Un peu déroutant au début, à cause des allers-retours tant dans le temps que dans l’espace, mais très vite on s’habitue aux personnages, tous tellement attachants. Finalement, une très belle histoire d’amour….. malgré la dureté de certaines pages.
J’ai beaucoup aimé ce premier livre de l’année !
la saison commence bien, ce livre est encore une passerelle entre le moyen orient et l’Europe avec des flash backs de 20 ans d’écart. la vie de femmes malmenées par la vie à cause d’une religion mal comprise, d’ou crime d’honneur qui détruit toute une famille. j »ai bcp aimé!
La saison commence bien, ce livre m’a bcp plu. Toujours ces flash backs entre générations et mélange de vies au Moyen Orient et l’immigration en Europe, içi, l’Angleterre. différence de culture et de religion d’ou ce crime d’honneur qui détruit la famille. un peu de mirabilisme !!!
Ce livre m’a bien plus aussi, malgré une « mise en route » un peu longue (il a fallu dépasser les 140 premières pages pour que j’accroche). Par chance, j’ai eu du temps exceptionnellement et je ne regrette pas d’avoir continué, car le dernier tiers du récit récèle de nombreuses bonnes surprises, à mon goût.
Suis une nouvelle « BO » fraîchement débarquée, et je suis déjà addict… Bien contente de lire des ouvrages que je n’aurais jamais choisi de moi-même.
J’ai été émue par cette narration, avec l’intégrisme en toile de fond, et les odeurs de la cuisine orientale que j’imagine… L’amour indéfectible entre les sœurs jumelles… L’accueil parental à chaque naissance d’encore une fille… La faiblesse humaine avec ce père indigne, les lois coutumières au-dessus des lois britanniques. Le discrédit chatouilleux sur l’honneur supposé perdu d’une jeune fille… Une mère trop adoratrice de son petit garçon ce qui le mènera tout droit vers la délinquance… L’injustice sur l’honneur des hommes toujours intact, quelle que soit leur vie…. Le respect filial qui va un peu loin, envers un homme à la dérive. Policier ? Pas policier ?
Bonne lecture.
Vous demandez pourquoi il y a beaucoup de traductions dans le circuit ?
Préféreriez-vous lire ces livres dans leur version originale (cette année il faudrait lire couramment en anglais, italien, allemand et hébreu) ou bien voudriez-vous ne lire que des livres français (il y a 21 livres français dans le circuit cette année) ?
Merci à la Bibliothèque Orange de nous ouvrir sur le monde et la littérature étrangère !
Désolée, mais je n’ai pu arriver au bout.
Il aurait fallu que je prenne papier et crayon pour noter qui est qui et sortir de cet embrouillamini,
je n’en ai eu ni le temps ni l’envie. Je n’ai pas eu le courage de dépasser les150 premières pages.
note1
Un roman magnifique qui fait des allers et retours entre la Turquie des années 1940 et l’Angleterre des années 1980. Tout commence dans une famille mi-kurde, mi-turque, d’une grand-mère qui ne peut mettre au monde que des filles et ne peut donner le fils tant attendu par le mari et où le poids des traditions passe avant les sentiments puis l’histoire se poursuit à Londres où Pembé, l’une des jumelles s’exile avec son mari. Un mari joueur, volage qui abandonne ses enfants tiraillés entre deux civilisations. Et le drame….le fils qui devient le meurtrier de sa mère.
C’est aussi l’histoire de ces immigrés qui choisissent l’exil, croyant y trouver l’Eldorado et qui n’arrivent pas à trouver leur place dans une société si différente de celle de leurs origines.
Huit filles , quel malheur ! C’est le commencement de cette saga turque.
Beaucoup de sujets abordés : la vie au bord de l’Euphrate, les superstitions, l’exil en Angleterre, l’ adaptation difficile et surtout la notion d’honneur de la famille qui doit être préservé à n’importe quel prix, jusqu’au meurtre.
Les personnages sont vrais, attachants, l’histoire de la famille nous permet de suivre les évolutions et crispations des uns et des autres, et de pénétrer un petit peu la mentalité turque, du moins celle du bord de l’Euphate.
De plus, la traduction se fait oublier.
je reçois ce livre ce mois ci…et comme j’ai peu de temps, je consulte vos commentaires pour orienter mon choix parmi les titres proposés…mais attention de ne pas dévoiler l’intrigue jusqu’au bout; cela gâche un peu la lecture pour les suivants.
