Ce livre m’est tombé des mains, alors que j’aime beaucoup Delacroix, et je ne l’ai même pas fini… Cela m’a juste donné envie de faire un petit tour au Louvre et de voir les tableaux du maître…
j’ai trouve ce livre étrange mais superbe par ce festival de couleurs qui s’en dégage a à travers les tableaux et la façon dont Florentine entre en transe en regardant « La mort de Sardanapale » est superbe et nous fait comprendre le titre du livre.
de l’ennui devant tout ce romantisme… petits mystères distillés page après page,(309) qui débouchent sur une soi-disant apothéose? je n’en retiens pas grand chose. Sur Delacroix encore moins!
c’est un roman: bonne lecture à ceux qui aiment ces envolées lyriques, à la limite du ridicule.
je suis sévère, je note 2
de l’ennui devant tout ce romantisme… petits mystères distillés page après page,(309..) qui débouchent sur une soi-disant apothéose? je n’en retiens pas grand chose. Sur Delacroix encore moins!
d’accord c’est un roman: bonne lecture à ceux qui aiment ces envolées lyriques, à la limite du ridicule.
je suis sévère, je note 2
un livre étonnant, difficile à suivre: mélange de roman et de biographie. J’ai failli renoncer vers la page 150 devant la totale invraisemblance du récit!! Et puis l’intérêt s’est mis à poindre, j’ai cru à l’histoire, je l’ai aimé, puis adoré. Je le juge à deuxième vue comme l’une de mes grande lecture.
j’ai parfaitement compris les notes sévères actuellement inscrites. Acharnez-vous, vous, même si vous ne comprenez pas tout (comme moi). ma note -5-
Beaucoup d’ennui lors de cette lecture, alors que le sujet semblait passionnant. On effleure l’époque, Paris, les « guerres » des Salons si importantes a posteriori. Dommage car le thème était intéressant.
Michelle TOURNEUR nous raconte la vie de la gracile et blonde FLORENTINE , une orpheline solitaire et médium qui veut apprendre à peindre….
Pour réaliser son rêve , elle s’introduit chez Eugène DELACROIX comme bonne pour « chasser les poussières de son atelier » et ainsi elle apprend en cachette le pouvoir des couleurs…
Avec son don de divination et son goût caché des choses,elle plonge dans les entrailles colorées des peintures de DELACROIX et rentre dans l’âme du peintre….
Elle apprend que » le monde est VOIR » et s’y nourrit dans le silence….
ils deviennent complices de leurs secrets et FLORENTINE va prendre, sans qu’il s’en aperçoive, un ascendant magique sur la vie de cet artiste passionné…
Trop d’invraissemblances au début. Seule la fin rend grace au titre. De la naissance d’un peintre. La vision douloureuse de la beauté qu’on n’est pas à même de fixer.
Delacroix, Florentine, faits de la même pâte. L’un est déjà peintre reconnu, l’autre petite jeune fille éblouie par la beauté du » Livre d’heures « . Le mystère de la beauté va diriger et brûler leur vie » La beauté les assassine. »
Comment ne pas vibrer devant » Les femmes d’Alger » et n’être pas submergè par le flot de couleurs de » La mort de Sardanapale ? »
La vraissemblance ? Nous la retrouverons plus tard. Pour le moment nous sommes en plein romantisme; Profitons-en .
Un lire très original, très agréable à lire, et qui m’a donné envie de revoir des toiles de Delacroix. Des invraisemblances, oui. Mais nous sommes dans le monde de l’art, qui nous fait voir au-delà des réalités. Il suffit de se laisser porter. J’ai beaucoup aimé.
Comment observer un tableau, découvrir la vie d’un peintre et cette époque. Je suis allé à Paris dans l’atelier de Delacroix et j’ai acheté ce livre pour ma fille de 16 ans qui étudie l’histoire de l’art.
J’ai aimé, même si les 1ères pages m’ont paru mièvres, la fougue, la vie et la couleur qui ressortent de ce livre plein de poésie. Une jolie langue facile d’accès mais sûrement très travaillée. Un charmant divertissement, je le pense également.
Moi aussi j’ai été intriguée, agacée par le rythme parfois difficile àsuivre mais je ne l’ai plu laché
Et je me suis piquée au jeu en voulant en savoir plus sur Delacroix.
