Pourquoi ne pas avoir choisi comme titre: « Françoise, JJ, et les autres ».
Beaucoup de redites sur le personnage de Françoise (caractère, élégance……), des pages et des pages où l’on décrit des personnages sans grand intérêt ou importance, pages où Françoise est absente….
Les faits historiques sont bien en filligramme ou bien décrits, de bons liens.
Bref, le livre aurait pu être plus court et donc moins lassant.
tout à fait d’accord, trop de longueurs, inégalité de traitement pour les faits et les personnages historiques. certains chapitres passionnants tandis que pour d’autres, j’aurais aimé plus de profondeur dans l’analyse. Mais enfin, une bonne promenade dans des années déjà presque oubliées
Voici une mauvaise biographie de Françoise Giroud. Non que le sujet ne soit pas intéressant, c’est ce qui sauve le livre, mais c’est tellement mal écrit en terme le style et en terme de construction du livre. L’auteur a passé de nombreuses heures à lire tous les Express, tous les écrits de Françoise Giroud et a interviewé nombre de ses proches. Malheureusement cela ne suffit pas. On est face à une multitude de détails présentés de façon chronologique (et encore, parfois les dates ne sont pas rappelées et on recule de plusieurs pages pour comprendre quand se situe ce qui est raconté) mais qui n’en reste pas moins désordonnés faute d’avoir été remis en perspective. Le pire est la période où Mendes France a été président du conseil. L’histoire n’est pas une série de grands titres de quotidiens, ni de détails, de même que les hommes qui la font ne se résument pas à leurs propos officiels ou officieux. Page 122 : « L’Express dit la vérité. » Page 123 (en face) : « Françoise, de temps en temps, prend des aises avec la vérité, se met en avant, oublie des épisodes, construit sa vérité et la sculpte avec tant de passion qu’elle finit par y croire elle-même. » Les deux choses coexistent peut-être mais c’est au biographe de les articuler, de donner un sens, une perspective. Il aurait fallu à l’auteur une culture historique et économique qui lui aurait évité cette vision de fouine médiatique. La fin du livre est moins mauvaise, il y a là une forme de recul qui donne un sens à cette vieillesse.
Le style est pénible tout au long du livre: emploi du futur de narration, du présent, du passé, phrases bancales, formules « choc » sorties de leur contexte journalistique, mélange de registres.
Quelle force, quel dynamisme en cette femme ! La lecture de sa biographie est tonique et me fait revivre des évènements qui, à l’époque, ne m’ont pas passionnée, ayant d’autres sujets de préoccupation.
Bien sûr c’est un peu long et on a une indigestion d’Express mais quelle aventure! » Merci la vie ! » dirait Françoise.
Trop de longeurs certes, mais des moments de notre histoire proche qui m’interpellent. Et puis quelle femme ! Je n’avais aucune idée de sa jeunesse, et peu de l’aventure de l’express. Le style de Laure Adler me convient. Peut – être que c’est le travers d’une journaliste commentant une autre journaliste qui fait que tant d’accent est mis sur les aspects liberté de pensée d’agir.
Que ce livre est mal écrit! Surtout la première partie. On dirait qu’il a été raccourci sans être relu. On trouve des pronoms ne rappelant rien, des phrases dans le vide… Les faits sont confus et si on ne connait pas les nombreux personnages (et qu’on a une bonne mémoire de ce qu’on a déjà lu) parfois incomprehensibles. Comme cette énervante manie de nommer les gens par leur prénom. On apprend ainsi que Liliane Bettancourt est une amie de Brigitte… Brigitte qui? la mère, la soeur de JJSS? je ne sais plus… Et pour augmenter l’enervement croissant du lecteur, ce sempiternel questionnement (jamais approfondi souvent hors de contexte) sur l’identite juive. Sinon tout ce que fait et dit Mme Giroud est digne d’admiration. Mme Adler manque totalement d’objectivité… J’ai hésité entre le 1 et le 2, le debut du livre vaut 1 et la fin 2.
L. Adler s’est laissée malmener par son personnage. L’admiration qu’elle a développée pour F.Giroud ne lui a pas permis de décrire objectivement cette personne ambiguë. Comme vous le signalez, l’usage des prénoms et leur répétitivité sont lassants.
effectivement beaucoup trop de longueurs, on ressent bien le caractère et l’originalité de Françoise GIROUD mais c’est mal écrit alors que Laure ADLER a écrit d’autres biographies beaucoup plus intéressantes.