Je noterai après lecture… même si je connais déjà la fin.
J’ai beaucoup aimé ce livre, plus en finesse que bien d’autres sur des sujets similaires dans lesquels tout est dramatique et tranché entre l’honneur/les traditions si lourdes qu’on ne peut s’en sortir/l’infériorité des femmes/le machisme des hommes/le destin, forcément tragique, impossible à contrecarrer et l’Occident areligieux, amoral et dépravé.
Ici, autour de l’honneur, tournent surtout finalement des personnes, hommes, femmes, enfants, qui s’enferment eux-mêmes alors qu’il se trouve autour d’eux des personnes qui leur ouvrent des portes, pères à leurs filles, hommes à leurs femmes, chefs de village à de jeunes hommes … la liberté, après des siècles de prison, est finalement toujours bien difficile à saisir …
J’ai retenu, entre autres, cette phrase : « Mon mari. […] Cet homme qui croit que l’honneur réside plus dans le cœur des hommes que dans leur chambre à coucher. »
Par ailleurs, j’ai trouvé l’écriture agréable, les allers-retours dans le temps et les lieux au fil des chapitres pas désagréables, et je ne m’attendais pas à la fin, aux fins devrais-je dire. Un bon roman et des personnages que j’ai suivis avec intérêt et compassion.
Récit passionnant et très révélateur des difficultés d’adaptation de ces émigrés venus de Turquie ou d’ailleurs dans les pays occidentaux dont les moeurs , les habitudes de vie, la culture, les heurtent sans cesse et qu’ils n’intègrent qu’avec difficulté voir même qu’ils rejettent en voulant garder leur langue, leurs coutumes, et surtout l’inégalité profonde qu’ils maintiennent entre les hommes et les femmes!
Une intégration réussie ne peut se faire que par la reconnaissance de la liberté des femmes et l’abandon des préjugés moyenâgeux, (à nos yeux d’occidentaux) qui sont encore de mise à leur égard;
le crime d’honneur est la pire aberration et doit être combattu avec force!
Voilà, je viens de finir la lecture de cette saga passionnante. Difficile pour nous occidentaux d’imaginer qu’à notre époque, et pas si loin de nous géographiquement puissent subsister de telles coutumes. Merci à la B.O. de nous le rappeler.
Je mets 5
Quel bon livre, je rejoins les commentaires précédents ! L’aveuglement et l’attachement inconditionnel aux coutumes ou à la religion mal comprise, ou la rébellion systématique sont des entraves terribles pour la plupart des personnages, bon nombre d’entre eux manquent de discernement pour faire les bons choix dans la vie !
Très bon livre; j’ai eu du mal à le lacher afin de ne pas perdre le fil de cette saga; A notre époque nous avons du mal à imaginer que de telles coutumes puissent encore existées
Très habile reprise de thèmes abordés dans ses ouvrages précédents avec toujours la même poésie ; pour une fois, la traduction est légère. Se lit facilement si on fait l’effort de s’accrocher un peu, néanmoins la fin est en filigrane dès la moitié du livre.
Je suis comme Solange, de grande difficulté à le lire ce livre. J’en suis péniblement à la p96 et dur dur…Même si je dois bien avouer qu’il est très bien écrit ! Vos commentaires m’encouragent à persévérer mais dur dur…
Comme Annie, j’ai vraiment accroché à partir de la page 140 et ensuite, j’ai relu le début!!
Très bon livre pour toutes les raisons évoquées avec talent par les lectrices précédentes
On dirait un mauvais patchwork. Chaque personnage principal est suivi tour à tour, comme avec une caméra rapprochée, aux moments clef de l’intrigue. Par ailleurs, le meurtrier – personnage principal – se confie dans une sorte de journal très peu probable. Tout est un peu caricatural car chacun n’a qu’une facette. Le jeune homme mal élevé par sa mère, le père absent et joueur, la mère encore jeune qui rencontre le bonheur, … la jumelle qui vit à distance à l’unisson avec sa sœur. Le contexte – la vie en Angleterre d’une famille kurde de Turquie immigrée – n’arrive pas à dépasser les évocations de plats traditionnels, les considérations sur la pluie et le vent et les généralités sur le comportement des Anglais vis-à-vis des étrangers. Cela aurait été l’intérêt du livre dont l’intrigue, complètement tirée par les cheveux, ne tient pas debout, sans compter une langue pas extraordinaire, que la traduction n’arrange peut-être pas.
traduction bien difficile à suivre avec de multiples personnages et noms propres impossibles à mémoriser. Portant bonne introduction à l’univers des émigrés en situation intenable et donc mal adaptés.
