Quelle belle écriture que celle d’Elvire de Brissac, pour nous raconter avec beaucoup de délicatesse et aussi beaucoup d’émotion l’histoire de sa famille en cette période troublée de la guerre mais aussi de la gloire du « Maitre des Forges ».
Hola, que d’éloges ! Oui, bien sûr , on aime lire l’histoire de cette famille qui fait un peu partie de l’histoire de France puisqu’elle a contribué à tuer des millions d’hommes pour toutes les guerres du monde, et surtout les nôtres.
Cette famille où l’argent est roi et divise frères et soeurs, parents et enfants !
Contrairement à Martine j’ai trouvé le style confus, partant dans tous les sens. Les retours en arrière fréquents ne facilitent pas toujours la suite des évenements. Bref, contente de l’avoir lu mais 3 seulement me semble suffisant.
je suis d’accord avec Herbulot; j’ai trouvé le style très prétentieux et alambiqué. Dommage, l’histoire est intéressante…un peu étirée vers la fin. Ce livre n’est pas inoubliable.
Tout à fait d’accord avec Herbulot et Lucy.
Oui, ce livre retrace la vie d’une « grande famille française ». Bon. Pourquoi pas. OK pour la valeur historique…
Mais quand on est pas de la famille… ni de l’époque, ce livre est diffcile à suivre même s’il est correctement écrit.
Cette famille est évidemment très connue. Certains détails n’intéressent que l’auteur ou sa famille. On voit aussi toutes leurs disputes. Mais où est la vérité entre le Père et ses 2 fils ?
Il eut été souhaitable que l’auteur liste plus en détail et plus complètement les sources d’articles, monographies et autres études sur cette famille, il en existe de très bonnes tout à fait lisibles
Oui bonne écriture, dans une histoire de famille classique : énorme succès des deux première générations, les suivantes se déchirent. la quatrième génération ne veut pas faire la même chose et a vécu d’autres expériences, comme la guerre 14-18.
Le récit recoupe en effet toute la Grande Histoire européenne de fin XIXème et du 20ème sciecles dans les industries lourdes, armements , transports. et pas seulement en France.
Je vois que mon opinion de ce livre correspond bien a ce qui vient d’en etre dit. Ce livre n’a que peu d’interet si on ne s’interesse pas de tres pres a cette famille. L’auteur n’a pas reusii a m’attirer dans son monde. C’est un peu egocentrique, tout ca.
le style de ce livre est en effet bien confus et j’en ai arrêté la lecture à la moitié puis je l’ai reprise car l’histoire de cette famille est cependant très interessante et a une valeur historique
J’ai aimé ce livre,l’histoire de cette famille est effectivement liée à l’histoire de la France et plus particulièrement aux conflits avec l’Allemagne. Mais le récit est parfois confus et on aimerait avoir parfois plus de détails sur les brouilles familiales qui sont effrayantes, Eugène II et ses 2 fils ne se parleront plus.Pourquoi aussi Henri épouse-t-il les filles de la maîtresse de son père ?
C’est bien écrit et on passe un bon moment.
On sent une recherche de souffle mais les poumons n’y sont pas !
Quelques anecdotes intéressantes.
L’excellent n’est malheureusement pas de l’auteur puisqu’il s’agit, pour moi, de cette lettre émouvante entre toutes, écrite par Netty, 22 ans, à son mari ! Cette lettre justifie à elle seule la lecture du livre et devrait être donnée à tout homme souhaitant s’engager dans une vie commune.
Une intéressante page d’histoire, mais je regrette d’une part que le style de l’auteur soit si désagréble, d’autre part que le livre démarre un peu tard dans le temps : on aurait aimé prendre la dynastie à la souche et assister à la naissance de leur fortune ! Dommage.
Tout à fait de l’avis de Motte…..mis à part la lettre de Netti à son mari, je n’ai rien trouvé qui m’accroche dans cette saga familiale qui n’est même pas palpitante.
J’ai d’ailleurs abandonné le récit 2 ou 2 fois avant de le terminer quand même!
