Effectivement le livre est facile mais je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire. François Villon et son compagnon de route ne m’ont pas paru crédibles dans cette aventure de sauvegarde des livres.
Dan un style érudit,imagé et vivant Raphaël JERUSALMY nous introduit au XVem siècle , époque de l’invention de l’imprimerie par Gutemberg,dans le clan hautement intellectuel formé par Louis XI, lucide roi de France qui choisit François VILLON pour remplir une mission secrète, les Medicis,puissants banquiers mécènes de Florence et le royaume secret de la confrérie des chasseurs de livres, rabbins Juifs discrets et efficaces installés en Terre Sainte et par lesquels transite tout le savoir des ouvrages hébraïques….
Pendant ce voyage mouvementé en Terre Sainte, nous accompagnons François VILLON grand poète à l’ âme vagabonde,érudit passionné par les livres et en même temps un rebelle invétéré et insoumis chargé par le roi de France de rapporter ces fameux documents….
Merci pour avoir redonné vie à François Villon. Toutefois, malgré l’intérêt des descriptions et des informations tant sur les Medicis que sur le début de l’imprimerie, il manque quelque chose pour que le livre soit « enlevé ».
Le titre et le sujet étaient pourtant prometteurs !
Pas impossible, mais difficile de rentrer dans ce livre. Mais une fois que l’on y est parvenu, l’aventure devient intéressante. Je n’irais pas jusqu’à dire passionnante, mais presque. L’intrigue est parfois un peu confuse, et le style un peu trop alambiqué à mon goût. C’est cependant un roman qui reste agréable à lire. J’aurais aimé rencontrer François Villon, et l’écouter raconter ses péripéties.
Je ne suis pas allée jusqu’au bout de ce livre, confus et peu crédible … je m’étonne que l’on puisse qualifier cet ouvrage de « livre historique ». C’est un roman. ,
Pas très crédible comme épisode historique, pas très passionnant comme roman…. les descriptions de bagarres et tortures vraiment sanglantes, bref… à regret, j’ai abandonné !
Roman passionnant, il m’a tenu en haleine, mais, bien d’accord avec geneviève sur la crédibilité historique.
Peut-être faudrait-il aller sur Wikipédia pour le vérifier?
C’est vrai que c’est un roman, mais il est truffé de références historiques.
La vie de François Villon,peut laisser libre court à l’imagination vagabonde de l’auteur,
On se laisse emporter dans tous ces rebondissements.
Par moments une écriture très poétique.
Me suis laissé bercé par ces paysages palestiniens que j’ai eu la joie de parcourir.
note4
Le roman commence lorsque François Villon vient d’être banni pour dix ans de Paris. L’Histoire avec un grand H perd sa trace, c’est alors que l’auteur imagine une histoire passionnante autour de la recherche du Testament de Jésus. Roman très rocambolesque mais je me suis laissée emporté par ce voyage à travers l’Italie, la Palestine, Jérusalem et les conflits entre les Médicis, la papauté, la communauté juiive et le roi de Fance.
Il est extrêmement rare que je ne termine pas un livre de la BO mais vraiment je ne suis pas « entrée » dans cette problématique historico – poétique !
D’accord avec la plupart des lecteurs: manifestement c’est un roman bâti autour du personnage de François Villon dont nul n’a jamais fait référence à son destin. ce fut un grand poète incontestablement mais de là à l’embarquer en compagnie de compagnons douteux dans une mission générée par Louis XI pour aller chercher des livres détenus par une confrérie secrète des chasseurs de livres formée par des rabbins et des érudits juifs installée dans un endroit secret en terre sainte, il y a de quoi décrocher en route!.
Pourtant le voyage en Palestine est intéressant et nous permet d’évoquer le Lac de Tibériade, le plateau du Golan et de nous promener dans les dédales de Jérusalem.
Mais l’histoire en elle-même est trop tarabiscotée à mon goût
Histoire assez confuse au début, on ne comprend pas trop le but des opérations décrites puis quand on se repère un peu l’ennui s’installe… Déçue car la vie de François Villon m’aurait intéressée…
Après quelques difficultés à entrer dans le livre, je reconnais l’avoir lu avec intérêt. Il nous permet de pénétrer un monde que j’aime, celui des livres et aussi nous dépeint une époque passionnante entre le Médicis, la papauté et l’inquisition et ces poètes gracieux et rebelles. Je le trouve très bien écrit et érudit, J’aime voir les amateurs de livres et manière d’aborder une nouvelle trouvaille.