Roman passionnant sur cette famille kurde. Il me rappelle le roman de l’année dernière « loin des mosquées » .
La vie dans un autre pays pour un mieux vivre ne permet pas toujours à changer ces traditions qui malmènent les femmes, victimes des maris et parfois des fils.
Avec talent, dans un style imagé et soutenu,Elif SHAFAK nous mène à grand train dans la saga de sa famille,mi-turque,mi-kurde,émigrée dans un mauvais quartier de Londres…..
Elle plonge avec finesse dans les profondeurs de l’âme de chacun de ses personnages pour nous faire vivre leurs coutumes,les interdits dictés par leur religion et leurs difficultés d’adaptation dans un nouveau pays…
Chacun vit à sa manière,entre rêves et réalités, noyé par la superstition,les rumeurs, les prémonitions,la culpabilité et surtout les règles de l’honneur de ces communautés plus importantes que le bonheur des individus…
Un grand livre puissant,profond et passionnant…
Pour moi c’est le dernier livre de la sélection et je suis ravie de finir sur ce livre qui est enlevé et qui aborde la vie des Kurdes . Super livre. Il est vrai que j’aime beaucoup Elif Shafak. je n’ai jamais été déçue par son écriture.
Un peu déroutant au début, à cause des allers-retours tant dans le temps que dans l’espace, mais très vite on s’habitue aux personnages, tous tellement attachants. Finalement, une très belle histoire d’amour….. malgré la dureté de certaines pages.
J’ai beaucoup aimé ce premier livre de l’année !
la saison commence bien, ce livre est encore une passerelle entre le moyen orient et l’Europe avec des flash backs de 20 ans d’écart. la vie de femmes malmenées par la vie à cause d’une religion mal comprise, d’ou crime d’honneur qui détruit toute une famille. j »ai bcp aimé!
La saison commence bien, ce livre m’a bcp plu. Toujours ces flash backs entre générations et mélange de vies au Moyen Orient et l’immigration en Europe, içi, l’Angleterre. différence de culture et de religion d’ou ce crime d’honneur qui détruit la famille. un peu de mirabilisme !!!
Ce livre m’a bien plus aussi, malgré une « mise en route » un peu longue (il a fallu dépasser les 140 premières pages pour que j’accroche). Par chance, j’ai eu du temps exceptionnellement et je ne regrette pas d’avoir continué, car le dernier tiers du récit récèle de nombreuses bonnes surprises, à mon goût.
Suis une nouvelle « BO » fraîchement débarquée, et je suis déjà addict… Bien contente de lire des ouvrages que je n’aurais jamais choisi de moi-même.
mais Annie, si vous avez aimé ce livre, pourquoi une si mauvaise note?
J’ai été émue par cette narration, avec l’intégrisme en toile de fond, et les odeurs de la cuisine orientale que j’imagine… L’amour indéfectible entre les sœurs jumelles… L’accueil parental à chaque naissance d’encore une fille… La faiblesse humaine avec ce père indigne, les lois coutumières au-dessus des lois britanniques. Le discrédit chatouilleux sur l’honneur supposé perdu d’une jeune fille… Une mère trop adoratrice de son petit garçon ce qui le mènera tout droit vers la délinquance… L’injustice sur l’honneur des hommes toujours intact, quelle que soit leur vie…. Le respect filial qui va un peu loin, envers un homme à la dérive. Policier ? Pas policier ?
Bonne lecture.
un bon debut de saison esperons que les autre seront aussi bons mais toujours beaucoup de traduction s pourquoi
Vous demandez pourquoi il y a beaucoup de traductions dans le circuit ?
Préféreriez-vous lire ces livres dans leur version originale (cette année il faudrait lire couramment en anglais, italien, allemand et hébreu) ou bien voudriez-vous ne lire que des livres français (il y a 21 livres français dans le circuit cette année) ?
