Le début est drôle, une sorte de parodie moderne de l’Homme sans qualité de Musil avec la préparation d’un grand événement dont le caractère parfaitement creux est comme sous entendu. Ensuite le héros est embrigadé un peu malgré lui dans cette exposition et, naïf comme tout, il fait penser à Fabrice del Dongo à Waterloo. C’est plutôt amusant également. Il y a aussi un petit effet Shakespeare avec les deux personnages Radford et Wayne – on dirait dans Beaucoup de bruit pour rien. Ensuite, il faut dénouer tout cela dans une sorte de pseudo polard et cela ne tient pas debout. Quel pays apporterait des données confidentielles sur une foire ? La fin est complètement télégraphique pour arriver jusqu’à nos jours. Cela n’apporte rien de boucler la boucle comme cela. Il eut mieux fallu que le lecteur reste comme suspendu avec des incertitudes à l’issue de l’expo. On sent un auteur habile qui tire bien des ficelles, bon artisan auquel il manque le talent ou le souffle.
Une parodie de polar et de roman d’espionnage parfois drole, parfois lente. Un livre sans grand relief, qui n’accroche pas le lecteur mais qui n’est pas non plus deplaisant car c’est quand meme Coe qui manoeuvre! Malgre tout, je n’en garderai pas un souvenir imperissable…
un naif à l’expo….Style alerte;;;mais il faut bien que l’écrivain finisse l’histoire, alors une vingtaine de pages sans intérêt , sauf la toute dernière !!!
Contrairement aux autres commentaires j’ai bien aime ce roman d’espionnage sous un ciel de guerre froide..une lumiere tres british sur l’exposition universelle de 58..agreable a lire…
J’ai bien aimé l’atmosphère, le côté un peu décallé et surtout, ayant été visité l’atomium il y a un an, j’ai imaginé ce qu’avait du être l’expo 58 sur le site que j’ai visité.
J’ai passé un bon moment et le roman est un agréable divertissement, rien de plus ; mais quelques longueurs et une fin accelérée nuisent à la qualité du livre.
Aucune substance pour ce livre. C’est brouillon, lent et la fin est mièvre car on la sentait venir de bien loin ! Je n’ai pas aimé et comme je ne connais pas cet auteur, cela ne me donne pas envie de lire autre chose.
Coe avait dû recevoir une avance trop importante de son éditeur !! J’ai quand même passé un bon moment grâce à quelques expressions drôles comme « l’air faraud du chat qui vient de croquer le canari… » Je ré-emploierai…;
j’ai trouvé ce livre ennuyeux, l’ai écrit et ai été censuré
faut-il limiter ses commentaires à la louange
bien cordialement :
une lecteur assidu, coutumier de commentaires appréciés dans mon groupe
Je ne savait pas que l’on pouvait être censuré. Si on ne peut plus critiquer, alors à quoi servent nos commentaires. Surtout que j’apprécie énormément les vôtres.
Une remarque générale, qui n’a rien à voir avec tel ou tel livre en particulier,mais plutôt avec tous. Les commentateurs s’attachent à des points de vue différents..pour certains, c’est l’aspect « littéraire », l »écriture » (certains lecteurs doivent être profs de Français,en exercice ou à la retraite ) ; d’autres s’intéressent davantaige à l’aspect sociologique, d’autres à l’aspect historique? etc…..Je rêve de rencontres nous permettant d’échanger nos points de vue de vive voix ! ce que nous faisons trop peu, même dans nos différents groupes, à mon avis
Ce livre de Jonathan COE , léger et agréable à lire, est teinté d’humour anglais.il nous raconte les péripéties de la vie de Thomas FOLEY nommé responsable de la bonne tenue du pub du pavillon britannique de l’exposition universelle de Bruxelles en 1958…
Il y aun peu de sexe,un peu d’amour, un peu d’espionnage et un peu de sentiments qui n’arrivent pas à s’épanouir en si peu de temps…
Un bon moment de lecture…
Ce n’est pas le meilleur roman de Jonathan Coe, mais il se laisse lire. L’intrigue est assez bien ficelée, seuls les deux « espions » Radford et Wayne m’ont paru plus que caricaturals et déplacés. Un roman à lire pour se détendre, sans trop réfléchir…
sans aucun intérêt!!!!!!
comment peut-on mettre un tel livre ds une bibliothèque?
La bonne littérature ça existe, et même en France
Si, si je vous assure
Pitié ne nous infligez plus les romans de gare
Les aventures de ce gros naïf de Thomas au milieu de ce monde caricatural d’espions sont attachantes. Les évocations historiques autour de cette Exposition universelle ne manquent pas d’intérêt, mais l’ensemble reste un peu léger et finalement peu littéraire.
On peut attendre mieux de Jonathan Coe mais c’est amusant et un peu de légèreté fait beaucoup de bien après « Hans et Rudolf » et surtout après le 13 novembre…
Le début est drôle, une sorte de parodie moderne de l’Homme sans qualité de Musil avec la préparation d’un grand événement dont le caractère parfaitement creux est comme sous entendu. Ensuite le héros est embrigadé un peu malgré lui dans cette exposition et, naïf comme tout, il fait penser à Fabrice del Dongo à Waterloo. C’est plutôt amusant également. Il y a aussi un petit effet Shakespeare avec les deux personnages Radford et Wayne – on dirait dans Beaucoup de bruit pour rien. Ensuite, il faut dénouer tout cela dans une sorte de pseudo polard et cela ne tient pas debout. Quel pays apporterait des données confidentielles sur une foire ? La fin est complètement télégraphique pour arriver jusqu’à nos jours. Cela n’apporte rien de boucler la boucle comme cela. Il eut mieux fallu que le lecteur reste comme suspendu avec des incertitudes à l’issue de l’expo. On sent un auteur habile qui tire bien des ficelles, bon artisan auquel il manque le talent ou le souffle.