Ce sont plus les archives de l’Express que le vrai portraît d’une femme exceptionnelle pour son époque.
Hormis les défauts d’écriture et de construction de cette biographie, j’en ai bien profité malgré tout avec passion même: j’ai découvert une époque sociale, économique, politique, littéraire. Cette Françoise a vécu une vie riche de rencontres et d’évènements. Intéressant jusqu’au bout.
Écrite avec beaucoup de sensibilité sans omettre certains détails obscurs, cette biographie d’une femme hors du commun, est passionnante. Elle nous fait découvrir l’histoire de l’Express et les traits de caractère de certains personnages de notoriété publique. Notons que l’auteure n’épargne pas Jean-Jacques Servan-Schreiber.
Ce livre m’a passionnée même avec ses longueurs et ses redites.
J’ai trouvé qu’au contraire Laure Adler était objective et c’est peut être cette objectivité qui alourdit l’ensemble…
Car il faut alors tout (ou presque) dire, si on ne veut pas être accusée du contraire …
J’ai beaucoup appris car je n’ai jamais lu l’Express, par contre les chroniques de FG dans le Nouvel Observateur me subjuguaient et je les dévorais en premier.
La fin du livre est très émouvante et je l’ai refermé avec regret.
Ce livre me donne envie de relire les livres autobiographiques de FG et c’est pour moi le signe que cette biographie a atteint son but.
Pourquoi ne pas avoir choisi comme titre: « Françoise, JJ, et les autres ».
Beaucoup de redites sur le personnage de Françoise (caractère, élégance……), des pages et des pages où l’on décrit des personnages sans grand intérêt ou importance, pages où Françoise est absente….
Les faits historiques sont bien en filligramme ou bien décrits, de bons liens.
Bref, le livre aurait pu être plus court et donc moins lassant.
Pas désagréable à lire mais trop de longueurs.
J’ai adoré et suis étonnée de ce parcours et de l’évolution de ses idées politiques…
Je n’en vois pas le bout…. et je crois bien que je vais abandonner avant la fin ! trop de longueurs aussi !
Comme Françoise j’ai trouvé ce livre assomant à terminer avec envie d’abandonner …très moyen
Je suis d’accord ,trop de longueur je me suis accrochée pour le finir
Je suis d’accord ,trop de longueur je me suis accrochée pour le finir ,j’avais envie d’abandonner .
intéressant : c’est toute une époque qui revit sous l’angle de vue de F.G, de sa biographe et d’autres acteurs de ces années (JJSS)
Une époque à revivre et revisiter, nostalgie quand tu nous tiens ! mais aujourd’hui où en sommes nous ?
tout à fait d’accord, trop de longueurs, inégalité de traitement pour les faits et les personnages historiques. certains chapitres passionnants tandis que pour d’autres, j’aurais aimé plus de profondeur dans l’analyse. Mais enfin, une bonne promenade dans des années déjà presque oubliées
Voici une mauvaise biographie de Françoise Giroud. Non que le sujet ne soit pas intéressant, c’est ce qui sauve le livre, mais c’est tellement mal écrit en terme le style et en terme de construction du livre. L’auteur a passé de nombreuses heures à lire tous les Express, tous les écrits de Françoise Giroud et a interviewé nombre de ses proches. Malheureusement cela ne suffit pas. On est face à une multitude de détails présentés de façon chronologique (et encore, parfois les dates ne sont pas rappelées et on recule de plusieurs pages pour comprendre quand se situe ce qui est raconté) mais qui n’en reste pas moins désordonnés faute d’avoir été remis en perspective. Le pire est la période où Mendes France a été président du conseil. L’histoire n’est pas une série de grands titres de quotidiens, ni de détails, de même que les hommes qui la font ne se résument pas à leurs propos officiels ou officieux. Page 122 : « L’Express dit la vérité. » Page 123 (en face) : « Françoise, de temps en temps, prend des aises avec la vérité, se met en avant, oublie des épisodes, construit sa vérité et la sculpte avec tant de passion qu’elle finit par y croire elle-même. » Les deux choses coexistent peut-être mais c’est au biographe de les articuler, de donner un sens, une perspective. Il aurait fallu à l’auteur une culture historique et économique qui lui aurait évité cette vision de fouine médiatique. La fin du livre est moins mauvaise, il y a là une forme de recul qui donne un sens à cette vieillesse.
