4 ⸱ Histoire du fils
M-H. LAFON
LAFON Marie-Hélène – Buchet-Chastel
Ou comment André, un enfant privé de père et de la tendresse de sa mère, va trouver le salut et la chaleur d’un foyer dans la famille de sa tante. Un récit de 170 pages savoureuses et délicates entre Lot, Cantal et Paris qui petit à petit nous enveloppe dans un manteau de tendresse.
Bof Bof
La langue est belle et il est agréable de lire un livre aussi bien écrit..C’est d’ailleurs la seule raison qui m’a poussée à continuer ma lecture. L’auteure est professeur de lettres classiques, ceci expliquant cela.
L’histoire est confuse, les époques s’entrecroisent.
Décidément je ne comprendrai jamais comment les prix littéraires sont décernés.
Plaisir d’un texte, riche , poetique, et visuel.
Le fil de cette histoire se perd entre les personnages et ressurgit dans les années , ce qui fait le charme et le suspens de la narration! note 4
Une histoire familiale intéressante, mais pourquoi l’auteure cède-t-elle à cette sorte de mode de rompre la chronologie du récit ? Elle oblige ainsi le lecteur à une transposition permanente des personnages dans une époque puis une autre, évoquant un futur avant le passé pour revenir au présent, sans que l’on puisse suivre l’évolution des personnages.
C’est bien écrit mais, encore une fois pourquoi cette mode des écrivains de ne pas vouloir écrire une « histoire d’une vie » en commençant par le début et en finissant par la fin ! Quand, en plus, c’est compliqué à souhait entre oncles et cousins divers, il n’y a plus qu’à se laisser porter par un très beau texte sans trop s’accrocher au récit.
Note 3
Merci Michel, c’est ce que j’ai fait sans vous avoir lu ! La langue est vraiment belle. 4
que d’embrouilles, cela justifie-t-il un livre? si bien écrit soit-il…
–
Certes bien écrit, mais…je m’y suis perdue!
Il faudrait que je le relise dans une période plus appropriée!
Nous suivons l’histoire d’André, un fils sans père, et notamment la façon dont il s’inscrit dans la famille de sa mère et dont il cherche à se situer face à celle de son père. Finalement c’est le fils d’André qui, des années plus tard, ira recréer un lien avec cette famille paternelle. Quelques beaux passages mais le fil du récit semble inutilement alambiqué avec sa chronologie bouleversée.
Ce roman est un vrai puzzle temporel d’instants de vie d’un fils dont la chronologie est à reconstituer au fil des chapitres pour survoler son histoire et ses liens familiaux. Une dualité composée par “Son père et Ce Père” et “Sa Mère et Cette Mère”. Son et Sa existe mais pas Ce et peu Cette.
L’auteur adopte un style littéraire dont chaque chapitre est un seul et unique paragraphe écrit (probablement) a flux continu. Ils sont heureusement structurés par la ponctuation pour les lire avec clarté. Elle permet au lecteur de marquer des pauses et de reprendre son souffle.