Nous suivons Villon dans une sorte d’aventure littéraro-religieuse qui ne manque pas de rebondissements. C’est un peu inutilement confus, car chaque personnage a un double jeu, si ce n’est davantage, mais tout l’intérêt est dans le contexte : cette fin du Moyen-âge où la surpuissance de l’Eglise vacille face à l’émancipation des esprits et le développement de pouvoirs temporels rivaux du sien. Ce monde apparaît bien dur et bien chaotique mais en est d’autant plus passionnant. Le personnage de Villon, énigmatique, donne une sorte de fil conducteur. J’ai bien aimé.
facile d’écrire un roman d’imagination autour d’un personnage hautement célèbre et tout aussi inconnu. Je me suis acharné à comprendre l’intérêt de découvrir et de publier des livres d’authenticité indémontrable. Et que de confusions. J’ai terminé épuisé et peu satisfait
Je ferai mien le commentaire de Michelle. Le récit met du temps a s’installer mais il décolle au quart du livre. Quand on prend le temps de consulter les encyclopédies , on voit que la documentation est importante et que ce livre est enrichissant
Je partage l’opinion dominante négative sur ce livre confus et plutôt agaçant par des cuistreries inutiles: un évêque qui rend visite à un prisonnier « en aube » et qui se promène dans la rue crosse à la main et peut être mitre en tête ? Un romancier « historique » -vive le roman historique – devrait quand même savoir dépasser les vitraux d’église pour décrire une époque. Culture, certes, mais bien grossièrement intégrée.
Trop complexe quand on ne connait pas précisément l’Histoire de cette période. Dommage pour François Villon et pour ceux qui aiment ce poète, je vous joins un lien pour écouter une magnifique chanson de Georges de Cagliari chantée par Sara Veyron https://soundcloud.com/sara-veyron/complainte-fran-ois-villon
Livre facile à lire. Trés étonnante histoire sur le poète François Villon. On s’imagine trés bien le suivre dans cette Palestine du 15eme siècle.
Effectivement le livre est facile mais je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire. François Villon et son compagnon de route ne m’ont pas paru crédibles dans cette aventure de sauvegarde des livres.
Dan un style érudit,imagé et vivant Raphaël JERUSALMY nous introduit au XVem siècle , époque de l’invention de l’imprimerie par Gutemberg,dans le clan hautement intellectuel formé par Louis XI, lucide roi de France qui choisit François VILLON pour remplir une mission secrète, les Medicis,puissants banquiers mécènes de Florence et le royaume secret de la confrérie des chasseurs de livres, rabbins Juifs discrets et efficaces installés en Terre Sainte et par lesquels transite tout le savoir des ouvrages hébraïques….
Pendant ce voyage mouvementé en Terre Sainte, nous accompagnons François VILLON grand poète à l’ âme vagabonde,érudit passionné par les livres et en même temps un rebelle invétéré et insoumis chargé par le roi de France de rapporter ces fameux documents….
Un livre historique passionnant…
Merci pour avoir redonné vie à François Villon. Toutefois, malgré l’intérêt des descriptions et des informations tant sur les Medicis que sur le début de l’imprimerie, il manque quelque chose pour que le livre soit « enlevé ».
Le titre et le sujet étaient pourtant prometteurs !
Curieuse et étonnante cette autre vie de VILLON. Roman ou réalité ?
Impossible de rentrer dans ce livre. J’abandonne.
Pas impossible, mais difficile de rentrer dans ce livre. Mais une fois que l’on y est parvenu, l’aventure devient intéressante. Je n’irais pas jusqu’à dire passionnante, mais presque. L’intrigue est parfois un peu confuse, et le style un peu trop alambiqué à mon goût. C’est cependant un roman qui reste agréable à lire. J’aurais aimé rencontrer François Villon, et l’écouter raconter ses péripéties.
Je ne suis pas allée jusqu’au bout de ce livre, confus et peu crédible … je m’étonne que l’on puisse qualifier cet ouvrage de « livre historique ». C’est un roman. ,
Pas très crédible comme épisode historique, pas très passionnant comme roman…. les descriptions de bagarres et tortures vraiment sanglantes, bref… à regret, j’ai abandonné !
Roman passionnant, il m’a tenu en haleine, mais, bien d’accord avec geneviève sur la crédibilité historique.
Peut-être faudrait-il aller sur Wikipédia pour le vérifier?
C’est vrai que c’est un roman, mais il est truffé de références historiques.
