AGNIEL Laure Dominique – Tallandier
1901, Gauguin, malade, s’installe aux Marquises. « Eternel insatisfait, paranoïaque et hypocondriaque », il espère y trouver inspiration et apaisement après une vie passionnée et plutôt accidentée, telle que nous la raconte l’auteure. Or l’artiste va se mettre en danger et prendre fait et cause pour défendre les Marquisiens menacés par la colonisation. Une page peu connue de la vie du grand peintre.
Le livre est intéressant, je ne connaissais pas du tout la vie de Gauguin. Le génie n’excuse pas tout. Comment peut on abandonner une femme avec 5 enfants ?
Plus un livre sur les Marquises que sur la vie de Gauguin.
Se lit un peu comme un roman d’aventure assez captivant par ailleurs.
Comme la vie de ces artistes non reconnus de leur vivant se termine souvent dans la plus grande solitude.
Ce livre est assez attachant. J’ai bien aimé.
Livre très intéressant sur le parcours pictorial de ce peintre, sa démarche. L’immoralité du personnage est à replacer dans le contexte de l’époque et du lieu. Très intéressant documentaire sur la colonisation de la Polynésie.
Un ouvrage intéressant car il nous fait découvrir un aspect inconnu de ce peintre – dont le talent ne sera reconnu que beaucoup plus tard – qui se bat pour défendre les droits et la culture des Marquisiens.
Une excellente biographie.
Les Marquises… Bien sûr, c’est loin, ça fait rêver. Notre ami Jacques Brel s’est laissé séduire aussi.
C’est une occasion de revoir des reproductions de Gauguin : la mer, les chevaux,le sable rose, les mystérieuses femmes, et c’est déjà beaucoup.
La bio raconte le parcours chaotique d’un artiste qui se cherche et se trouve en Bretagne, aux Marquises.
Son action sur la colonisation effleurée n’est pas le cœur du livre.
un beau voyage sur la création , et sur la vie dans les marquises.
un livre qui nous rend attachant un homme passionné, qui suivra ses convictions
Je ne connaissait pas la vie de Gauguinet cela m’a bien intéressée,mais l’homme est difficile à cerner et sa peinture
que je n’aimais pas beaucoup je l’ai mieux comprise.
Ce livre sur Gauguin et sur les îles Marquises n’est pas des plus réjouissants sur le plan humain.
Quel trajet de vie, dans des îles françaises méconnues, colonisées selon les idées discutables de l’époque, dans le but d’atteindre une forme de liberté pour lui, et pour les Marquisiens dont il aura été un fervent défenseur, au détriment de sa famille et de ses nombreux enfants…
Que penser aussi du système artistique et de tous ces artistes, dont le génie est méconnu de leur vivant, qui bradent leurs oeuvres pour vivre voire survivre, alors que certaines peuvent se vendre actuellement, comme le signale l’auteur, « trois cent millions de dollars » !
(Prix 2015 du tableau « Quand te maries-tu ? »)
L’ouvrage se lit facilement mais me laisse perplexe sur le fond.
J’ai apprécié cette manière de présenter la vie d’un peintre dont j’aime les tableaux aux couleurs surprenantes. Mais quel artiste difficile au point de vue humain, ce qui est normal vue l’incompréhension du public pour sa peinture et les difficultés qui en découlent. Le sort des peintres de cette période semble injuste vu de notre époque et le la valeur de leur art.
J’aime lire ce genre de livres grâce à la BO.
Bien sûr je connaissais Gauguin, le peintre, ses tableaux, mais pas sa vie.
Faut-il être tourmenté pour être artiste, les artistes le sont-ils tous ?
Une vie mouvementée, aventurière et aventureuse.
Une découverte de ses îles si lointaines où une fois encore nous avons voulu apporter une modernité pas toujours positive pour les peuples locaux.
Pas une très grande littérature mais un livre passionnant où l’auteur sait nous emporter avec elle sur les traces d’un peintre aujourd’hui si reconnu.
A priori, ce livre ne m’attirait pas. Mais finalement j’ai découvert un aspect intéressant de la vie de Gauguin que je ne devinais absolument pas.
C’est intéressant, plus pour la description de la colonisation brutale des français, le rôle pas très estimable des missionnaires de l’église catholique (à comparer au soutien que lui apporta le pasteur protestant Vernier) et le combat que mena vainement Gauguin pour essayer de protéger la culture des marquisiens que comme biographie de l’artiste. Il n’en reste pas moins que le style est moyen et le texte encombré de beaucoup trop de citations. J’ai eu un peu de mal à aller jusqu’au bout !
A priori intéressée par le sujet, j’ai abandonné après une centaine de pages. J’ai trouvé ce livre assez ennuyeux.
Voilà une biographie qui se lit facilement. L’auteur mêle habilement le témoignage de l’époque et la vie du peintre en se concentrant sur les raisons de son installation et sa vie aux Marquises. Approche intéressante.
Découverte d’une île et d’une vie. Beaucoup de plaisir à la lecture de ce livre
L’auteur fait preuve d’une réelle mauvaise foi en critiquant l’épouse abandonnée avec ses 5 enfants au 19ème siècle. J’ai trouvé son point de vue puéril. Ayant réalisée un mémoire sur l’artiste, j’attendais de cette biographie plus d’impartialité. Dommage.
Très agréable à lire, les tableaux passent devant nos yeux.Alexia 78
Une oeuvre qui se lit facilement et qui permet de mieux connaître Gauguin et les affres qu’il a endurées pour se consacrer à sa peinture et défendre âprement les Polynésiens victimes des brimades administratives de la part de petits chefs racistes, jaloux de leur autorité, et de la malhonnêteté intellectuelle des missionnaires.
Cependant, je reste surprise du souvenir que les Polynésiens gardent du peintre : Ont-ils si mauvaise mémoire pour avoir oublié qu’il s’est battu pour eux ou l’image que l’auteur donne de Gauguin manque-t-elle d’exactitude ?
Belle découverte de Gaugin ! À compléter avec l émission Stupéfiant ! Du mardi 3 octobre !
Le sujet est intéressant et évoqué par quelqu’un qui s’intéresse aux Marquises. Le livre devrait d’ailleurs plutôt s’intituler Gauguin et les Marquises. Maintenant l’ensemble est peu lisible l’auteur n’ayant pris aucun recul face aux documents utilisés. Les citations, intéressantes certes, sont accolées maladroitement dans un texte qui manque d’ossature, de ligne directrice. Même la logique chronologique en devient peu claire. La quatrième de couverture a été écrite par une autre personne, qui n’avait sans doute que survolé le livre, et ne traduit donc pas son contenu. Un livre médiocre de bout en bout.