Une parodie de polar et de roman d’espionnage parfois drole, parfois lente. Un livre sans grand relief, qui n’accroche pas le lecteur mais qui n’est pas non plus deplaisant car c’est quand meme Coe qui manoeuvre! Malgre tout, je n’en garderai pas un souvenir imperissable…
un naif à l’expo….Style alerte;;;mais il faut bien que l’écrivain finisse l’histoire, alors une vingtaine de pages sans intérêt , sauf la toute dernière !!!
Coe a fait de meilleurs livres. Un peu tiré par les cheveux, même s ‘il y a des moments savoureurx. Un peu lent
Contrairement aux autres commentaires j’ai bien aime ce roman d’espionnage sous un ciel de guerre froide..une lumiere tres british sur l’exposition universelle de 58..agreable a lire…
J’ai bien aimé l’atmosphère, le côté un peu décallé et surtout, ayant été visité l’atomium il y a un an, j’ai imaginé ce qu’avait du être l’expo 58 sur le site que j’ai visité.
J’aime habituellement beaucoup les romans de Coe mais celui-ci est une grande déception, la parodie ne décolle pas, dommage!
Roman agréable à lire mais sans grand intérêt.
J’ai passé un bon moment et le roman est un agréable divertissement, rien de plus ; mais quelques longueurs et une fin accelérée nuisent à la qualité du livre.
Un J.Coe en petite forme, parfois amusant comme il sait l’être mais dont on peut se passer
Aucune substance pour ce livre. C’est brouillon, lent et la fin est mièvre car on la sentait venir de bien loin ! Je n’ai pas aimé et comme je ne connais pas cet auteur, cela ne me donne pas envie de lire autre chose.
Roman sans grand intérêt. Je ne recommanderai pas ce livre à mes connaissances.
Bien aimé ce roman et son humour anglais; j’ai passé un bon moment.
livre interessant dans l’ensemble mais fin baclée (grosses ficelles); dommage car coe est d’habitude
un bon auteur
Coe avait dû recevoir une avance trop importante de son éditeur !! J’ai quand même passé un bon moment grâce à quelques expressions drôles comme « l’air faraud du chat qui vient de croquer le canari… » Je ré-emploierai…;
Le début est prometteur mais l’histoire s’enlise jusqu’à une fin farfelue . Sans intérêt pour ma part.
cette nouvelle traduction intéresse peut être ceux qui visitèrent l’expo. Je n’en fais pas partie et n’ai pu atteindre la fin!
j’ai trouvé ce livre ennuyeux, l’ai écrit et ai été censuré
faut-il limiter ses commentaires à la louange
bien cordialement :
une lecteur assidu, coutumier de commentaires appréciés dans mon groupe
Je ne savait pas que l’on pouvait être censuré. Si on ne peut plus critiquer, alors à quoi servent nos commentaires. Surtout que j’apprécie énormément les vôtres.
Une remarque générale, qui n’a rien à voir avec tel ou tel livre en particulier,mais plutôt avec tous. Les commentateurs s’attachent à des points de vue différents..pour certains, c’est l’aspect « littéraire », l »écriture » (certains lecteurs doivent être profs de Français,en exercice ou à la retraite ) ; d’autres s’intéressent davantaige à l’aspect sociologique, d’autres à l’aspect historique? etc…..Je rêve de rencontres nous permettant d’échanger nos points de vue de vive voix ! ce que nous faisons trop peu, même dans nos différents groupes, à mon avis
Ce livre de Jonathan COE , léger et agréable à lire, est teinté d’humour anglais.il nous raconte les péripéties de la vie de Thomas FOLEY nommé responsable de la bonne tenue du pub du pavillon britannique de l’exposition universelle de Bruxelles en 1958…
Il y aun peu de sexe,un peu d’amour, un peu d’espionnage et un peu de sentiments qui n’arrivent pas à s’épanouir en si peu de temps…
Un bon moment de lecture…
Ce n’est pas le meilleur roman de Jonathan Coe, mais il se laisse lire. L’intrigue est assez bien ficelée, seuls les deux « espions » Radford et Wayne m’ont paru plus que caricaturals et déplacés. Un roman à lire pour se détendre, sans trop réfléchir…
caricaturaux !
Un bon moment de lecture sans trop devoir réfléchir
sans aucun intérêt!!!!!!
comment peut-on mettre un tel livre ds une bibliothèque?
La bonne littérature ça existe, et même en France
Si, si je vous assure
Pitié ne nous infligez plus les romans de gare
Roman d’espionnage sans intérêt. Parodie de roman d’espionnage , peut-être mais une parodie se doit d’être drôle.
Les aventures de ce gros naïf de Thomas au milieu de ce monde caricatural d’espions sont attachantes. Les évocations historiques autour de cette Exposition universelle ne manquent pas d’intérêt, mais l’ensemble reste un peu léger et finalement peu littéraire.
Livre sans intérêt ,que fait il dans cette sélection?
On peut attendre mieux de Jonathan Coe mais c’est amusant et un peu de légèreté fait beaucoup de bien après « Hans et Rudolf » et surtout après le 13 novembre…
Même avis que France (16 mars) et pourtant je suis plutôt adepte de Coe.