La vie de François Villon,peut laisser libre court à l’imagination vagabonde de l’auteur,
On se laisse emporter dans tous ces rebondissements.
Par moments une écriture très poétique.
Me suis laissé bercé par ces paysages palestiniens que j’ai eu la joie de parcourir.
note4
Le roman commence lorsque François Villon vient d’être banni pour dix ans de Paris. L’Histoire avec un grand H perd sa trace, c’est alors que l’auteur imagine une histoire passionnante autour de la recherche du Testament de Jésus. Roman très rocambolesque mais je me suis laissée emporté par ce voyage à travers l’Italie, la Palestine, Jérusalem et les conflits entre les Médicis, la papauté, la communauté juiive et le roi de Fance.
Trop confus pour mon goût….
Il est extrêmement rare que je ne termine pas un livre de la BO mais vraiment je ne suis pas « entrée » dans cette problématique historico – poétique !
Pas fini. Il ne suffit pas d’être obscur pour être profond. Dommage, j’aurais aimé faire un bout de chemin avec Villon.
D’accord avec la plupart des lecteurs: manifestement c’est un roman bâti autour du personnage de François Villon dont nul n’a jamais fait référence à son destin. ce fut un grand poète incontestablement mais de là à l’embarquer en compagnie de compagnons douteux dans une mission générée par Louis XI pour aller chercher des livres détenus par une confrérie secrète des chasseurs de livres formée par des rabbins et des érudits juifs installée dans un endroit secret en terre sainte, il y a de quoi décrocher en route!.
Pourtant le voyage en Palestine est intéressant et nous permet d’évoquer le Lac de Tibériade, le plateau du Golan et de nous promener dans les dédales de Jérusalem.
Mais l’histoire en elle-même est trop tarabiscotée à mon goût
Histoire assez confuse au début, on ne comprend pas trop le but des opérations décrites puis quand on se repère un peu l’ennui s’installe… Déçue car la vie de François Villon m’aurait intéressée…
Après quelques difficultés à entrer dans le livre, je reconnais l’avoir lu avec intérêt. Il nous permet de pénétrer un monde que j’aime, celui des livres et aussi nous dépeint une époque passionnante entre le Médicis, la papauté et l’inquisition et ces poètes gracieux et rebelles. Je le trouve très bien écrit et érudit, J’aime voir les amateurs de livres et manière d’aborder une nouvelle trouvaille.
Nous suivons Villon dans une sorte d’aventure littéraro-religieuse qui ne manque pas de rebondissements. C’est un peu inutilement confus, car chaque personnage a un double jeu, si ce n’est davantage, mais tout l’intérêt est dans le contexte : cette fin du Moyen-âge où la surpuissance de l’Eglise vacille face à l’émancipation des esprits et le développement de pouvoirs temporels rivaux du sien. Ce monde apparaît bien dur et bien chaotique mais en est d’autant plus passionnant. Le personnage de Villon, énigmatique, donne une sorte de fil conducteur. J’ai bien aimé.
Aucun intérêt
facile d’écrire un roman d’imagination autour d’un personnage hautement célèbre et tout aussi inconnu. Je me suis acharné à comprendre l’intérêt de découvrir et de publier des livres d’authenticité indémontrable. Et que de confusions. J’ai terminé épuisé et peu satisfait
confus, bavard, ennuyeux,… je passe
si pressée de « passer » j’ai oublié de noter, pardon :
Je ferai mien le commentaire de Michelle. Le récit met du temps a s’installer mais il décolle au quart du livre. Quand on prend le temps de consulter les encyclopédies , on voit que la documentation est importante et que ce livre est enrichissant
Je partage l’opinion dominante négative sur ce livre confus et plutôt agaçant par des cuistreries inutiles: un évêque qui rend visite à un prisonnier « en aube » et qui se promène dans la rue crosse à la main et peut être mitre en tête ? Un romancier « historique » -vive le roman historique – devrait quand même savoir dépasser les vitraux d’église pour décrire une époque. Culture, certes, mais bien grossièrement intégrée.
confus et ennuyeux. Une bonne biographie de F. Villon eut été plus intéressante.
Trop complexe quand on ne connait pas précisément l’Histoire de cette période. Dommage pour François Villon et pour ceux qui aiment ce poète, je vous joins un lien pour écouter une magnifique chanson de Georges de Cagliari chantée par Sara Veyron https://soundcloud.com/sara-veyron/complainte-fran-ois-villon