Belle histoire sur le partage entre la patrie et l’exil, avec l’évolution de la vie d’une jeune fille à la vie de femme, à une époque où les distances ne se parcouraient pas aussi facilement qu’aujourd’hui.
Les sentiments sont positifs.
Il y a de la volonté, du respect, de l’amitié et de l’amour.
Beau livre qui retrace les difficultés de l’exil ! Etre là, ou être ailleurs, sans jamais regretter le passé et sans surestimer le présent ? J’ai bien aimé.
J’ai passé un trés bon moment avec ce livre sur l’expatriation, ses difficultés et ses bonheurs et le lien avec la famille restée au pays.livre agreable qu l’on ne lache pas facilement
On suit pas à pas une jeune irlandaise qui s’expatrie contre son gré aux Etats-Unis pour y trouver du travail. L’histoire tient à peine debout : pourquoi ce prêtre qui ne connaissait ni elle ni sa famille s’occupe-t-il de cette expatriation ? Dans cette famille où les femmes passent leur temps à acheter des habits, des sacs, des chaussures (ce sujet occupe de nombreuses pages) il n’y aurait pas assez d’argent pour que la jeune fille reste en Irlande ? Certes, à l’époque il y a eu de nombreuses expatriations mais l’histoire est comme construite à côté de ce contexte historique. Brooklyn est à peine décrit. Un passage établit un début de comparaison avec Manhattan, et puis cela tourne court.
Le roman est écrit à la première personne mais tout sonne faux. On dirait un emploi du temps étiré en longueur.
Un passage intéressant : la façon dont la mère tente d’enfermer sa fille dans un retour définitif en ne lui laissant pas la parole ni le temps de réfléchir. Le piège est bien construit et sonne juste. Ces trois pages ne suffisent pas à sauver le roman qui est à jeter. Heureusement qu’il est vite oublié.
Les années 50 nous paraissent lointaines mais nous préférons oublier les conditions de vie de cette époque que nous avons aussi vécu en France .
Bonne description des milieux modestes dans lesquels évoluent les personnages.
J’ai commencé le livre avec plaisir, mais j’ai fini par m’ennuyer ferme! Si Eilis a un peu d’épaisseur, les autres personnages sont lisses et convenus.Lesévènements arrivent comme par miracle: le père Flood, l’amour au premier bal, le décès subit de Rose etc…Et la fin où elle part comme une voleuse, c’est un peu pauvre!
livre très agréable à lire. J’ai accroché avec beaucoup plus d’intérêt et de facilité au récit des difficultés d’adaptation de la jeune irlandaise Eilis sortie de son village natal et partie, aidée par un prétre,vers une nouvelle vie qu’elle se construit pas à pas en Amérique, à Brooklyn. Beaucoup plus facile à lire que le roman « Cent ans » dans lequel je m’étais perdue parmi les multiples personnages et les méandres de la chronologie systématiquement chamboulée!
livre très agréable à lire, personnalge attachant avec son courage et ses sentiments partagés… rien d’extraordinaire à proprement parlé mais l’on passe un très bon moment, plaisir de la lecture tout simplement.
J’ai passé un très bon moment en compagnie de cette jeune fille attachante et courageuse.
Une histoire simple, remplie d’humanité, qui donne corps à ce phénomène de l’immigration européenne vers l’Amérique.
A l’intention d’Elisabeth : le livre est écrit non à la première, mais à la troisième personne !
Et bien moi aussi j’ai parfois eu le sentiment , en lisant soigneusement ce livre, de m’être trompée de collection… Vous voyez ce que je veux dire … un roman à l’eau de rose ou acheté au kiosque de la gare ! Néanmoins je lui ai octroyé la moyenne car certains passages m’ont ému – l’expérience de la vente dans l’épicerie, les bals des expatriés irlandais, la mort de la grande soeur dont j’ai déjà oublié le prénom – .
Par contre j’ai trouvé la traduction très peu inspirée…
Désolé, mais ce n’est pas le genre de livre que je recherche ! J’ai trouvé le libre « O ».
livre agréable à lire
Belle histoire sur le partage entre la patrie et l’exil, avec l’évolution de la vie d’une jeune fille à la vie de femme, à une époque où les distances ne se parcouraient pas aussi facilement qu’aujourd’hui.
Les sentiments sont positifs.
Il y a de la volonté, du respect, de l’amitié et de l’amour.