Merci à la Bibliothèque Orange de nous ouvrir sur le monde et la littérature étrangère !
Désolée, mais je n’ai pu arriver au bout.
Il aurait fallu que je prenne papier et crayon pour noter qui est qui et sortir de cet embrouillamini,
je n’en ai eu ni le temps ni l’envie. Je n’ai pas eu le courage de dépasser les150 premières pages.
note1
Un roman magnifique qui fait des allers et retours entre la Turquie des années 1940 et l’Angleterre des années 1980. Tout commence dans une famille mi-kurde, mi-turque, d’une grand-mère qui ne peut mettre au monde que des filles et ne peut donner le fils tant attendu par le mari et où le poids des traditions passe avant les sentiments puis l’histoire se poursuit à Londres où Pembé, l’une des jumelles s’exile avec son mari. Un mari joueur, volage qui abandonne ses enfants tiraillés entre deux civilisations. Et le drame….le fils qui devient le meurtrier de sa mère.
C’est aussi l’histoire de ces immigrés qui choisissent l’exil, croyant y trouver l’Eldorado et qui n’arrivent pas à trouver leur place dans une société si différente de celle de leurs origines.
Huit filles , quel malheur ! C’est le commencement de cette saga turque.
Beaucoup de sujets abordés : la vie au bord de l’Euphrate, les superstitions, l’exil en Angleterre, l’ adaptation difficile et surtout la notion d’honneur de la famille qui doit être préservé à n’importe quel prix, jusqu’au meurtre.
Les personnages sont vrais, attachants, l’histoire de la famille nous permet de suivre les évolutions et crispations des uns et des autres, et de pénétrer un petit peu la mentalité turque, du moins celle du bord de l’Euphate.
De plus, la traduction se fait oublier.
je reçois ce livre ce mois ci…et comme j’ai peu de temps, je consulte vos commentaires pour orienter mon choix parmi les titres proposés…mais attention de ne pas dévoiler l’intrigue jusqu’au bout; cela gâche un peu la lecture pour les suivants.
Je noterai après lecture… même si je connais déjà la fin.
J’ai beaucoup aimé ce livre, plus en finesse que bien d’autres sur des sujets similaires dans lesquels tout est dramatique et tranché entre l’honneur/les traditions si lourdes qu’on ne peut s’en sortir/l’infériorité des femmes/le machisme des hommes/le destin, forcément tragique, impossible à contrecarrer et l’Occident areligieux, amoral et dépravé.
Ici, autour de l’honneur, tournent surtout finalement des personnes, hommes, femmes, enfants, qui s’enferment eux-mêmes alors qu’il se trouve autour d’eux des personnes qui leur ouvrent des portes, pères à leurs filles, hommes à leurs femmes, chefs de village à de jeunes hommes … la liberté, après des siècles de prison, est finalement toujours bien difficile à saisir …
J’ai retenu, entre autres, cette phrase : « Mon mari. […] Cet homme qui croit que l’honneur réside plus dans le cœur des hommes que dans leur chambre à coucher. »
Par ailleurs, j’ai trouvé l’écriture agréable, les allers-retours dans le temps et les lieux au fil des chapitres pas désagréables, et je ne m’attendais pas à la fin, aux fins devrais-je dire. Un bon roman et des personnages que j’ai suivis avec intérêt et compassion.
J’ai aimé ce livre. Mais par la composition du livre, dans cette saga, on fait trop la navette dans la chronologie.
Récit passionnant et très révélateur des difficultés d’adaptation de ces émigrés venus de Turquie ou d’ailleurs dans les pays occidentaux dont les moeurs , les habitudes de vie, la culture, les heurtent sans cesse et qu’ils n’intègrent qu’avec difficulté voir même qu’ils rejettent en voulant garder leur langue, leurs coutumes, et surtout l’inégalité profonde qu’ils maintiennent entre les hommes et les femmes!
Une intégration réussie ne peut se faire que par la reconnaissance de la liberté des femmes et l’abandon des préjugés moyenâgeux, (à nos yeux d’occidentaux) qui sont encore de mise à leur égard;
le crime d’honneur est la pire aberration et doit être combattu avec force!
Voilà, je viens de finir la lecture de cette saga passionnante. Difficile pour nous occidentaux d’imaginer qu’à notre époque, et pas si loin de nous géographiquement puissent subsister de telles coutumes. Merci à la B.O. de nous le rappeler.