Le style est pénible tout au long du livre: emploi du futur de narration, du présent, du passé, phrases bancales, formules « choc » sorties de leur contexte journalistique, mélange de registres.
Quelle force, quel dynamisme en cette femme ! La lecture de sa biographie est tonique et me fait revivre des évènements qui, à l’époque, ne m’ont pas passionnée, ayant d’autres sujets de préoccupation.
Bien sûr c’est un peu long et on a une indigestion d’Express mais quelle aventure! » Merci la vie ! » dirait Françoise.
Trop de longueurs, j’ai sauté pas mal de chapitres sur l’express. Dommage.
Trop de longeurs certes, mais des moments de notre histoire proche qui m’interpellent. Et puis quelle femme ! Je n’avais aucune idée de sa jeunesse, et peu de l’aventure de l’express. Le style de Laure Adler me convient. Peut – être que c’est le travers d’une journaliste commentant une autre journaliste qui fait que tant d’accent est mis sur les aspects liberté de pensée d’agir.
Que ce livre est mal écrit! Surtout la première partie. On dirait qu’il a été raccourci sans être relu. On trouve des pronoms ne rappelant rien, des phrases dans le vide… Les faits sont confus et si on ne connait pas les nombreux personnages (et qu’on a une bonne mémoire de ce qu’on a déjà lu) parfois incomprehensibles. Comme cette énervante manie de nommer les gens par leur prénom. On apprend ainsi que Liliane Bettancourt est une amie de Brigitte… Brigitte qui? la mère, la soeur de JJSS? je ne sais plus… Et pour augmenter l’enervement croissant du lecteur, ce sempiternel questionnement (jamais approfondi souvent hors de contexte) sur l’identite juive. Sinon tout ce que fait et dit Mme Giroud est digne d’admiration. Mme Adler manque totalement d’objectivité… J’ai hésité entre le 1 et le 2, le debut du livre vaut 1 et la fin 2.
L. Adler s’est laissée malmener par son personnage. L’admiration qu’elle a développée pour F.Giroud ne lui a pas permis de décrire objectivement cette personne ambiguë. Comme vous le signalez, l’usage des prénoms et leur répétitivité sont lassants.
effectivement beaucoup trop de longueurs, on ressent bien le caractère et l’originalité de Françoise GIROUD mais c’est mal écrit alors que Laure ADLER a écrit d’autres biographies beaucoup plus intéressantes.
Ce sont plus les archives de l’Express que le vrai portraît d’une femme exceptionnelle pour son époque.
trés decue par ce livre,je suis du meme avis qu’Elizabeth et Marie.
Hormis les défauts d’écriture et de construction de cette biographie, j’en ai bien profité malgré tout avec passion même: j’ai découvert une époque sociale, économique, politique, littéraire. Cette Françoise a vécu une vie riche de rencontres et d’évènements. Intéressant jusqu’au bout.
Écrite avec beaucoup de sensibilité sans omettre certains détails obscurs, cette biographie d’une femme hors du commun, est passionnante. Elle nous fait découvrir l’histoire de l’Express et les traits de caractère de certains personnages de notoriété publique. Notons que l’auteure n’épargne pas Jean-Jacques Servan-Schreiber.
Complètement d’accord avec Elisabeth ; c’est fort dommage car FG, personnage contestable sur bien des points, aurait mérité un autre traitement.
Bonne biographie d’une femme par ailleurs peu attachante.
personnage passionnant, mais biographe épuisant. Elle aurait mérité mieux!
biographie mal « ficelée », pas égréable à lire et ne rendant pas le personnage sympathique.
comme ci-dessus, je trouvr aussi qu’il y a trop de longueurs dans cette biographie
Ce livre m’a passionnée même avec ses longueurs et ses redites.
J’ai trouvé qu’au contraire Laure Adler était objective et c’est peut être cette objectivité qui alourdit l’ensemble…
Car il faut alors tout (ou presque) dire, si on ne veut pas être accusée du contraire …
J’ai beaucoup appris car je n’ai jamais lu l’Express, par contre les chroniques de FG dans le Nouvel Observateur me subjuguaient et je les dévorais en premier.
La fin du livre est très émouvante et je l’ai refermé avec regret.
Ce livre me donne envie de relire les livres autobiographiques de FG et c’est pour moi le signe que cette biographie a atteint son but.