Je note 5
Ce livre se démarque – par l’imagination et le style- de la suite infinie des petits romans fades
(La jeune fille à la Perle a été un best seller, c’est vrai, mais je l’ai trouvé mièvre… même lu en anglais)
Oui le début est un peu lent, et mystérieux. Mais assez vite on a envie de connaitre le pourquoi de la situation, Ce roman frôle les nouvelles mystérieuses du 19ème siecle,
Et j’ai aimé suivre les évolutions de l’esprit créateur, avec ses doutes, ses certitudes et ses visions pas toujours faciles à réaliser, son obstination aussi.
En finissant ce livre on pense que des Berthe Morissot et des Camille Claudel se préparent..
Pendant et après lecture, je suis partie sur Internet pour retrouver Delacroix, ses couleurs, ses oeuvres et son Journal.
Merci à la bibliothèque orange, c’est un des rares romans que j’ai vraiment aimé cette ainnée
Florentine Galien est cette étrange visiteuse de l’atelier Delacroix qui interpellera le peintre par sa personnalité énigmatique, fugace et volontaire à la fois. Cette fiction romantique permet de replonger avec intérêt au 19e siècle dans ce milieu très âpre des artistes-peintres et des salon mondains qui font et défont sans scrupule la réputation des hommes. J’ai découvert la personnalité odieuse d’Ingres, peintre contemporain de Delacroix, vis à vis du travail de ce grand peintre. Ce très beau roman m’a incitée à revoir les oeuvres de Delacroix sur Internet et dans ma bibliothèque et j’ai encore l’émotion que m’a donné « La liberté guidant le peuple » que j’ai redécouverte au Louvre-Lens.
et bien encore un livre qui est l’objet de beaucoup de critiques.. dommage!
Oui il etait different mais tant mieux..non je ne l’ai pas du tout trouve ridicule mais au contraire emouvant, en demi teintes et ma foi je n’en aime que mieux Delacroix!
Ce livre m’est tombé des mains, alors que j’aime beaucoup Delacroix, et je ne l’ai même pas fini… Cela m’a juste donné envie de faire un petit tour au Louvre et de voir les tableaux du maître…
j’ai trouve ce livre étrange mais superbe par ce festival de couleurs qui s’en dégage a à travers les tableaux et la façon dont Florentine entre en transe en regardant « La mort de Sardanapale » est superbe et nous fait comprendre le titre du livre.
de l’ennui devant tout ce romantisme… petits mystères distillés page après page,(309) qui débouchent sur une soi-disant apothéose? je n’en retiens pas grand chose. Sur Delacroix encore moins!
c’est un roman: bonne lecture à ceux qui aiment ces envolées lyriques, à la limite du ridicule.
je suis sévère, je note 2
de l’ennui devant tout ce romantisme… petits mystères distillés page après page,(309..) qui débouchent sur une soi-disant apothéose? je n’en retiens pas grand chose. Sur Delacroix encore moins!
d’accord c’est un roman: bonne lecture à ceux qui aiment ces envolées lyriques, à la limite du ridicule.
je suis sévère, je note 2
un livre étonnant, difficile à suivre: mélange de roman et de biographie. J’ai failli renoncer vers la page 150 devant la totale invraisemblance du récit!! Et puis l’intérêt s’est mis à poindre, j’ai cru à l’histoire, je l’ai aimé, puis adoré. Je le juge à deuxième vue comme l’une de mes grande lecture.
j’ai parfaitement compris les notes sévères actuellement inscrites. Acharnez-vous, vous, même si vous ne comprenez pas tout (comme moi). ma note -5-
Beaucoup d’ennui lors de cette lecture, alors que le sujet semblait passionnant. On effleure l’époque, Paris, les « guerres » des Salons si importantes a posteriori. Dommage car le thème était intéressant.
Décevant car l’histoire est un peu « tirée par les cheveux ». Toutefois il y a de belles descriptions et de la poésie;
Meme si l’histoire est un peu tirée par les cheveux , j’ai bien aimé ce livre.
Agréable à lire mais c’est de la magie rien à voir avec la réalité et ça n’apprend rien sur Delacroix
Michelle TOURNEUR nous raconte la vie de la gracile et blonde FLORENTINE , une orpheline solitaire et médium qui veut apprendre à peindre….
Pour réaliser son rêve , elle s’introduit chez Eugène DELACROIX comme bonne pour « chasser les poussières de son atelier » et ainsi elle apprend en cachette le pouvoir des couleurs…
Avec son don de divination et son goût caché des choses,elle plonge dans les entrailles colorées des peintures de DELACROIX et rentre dans l’âme du peintre….