Je mets 5
Quel bon livre, je rejoins les commentaires précédents ! L’aveuglement et l’attachement inconditionnel aux coutumes ou à la religion mal comprise, ou la rébellion systématique sont des entraves terribles pour la plupart des personnages, bon nombre d’entre eux manquent de discernement pour faire les bons choix dans la vie !
Très bon livre; j’ai eu du mal à le lacher afin de ne pas perdre le fil de cette saga; A notre époque nous avons du mal à imaginer que de telles coutumes puissent encore existées
Très habile reprise de thèmes abordés dans ses ouvrages précédents avec toujours la même poésie ; pour une fois, la traduction est légère. Se lit facilement si on fait l’effort de s’accrocher un peu, néanmoins la fin est en filigrane dès la moitié du livre.
Je suis comme Solange, de grande difficulté à le lire ce livre. J’en suis péniblement à la p96 et dur dur…Même si je dois bien avouer qu’il est très bien écrit ! Vos commentaires m’encouragent à persévérer mais dur dur…
Comme Annie, j’ai vraiment accroché à partir de la page 140 et ensuite, j’ai relu le début!!
Très bon livre pour toutes les raisons évoquées avec talent par les lectrices précédentes
J’ai beaucoup aimé ce livre. Merci à la bibliotèque orange de me faire découvrir cet auteur.
On dirait un mauvais patchwork. Chaque personnage principal est suivi tour à tour, comme avec une caméra rapprochée, aux moments clef de l’intrigue. Par ailleurs, le meurtrier – personnage principal – se confie dans une sorte de journal très peu probable. Tout est un peu caricatural car chacun n’a qu’une facette. Le jeune homme mal élevé par sa mère, le père absent et joueur, la mère encore jeune qui rencontre le bonheur, … la jumelle qui vit à distance à l’unisson avec sa sœur. Le contexte – la vie en Angleterre d’une famille kurde de Turquie immigrée – n’arrive pas à dépasser les évocations de plats traditionnels, les considérations sur la pluie et le vent et les généralités sur le comportement des Anglais vis-à-vis des étrangers. Cela aurait été l’intérêt du livre dont l’intrigue, complètement tirée par les cheveux, ne tient pas debout, sans compter une langue pas extraordinaire, que la traduction n’arrange peut-être pas.
Très bon livre et une fin inattendue.
Que de rebondissements et quelle intrigue…
J’ai dévoré ce livre avec un réel plaisir bien qu’il soit noir !
traduction bien difficile à suivre avec de multiples personnages et noms propres impossibles à mémoriser. Portant bonne introduction à l’univers des émigrés en situation intenable et donc mal adaptés.
même avis qu’ Elisabeth, quel ennui, sans doute parceque je n’apprécie pas les mères abusives!
J’ai bien aimé ce livre, malgré le fait qu’on saute d’une époque à l’autre, je préfère l’ordre chronologique
Roman passionnant sur cette famille kurde. Il me rappelle le roman de l’année dernière « loin des mosquées » .
La vie dans un autre pays pour un mieux vivre ne permet pas toujours à changer ces traditions qui malmènent les femmes, victimes des maris et parfois des fils.
Avec talent, dans un style imagé et soutenu,Elif SHAFAK nous mène à grand train dans la saga de sa famille,mi-turque,mi-kurde,émigrée dans un mauvais quartier de Londres…..
Elle plonge avec finesse dans les profondeurs de l’âme de chacun de ses personnages pour nous faire vivre leurs coutumes,les interdits dictés par leur religion et leurs difficultés d’adaptation dans un nouveau pays…
Chacun vit à sa manière,entre rêves et réalités, noyé par la superstition,les rumeurs, les prémonitions,la culpabilité et surtout les règles de l’honneur de ces communautés plus importantes que le bonheur des individus…
Un grand livre puissant,profond et passionnant…
Pour moi c’est le dernier livre de la sélection et je suis ravie de finir sur ce livre qui est enlevé et qui aborde la vie des Kurdes . Super livre. Il est vrai que j’aime beaucoup Elif Shafak. je n’ai jamais été déçue par son écriture.
Ce livre est superbement ecrit mais je n’ai pu aller au dela de la 150eme page. Probablement du au crime d’honneur….tout betement.