Beau livre qui retrace les difficultés de l’exil ! Etre là, ou être ailleurs, sans jamais regretter le passé et sans surestimer le présent ? J’ai bien aimé.
belle démarche dans pour réaliser savie comme on la veut.
Appréciable la volonté de décider et d’y arriver.
J’ai passé un trés bon moment avec ce livre sur l’expatriation, ses difficultés et ses bonheurs et le lien avec la famille restée au pays.livre agreable qu l’on ne lache pas facilement
Livre agreable à lire décrivant à merveille l’exil et les sentiments des personnages.
On suit pas à pas une jeune irlandaise qui s’expatrie contre son gré aux Etats-Unis pour y trouver du travail. L’histoire tient à peine debout : pourquoi ce prêtre qui ne connaissait ni elle ni sa famille s’occupe-t-il de cette expatriation ? Dans cette famille où les femmes passent leur temps à acheter des habits, des sacs, des chaussures (ce sujet occupe de nombreuses pages) il n’y aurait pas assez d’argent pour que la jeune fille reste en Irlande ? Certes, à l’époque il y a eu de nombreuses expatriations mais l’histoire est comme construite à côté de ce contexte historique. Brooklyn est à peine décrit. Un passage établit un début de comparaison avec Manhattan, et puis cela tourne court.
Le roman est écrit à la première personne mais tout sonne faux. On dirait un emploi du temps étiré en longueur.
Un passage intéressant : la façon dont la mère tente d’enfermer sa fille dans un retour définitif en ne lui laissant pas la parole ni le temps de réfléchir. Le piège est bien construit et sonne juste. Ces trois pages ne suffisent pas à sauver le roman qui est à jeter. Heureusement qu’il est vite oublié.
Je partage entièrement l’avis d’Elisabeth….j’en ai un peu assez de tous ces livres qui soulèvent de faux problèmes !!
Les années 50 nous paraissent lointaines mais nous préférons oublier les conditions de vie de cette époque que nous avons aussi vécu en France .
Bonne description des milieux modestes dans lesquels évoluent les personnages.
J’ai commencé le livre avec plaisir, mais j’ai fini par m’ennuyer ferme! Si Eilis a un peu d’épaisseur, les autres personnages sont lisses et convenus.Lesévènements arrivent comme par miracle: le père Flood, l’amour au premier bal, le décès subit de Rose etc…Et la fin où elle part comme une voleuse, c’est un peu pauvre!
livre très agréable à lire. J’ai accroché avec beaucoup plus d’intérêt et de facilité au récit des difficultés d’adaptation de la jeune irlandaise Eilis sortie de son village natal et partie, aidée par un prétre,vers une nouvelle vie qu’elle se construit pas à pas en Amérique, à Brooklyn. Beaucoup plus facile à lire que le roman « Cent ans » dans lequel je m’étais perdue parmi les multiples personnages et les méandres de la chronologie systématiquement chamboulée!
Une description de l’expatriation intéressante.
livre très agréable à lire, personnalge attachant avec son courage et ses sentiments partagés… rien d’extraordinaire à proprement parlé mais l’on passe un très bon moment, plaisir de la lecture tout simplement.
J’ai passé un très bon moment en compagnie de cette jeune fille attachante et courageuse.
Une histoire simple, remplie d’humanité, qui donne corps à ce phénomène de l’immigration européenne vers l’Amérique.
A l’intention d’Elisabeth : le livre est écrit non à la première, mais à la troisième personne !
Livre bourré de poncifs et d’invraisemblances à lire uniquement sur une plage car il ne requiert aucune attention particulière. La BO mérite mieux
Pas passionnant mais se laisse lire sans accrocher
débile
quel ennui. C’est creux, même pas du niveau d’un roman de gare !
Ce roman n’est pas captivant mais il se laisse lire facilement, c’est déjà pas si mal.
« Pour chaque jour qui passait, elle aurait eu besoin d’un jour supplémentaire afin de l’assimiler. «
Et bien moi aussi j’ai parfois eu le sentiment , en lisant soigneusement ce livre, de m’être trompée de collection… Vous voyez ce que je veux dire … un roman à l’eau de rose ou acheté au kiosque de la gare ! Néanmoins je lui ai octroyé la moyenne car certains passages m’ont ému – l’expérience de la vente dans l’épicerie, les bals des expatriés irlandais, la mort de la grande soeur dont j’ai déjà oublié le prénom – .
Par contre j’ai trouvé la traduction très peu inspirée…