BOURDEAUT Olivier – Finitude
Un couple et son fils de 12 ans. Une vie de fêtes et de fantaisie, rythmée par Nina Simone, un papa amoureux fou de son épouse un peu givrée, une maman qui bascule définitivement dans la folie, et puis… mademoiselle Superfétatoire. La presse a évoqué Boris Vian, le Comité, lui, a apprécié ce premier roman plein de charme, de poésie, et doté d’une rare fraîcheur.
Un vrai délice !
C’est comme un petit bonbon qui pétille dans la bouche, c’est drôle, fou, burlesque et ça picote.
On rit et on pleure.
On a envie de cette folie et elle fait peur.
Tant qu’il y a de l’amour….
Que du bonheur !!! Toutefois la chute réserve des surprises quant au bonheur. A lire absolument.
Un procédé dynamique : le fil de l’histoire porté, tour à tour, par les trois acteurs fait rebondir notre attention.
Nous sommes pris par ce tourbillon de folie et d’amour jusqu’à la dernière page.
Je confirme…que du bonheur ! rires et sourires
on ne sait pas bien si l’on doit rire ou pleurer…mais la solution arrive, le scénario, les rôles, et la vie continue ! Ce livre m’a fait du bien, qui trouve toujours du positif.
je partage tout à fait l’avis de Christian. C’est un rayon de soleil dans cette époque morose. 4/5
On rit , on pleure. Un tourbillon de joie, de folie.
Quelle fraicheur!
On ne peut être que d’accord avec tous ces commentaires. Ce livre se savoure avec plaisir. Joie, folie, drame, bonheur, leçon de vie. Un seul regret : qu’il soit trop court…
j avais lu ce livre l année dernière appâtée par les critiques élogieuses de toutes parts ! Bon désolée de nager à contre courant mais j avais craqué à la moitié ,ce discours abracadabrantesque m avait laissée de marbre , même pas l ébauche d un sourire , serais -je la seule ,la seule à n avoir pas du tout apprécier ? Bon tant pis ….
Tout à fait d’accord !
Rassurez vous Annie 75 , je suis entièrement d’accord avec vous Cette histoire m’à agacé. .
Je dirai meme plus. L’histoire est morbide, glacante. Mais le recit est ecrit avec verve.
Au travers des yeux de l’enfant et du père, on entre dans une dynamique familiale étrange, belle, pétillante, et ou l’amour surpasse toutes les épreuves….on rit parfois et on est triste aussi….un très beau roman !!
J’ai souri, j’ai ri et …..j’ai pleuré quand est arrivé la fin de ce livre que j’ai beaucoup aimé.
Un grain de folie ….
Le livre est captivant et une fois que l’oncommence sa lecture, on ne peut plus le lacher. L’ecriture est divine, poetique, ce sont des vers en prose. A travers les yeux de l’enfant, leur vie est chouette mais pour moi, la lectrice, c’est une course a la destruction, au drame a travers des vies dediees al’exces. La fin est surprenante car on ne s’attend pas a cette ultime preuve d’amour.
Je reprend ma derniere phrase en disant que l’on ne s’attend pas a cette ultime preuve d’amour de part et d’autre. C’est poignant.
je l’ai laché aussi à mi parcours , cet humour ne m’a pas touché et pourtant j’aime rire !
ça laisse du temps pour lire des livres « en retard » ….
J’ai eu beaucoup de mal à être intéressée par cette histoire bien loufoque au début, il s’y dégage beaucoup plus de tristesse que de moments amusants malgré le ton humoristique de l’auteur par moment.
Je reconnais cependant qu.on est touché par l’amour sans condition du papa et de son fils.
Amour qui ne va tout de même pas jusqu’à continuer la route pour accompagner le fils jusqu’à l’âge adulte.
Troublée au début par cette famille déjantée, je n’ai cependant plus laché ce livre avant la fin
Le récit familial du petit garçon est ponctué d’extraits des écrits de son père. Cela donne une narration à deux voix dont le centre est constituée par la mère, personnage extra-ordinaire objet d’un amour tout aussi extraordinaire de la part de ses deux hommes. Comme une silhouette féminine en écho, une espèce d’échassier africain partage la vie de ces trois êtres. A force de vivre sur la crête de la folie, la mère finit par y glisser, ce qui n’empêche pas son mari et son fils de la suivre jusqu’au bout sur ce chemin difficile. Il y a là quelque chose de l’Ecume des jours, et peut-être aussi de Tendre est la nuit – on parle donc de grands classiques – sauf que la voix de l’enfant, dont la naïveté ressemble souvent à celle du Petit Nicolas de Sempé, sauve la plupart du temps le récit du drame pour essayer à tout prix de rester du côté du drôle. Cette femme, au nom aussi changeant que son humeur (effet littéraire d’ailleurs très intéressant), est aussi attachante qu’effrayante pour le lecteur et c’est sans doute cela la valeur de ce livre : nous emmener sur le chemin de la folie, sans parti pris aucun, parce que finalement où est la limite entre la déraison et le refus de ce monde trop raisonnable ?
D’accord avec presque toutes les nuances de ces commentaires. Ce livre est riches d’émotions diverses et déconcertant. C’est tout de même une performance de nous faire rire en développant une histoire aussi tragique.
Je comprends que la fantaisie et l’humour du livre puissent plaire. Il a une bien belle légèreté et il est excentrique à souhait. Mais la démence du personnage principal me fait froid dans le dos et je n’ai pas du tout aimé la fin si « facile ».
C’est le roman 2017 qu’il faut l’avoir lu!!! Il est original et agréable à lire.
totalement en phase avec les tout premiers commentaires, même si je peux comprendre que la folie déroute et que le livre puisse déplaire. Personnellement cela m’arrive une fois sur 100 d’avoir envie de reprendre le livre à peine après l’avoir terminé. Celui-ci en fait partie !
Le fou dit que les autres sont fous.
Entrainant comme une danse, je l’ ai lu d’ une traite/pas pu le lacher.
Un exercice littéraire brillant mais ce récit loufoque et excessif en tout est finalement décevant ;A partir de l’hospitalisation de l’héroïne j’ai sauté directement à la fin franchement morbide – seul moyen pour terminer ce récit fantasque …
une petite merveille! tellement inattendu…alors écoutez cela….
Difficile d’accepter le début de ce récit qui semble n’avoir ni queue, ni tête. Il semble que l’on plonge dans la folie. Et puis il se révèle qu’il est effectivement question de folie. Mais la fin du roman justifie tout avec une sensibilité infinie qui remplit les dernières pages d’une forte émotion.
L’amour fou – vraiment fou ! – qui lie son père et sa mère raconté avec beaucoup d’humour par leur fils, un peu genre Petit Nicolas de Sempé, un vrai bonheur ! On est entrainé dans un tourbillon complètement déjanté avec des personnages à l’imagination débordante. Encore une sélection d’un premier roman, mais cette fois-ci c’est un très bon choix. Je l’avais lu quand il était sorti mais je l’ai relu et en ai encore plus savouré la prose très poétique.
Je rejoins les commentaires plutôt critiques et suis surprise que ce livre suscite tant d’éloges et rencontre un tel succès. Il y a certes de jolis passages et une écriture créative, mais les personnages sont trop rapidement et superficiellement esquissés pour que l’on s’y attache vraiment. Du coup l’histoire de cette famille déjantée m’a laissée assez indifférente. Ce tourbillon de fêtes et de cocktails sonne creux, de mon point de vue et on peine à y distinguer l’amour des uns et des autres que ses personnages revendiquent…
Manque d’attrait.