cuisinière. Le côté romanesque est superflu
Livre intéressant qui permet de voir comment les porteurs sains étaient perçus au début du XXème siècle. Le rapport de la médecine avec ses porteurs sains qui transmettent la maladie sans savoir qu’ils sont porteurs de bactéries infectieuses. Et cette cuisinière qui est porteuse de la fièvre typhoïde sans comprendre qu’elle puisse transmettre une maladie sans être malade elle-même.
Ce livre nous éclaire sur la médecine du fin du XIXème et début XXème siècle qui tatonne et essaie de comprendre avec les moyens à sa disposition.