Contrairement à la plupart des autres lecteurs qui se sont exprimés, j’ai beaucoup aimé ce livre d’Elvire de Brissac que j’ai dévoré d’une traite…
La brouille entre Eugène et ses fils que l’on voit venir avant qu’elle soit annoncée (père incapable de déléguer malgré son âge, fils piaffant dans les coulisses) pourrait être un sujet de roman à elle seule.
Le fait que Jacques(mon mari) ait été reçu à la Verrière en 60, pour une candidature! m’a motivée pour continuer et terminer ce livre ( à quoi tient donc le fil de la persévérence?! ) dont le style en particulier, m’a laissée sur ma faim( trop de noms ou d’adjectifs à la queue leu leu…par exemple) . Cette saga laisse supposer tous les déchirements qui peuvent survenir, dans une famille, rien de bien nouveau donc, si ce n’est l’agravation des tensions qu’attisent l’argent et l’autorité. Ce livre a le mérite d’être court ce qui n’est pas l’appanage de beaucoup d’autres…
une grosse déception : l’aventure industrielle passionnante n’est qu’esquissée ; il est fait allusion à certaines avancées sociales des Schneider avec une médaille. Rien cependant sur la gestion des conflits sociaux, sur leur façon de sortir des grèves. Les trois fils se couvrent de gloire militaire, mais hélas y laissent la vie ou la santé. Il en résulte un formidable gâchis social et industriel. J’ai été épuisé par les chiquaia de cette famille pourrie par l’argent et sur une généalogie encore moins passionnante que celle des rois de France. -1-
Style confus.Pas de chronologie. Il faut sans cesse se reporter avec la généalogie qui (heureusement)se trouve au début du livre. On aurait pu écrire tant de choses : la puissance industrielle, les avancées sociales…On est réduit à un règlement de compte familial.
Quelle belle écriture que celle d’Elvire de Brissac, pour nous raconter avec beaucoup de délicatesse et aussi beaucoup d’émotion l’histoire de sa famille en cette période troublée de la guerre mais aussi de la gloire du « Maitre des Forges ».
J’ai aussi beaucoup aimé,je l’ai lu d’une seule traite
Hola, que d’éloges ! Oui, bien sûr , on aime lire l’histoire de cette famille qui fait un peu partie de l’histoire de France puisqu’elle a contribué à tuer des millions d’hommes pour toutes les guerres du monde, et surtout les nôtres.
Cette famille où l’argent est roi et divise frères et soeurs, parents et enfants !
Contrairement à Martine j’ai trouvé le style confus, partant dans tous les sens. Les retours en arrière fréquents ne facilitent pas toujours la suite des évenements. Bref, contente de l’avoir lu mais 3 seulement me semble suffisant.
je suis d’accord avec Herbulot; j’ai trouvé le style très prétentieux et alambiqué. Dommage, l’histoire est intéressante…un peu étirée vers la fin. Ce livre n’est pas inoubliable.
Tout à fait d’accord avec Herbulot et Lucy.
Oui, ce livre retrace la vie d’une « grande famille française ». Bon. Pourquoi pas. OK pour la valeur historique…
Mais quand on est pas de la famille… ni de l’époque, ce livre est diffcile à suivre même s’il est correctement écrit.
Cette famille est évidemment très connue. Certains détails n’intéressent que l’auteur ou sa famille. On voit aussi toutes leurs disputes. Mais où est la vérité entre le Père et ses 2 fils ?
Il eut été souhaitable que l’auteur liste plus en détail et plus complètement les sources d’articles, monographies et autres études sur cette famille, il en existe de très bonnes tout à fait lisibles
Oui bonne écriture, dans une histoire de famille classique : énorme succès des deux première générations, les suivantes se déchirent. la quatrième génération ne veut pas faire la même chose et a vécu d’autres expériences, comme la guerre 14-18.
Le récit recoupe en effet toute la Grande Histoire européenne de fin XIXème et du 20ème sciecles dans les industries lourdes, armements , transports. et pas seulement en France.
