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Boy Diola
Y. DIEME

Yancouba Di̩m̩ РFlammarion

Pour son premier roman, l’auteur choisit de faire une jolie déclaration d‘amour à son père qui a quitté la Casamance dans les années soixante-dix pour venir tenter sa chance en France. Un texte tout en finesse qui fait l’aller-retour entre l’Afrique et la banlieue parisienne pour mieux nous raconter l’histoire familiale, sans pathos mais tout en émotion retenue.

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VOS RÉFLEXIONS
sur ce livre

6 thoughts on “Boy Diola”

  1. Thomas CLERMIDY

    Un très beau roman sur l’intégration

  2. Michel78

    Comme beaucoup de « premier roman », c’est un récit très autobiographique qui mêle les paroles du père et ses propres souvenirs et ceux du fils, l’auteur, durant sa jeunesse. C’est du coup un peu déstructuré, mais on parcourt le temps, des années cinquante à nos jours depuis un père agriculteur dans un village de Casamance qui monte à Dakar puis émigre en France et s’installe en banlieue parisienne au fils qui fait des études. L’écriture est très colorée, pleine d’humour et au final, très « africaine » et pertinente.
    Note 4

  3. Marie L.

    Je n’ai pas accroché du tout. Il y a quelques jolis chapitres (à la fin, donc cela vaut le coup d’aller jusqu’au bout) mais dans l’ensemble cela ressemble à un livre édité à frais d’auteur. J’ai du passer à côté de quelque chose, sinon pourquoi Flammarion l’aurait-il édité? et pourquoi la B.O. l’aurait-il selectionné? Mais je n’ai franchement pas le courage de le lire une deuxieme fois…

  4. Elisabeth BERGERON

    Un jeune homme évoque la vie de son père né en Casamance, parlant diola, et venu travailler en France en 1969. On y trouve à la fois ses souvenirs de jeunesse mais aussi son départ d’Afrique, la façon dont il a travaillé et vécu en France, le tout ayant été collecté par son fils au cours d’interviews ou de conversations et également au long de leur vie commune.
    L’ensemble est peu cohérent, dans un français douteux et ne constitue donc pas un livre. Cela dit, le fond est très passionnant et aborde l’envers de la médaille des trente glorieuses françaises. A se demander si l’éditeur ne cherche pas à soigner sa culpabilité en publiant cet ouvrage. Il y a là quelque chose de démagogique.

  5. Poque

    Beaucoup d’émotion tout au long de ce récit, beaucoup de souffrance évoquée aussi, mais le parti pris de passer sans arrêt d’un lieu et d’un moment à l’autre, nuit un peu à la cohérence de la lecture, même si cela permet de comprendre le partage entre deux mondes si différents et la nostalgie constante du pays d’origine. Note ; 3

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