Elle apprend que » le monde est VOIR » et s’y nourrit dans le silence….
ils deviennent complices de leurs secrets et FLORENTINE va prendre, sans qu’il s’en aperçoive, un ascendant magique sur la vie de cet artiste passionné…
Un roman très agréable à lire
Oui beaucoup de romantisme larmoyant et d’invraisemblances mais une réelle émotion à partager « la douleur de la beauté »
Quel ennui. Relire « la jeune fille à la perle » pour effacer la mauvaise impression
Trop d’invraissemblances au début. Seule la fin rend grace au titre. De la naissance d’un peintre. La vision douloureuse de la beauté qu’on n’est pas à même de fixer.
Note 4
J’ai aimé…cette aisance à passer du réel au fantasme, ce flamboiement des couleurs mêlé à la luxuriance des étoffes…
au diable la vraisemblance !
Delacroix, Florentine, faits de la même pâte. L’un est déjà peintre reconnu, l’autre petite jeune fille éblouie par la beauté du » Livre d’heures « . Le mystère de la beauté va diriger et brûler leur vie » La beauté les assassine. »
Comment ne pas vibrer devant » Les femmes d’Alger » et n’être pas submergè par le flot de couleurs de » La mort de Sardanapale ? »
La vraissemblance ? Nous la retrouverons plus tard. Pour le moment nous sommes en plein romantisme; Profitons-en .
D’accord avec Fabienne. Ca ne vaut pas » L
Un lire très original, très agréable à lire, et qui m’a donné envie de revoir des toiles de Delacroix. Des invraisemblances, oui. Mais nous sommes dans le monde de l’art, qui nous fait voir au-delà des réalités. Il suffit de se laisser porter. J’ai beaucoup aimé.
Un charmant divertissement, avec des descriptions agréables, mais l’ensemble reste très très inconsistant
Comment observer un tableau, découvrir la vie d’un peintre et cette époque. Je suis allé à Paris dans l’atelier de Delacroix et j’ai acheté ce livre pour ma fille de 16 ans qui étudie l’histoire de l’art.
J’ai aimé, même si les 1ères pages m’ont paru mièvres, la fougue, la vie et la couleur qui ressortent de ce livre plein de poésie. Une jolie langue facile d’accès mais sûrement très travaillée. Un charmant divertissement, je le pense également.
Moi aussi j’ai été intriguée, agacée par le rythme parfois difficile àsuivre mais je ne l’ai plu laché
Et je me suis piquée au jeu en voulant en savoir plus sur Delacroix.
Je note 5
Ce livre se démarque – par l’imagination et le style- de la suite infinie des petits romans fades
(La jeune fille à la Perle a été un best seller, c’est vrai, mais je l’ai trouvé mièvre… même lu en anglais)
Oui le début est un peu lent, et mystérieux. Mais assez vite on a envie de connaitre le pourquoi de la situation, Ce roman frôle les nouvelles mystérieuses du 19ème siecle,
Et j’ai aimé suivre les évolutions de l’esprit créateur, avec ses doutes, ses certitudes et ses visions pas toujours faciles à réaliser, son obstination aussi.
En finissant ce livre on pense que des Berthe Morissot et des Camille Claudel se préparent..
Pendant et après lecture, je suis partie sur Internet pour retrouver Delacroix, ses couleurs, ses oeuvres et son Journal.
Merci à la bibliothèque orange, c’est un des rares romans que j’ai vraiment aimé cette ainnée
Florentine Galien est cette étrange visiteuse de l’atelier Delacroix qui interpellera le peintre par sa personnalité énigmatique, fugace et volontaire à la fois. Cette fiction romantique permet de replonger avec intérêt au 19e siècle dans ce milieu très âpre des artistes-peintres et des salon mondains qui font et défont sans scrupule la réputation des hommes. J’ai découvert la personnalité odieuse d’Ingres, peintre contemporain de Delacroix, vis à vis du travail de ce grand peintre. Ce très beau roman m’a incitée à revoir les oeuvres de Delacroix sur Internet et dans ma bibliothèque et j’ai encore l’émotion que m’a donné « La liberté guidant le peuple » que j’ai redécouverte au Louvre-Lens.
et bien encore un livre qui est l’objet de beaucoup de critiques.. dommage!
Oui il etait different mais tant mieux..non je ne l’ai pas du tout trouve ridicule mais au contraire emouvant, en demi teintes et ma foi je n’en aime que mieux Delacroix!