Je vois que mon opinion de ce livre correspond bien a ce qui vient d’en etre dit. Ce livre n’a que peu d’interet si on ne s’interesse pas de tres pres a cette famille. L’auteur n’a pas reusii a m’attirer dans son monde. C’est un peu egocentrique, tout ca.
le style de ce livre est en effet bien confus et j’en ai arrêté la lecture à la moitié puis je l’ai reprise car l’histoire de cette famille est cependant très interessante et a une valeur historique
J’ai aimé ce livre,l’histoire de cette famille est effectivement liée à l’histoire de la France et plus particulièrement aux conflits avec l’Allemagne. Mais le récit est parfois confus et on aimerait avoir parfois plus de détails sur les brouilles familiales qui sont effrayantes, Eugène II et ses 2 fils ne se parleront plus.Pourquoi aussi Henri épouse-t-il les filles de la maîtresse de son père ?
C’est bien écrit et on passe un bon moment.
J’ai mis 4
On sent une recherche de souffle mais les poumons n’y sont pas !
Quelques anecdotes intéressantes.
L’excellent n’est malheureusement pas de l’auteur puisqu’il s’agit, pour moi, de cette lettre émouvante entre toutes, écrite par Netty, 22 ans, à son mari ! Cette lettre justifie à elle seule la lecture du livre et devrait être donnée à tout homme souhaitant s’engager dans une vie commune.
Une intéressante page d’histoire, mais je regrette d’une part que le style de l’auteur soit si désagréble, d’autre part que le livre démarre un peu tard dans le temps : on aurait aimé prendre la dynastie à la souche et assister à la naissance de leur fortune ! Dommage.
Bien d’accord avec Camille, mais je n’ai mis que 2 le style étant trop verbeux.
Tout à fait de l’avis de Motte…..mis à part la lettre de Netti à son mari, je n’ai rien trouvé qui m’accroche dans cette saga familiale qui n’est même pas palpitante.
J’ai d’ailleurs abandonné le récit 2 ou 2 fois avant de le terminer quand même!
Contrairement à la plupart des autres lecteurs qui se sont exprimés, j’ai beaucoup aimé ce livre d’Elvire de Brissac que j’ai dévoré d’une traite…
La brouille entre Eugène et ses fils que l’on voit venir avant qu’elle soit annoncée (père incapable de déléguer malgré son âge, fils piaffant dans les coulisses) pourrait être un sujet de roman à elle seule.
Intéressant et confus à la fois. Des longueurs. Noté 3
Le fait que Jacques(mon mari) ait été reçu à la Verrière en 60, pour une candidature! m’a motivée pour continuer et terminer ce livre ( à quoi tient donc le fil de la persévérence?! ) dont le style en particulier, m’a laissée sur ma faim( trop de noms ou d’adjectifs à la queue leu leu…par exemple) . Cette saga laisse supposer tous les déchirements qui peuvent survenir, dans une famille, rien de bien nouveau donc, si ce n’est l’agravation des tensions qu’attisent l’argent et l’autorité. Ce livre a le mérite d’être court ce qui n’est pas l’appanage de beaucoup d’autres…
erratum à ce précédent message: lire Verrerie
une grosse déception : l’aventure industrielle passionnante n’est qu’esquissée ; il est fait allusion à certaines avancées sociales des Schneider avec une médaille. Rien cependant sur la gestion des conflits sociaux, sur leur façon de sortir des grèves. Les trois fils se couvrent de gloire militaire, mais hélas y laissent la vie ou la santé. Il en résulte un formidable gâchis social et industriel. J’ai été épuisé par les chiquaia de cette famille pourrie par l’argent et sur une généalogie encore moins passionnante que celle des rois de France. -1-
Style confus.Pas de chronologie. Il faut sans cesse se reporter avec la généalogie qui (heureusement)se trouve au début du livre. On aurait pu écrire tant de choses : la puissance industrielle, les avancées sociales…On est réduit à un règlement de compte familial.