je n’ai pas ouvert le livre : une personne qui part en allemagne, ne supporte pas la france qui l’a accueillie, et qui n’est pas democrate, je ne suis pas d’accord qu’on mette ce genre de livre
de plus, elle a eu le goncourt, et bien cela lui suffit…
Marie Ndiaye est née à Pithiviers, donc la France ne l’a pas « accueillie », elle est française. Sa mère aussi. Marie Ndiaye est comme nous, citoyenne d’un pays où le droit d’expression est reconnu.
La note est pour l’écriture qui est très soignée, souvent au détriment du rythme et de la clarté. Que de noirceur dans les personnages masculins. la deuxième histoire est perticulièrement agaçante et trop longue. J’ai mieux apprécié la troisième histoire.
Je ne suis pas choquée que l’auteur ait choisi de vivre en Allemagne et l’ai exprimé publiquement. C’est son choix personnel. Ce qui m’intéresse est de savoir comment elle écrit.
Je suis étonnée et presque choquée de la propension qu’ont certains lecteurs à confondre intérêt intrinsèque d’un livre et considérations biographiques sur l’auteur. Il me semble malsain d’associer les deux… Certains écrivains fort sympathiques ont écrit des oeuvres médiocres, d’autres parfaitement méprisables ont laissé des chefs d’oeuvre, alors de grâce arrêtons de tout confondre!!
Vocabulaire raffiné , soignée, choix précis des mots… mais étouffé par des phrases beaucoup trop longues (l’une d’elles, p271 à 273) fait plus d’une page…. qui nuisent à l’ensemble de l’oeuvre et créent l’ennui
J’ai aimé ce livre:pour le sujet(la difficulté de l’émigration et de l’emigré) ,le style très recherché va au plus profond
de la psychologie des pesonnages qui ont beaucoup d’humanité.
3 femmes differentes non pas puissantes pour moi mais très dignes qui agissent intuitivement sur les evennements.
le deuxème lecteur de la famille a donné la note 3
il ne faut pas se laisser decourager par le style c’est un livre tellement different,il me rappelle les livres de Sylvie Germain qui je crois faisait parti des nominés du prix litteraire
Quand à son départ en Allemagne! Depuis des sciècles combien d’écrivains d’artistes ont quitté leur pays par
convictions personnelles
Grosse déception, après le battage médiatique du Goncourt.
Ecriture étouffante, lente, mais raffinée.
C’est assez manichéen car les hommes sont tous mauvais ou méprisables.
La seconde histoire est particulièrement longue et insipide.
Je ne comprends pas qu’on puisse attribuer le Goncourt à un livre aussi ennuyeux, ni que ce livre ait été retenu pour circuler dans la bibliothèque orange. Même le style, effectivement recherché, est rébarbatif : les phrases trop longues, qu’il faut parfois relire deux fois pour ne pas perdre le fil, rendent le livre encore plus ennuyeux.
Je partage la déception des lectrices précédentes concernant la lecture d’un prix Goncourt.
Les mots « flamboyants, touffeur » reviennent à plusieurs reprises.
On s’ennuie en compagnie de ces 3 femmes.
un peu agacé par le choix de trois nouvelles appelées roman. Ecriture convenable, mais que de longueurs. J’ai beaucoup plaint les malheureux qui se sont frottés à ces mégères. Le père n’a eu que ce qu’il a mérité. -1-
Après m’être familiarisée avec l’écriture de Marie Ndiaye je me suis laissée emporter par ces trois histoires qui démontrent toutes les trois l’importance des ressentis de l’enfance sur la construition de la personne adulte et son agissement.Merci pour ces histoires si pathétiques.
En dépit de tous mes efforts j’ai été rebuté par ce style raffiné mais véritablement insupportable avec ses incidentes innombrables et ces phrases d’une longueur provocante. On se questionne sur les motivations du jury du prix Goncourt …
Franchement c’est un prix Goncourt? Certes l’écriture est bonne parfois lourde mais en dehors de la premiere nouvelle je n’ai pas su reconnaitre trois femmes puissantes.Je pense que les membres du jury n’ont pas lu le livre mais ont couronné un auteur femme issue de la diversité point final !!! vive le prix Goncourt des lyceens ,chaque année il tient la route.
Difficile de qualifier un OVNI pareil… J’éprouve des sentiments ambivalents une fois le livre refermé: agacement profond devant ce style ampoulé et indigeste à mes yeux (comme tous les autres romans de Marie Ndiaye que j’ai lus, d’ailleurs) et fascination pour ces destins (croisés?) de femmes africaines qui hantent le lecteur et ne peuvent laisser insensible.
Je mets la note 2 quand meme, car le developpement psychologique des personnages est exprime finement.. La premiere phrase fait 10 lignes, un paragraphe entier. De quoi decourager les lecteurs les plus avides!
d’accord avec les lecteurs ,je ne comprends pas que ce livre a eu le prix et que je le retrouve dans la bibliotheque orange j’aurai prefere lire delphin ed vigan ou un autre auteur ,la note est pour l’ecriture mais que de phrases longue s
Je n’ai pas du tout apprécié ce livre . Je le trouve mal écrit et les 3 histoires sont sans aucun intéret.
Je ne comprends pas comment il a pu obtenir le Goncourt .
C’est le premier livre de la bibliothèque que j’ai eu à lire pour cette année 2010…. assommant !!!! S’ils sont tous comme celui-là, ça promet ! ai-je pensé.
Depuis nous en avons tous beaucoup lus. Le choix de ceux-ci pour cette année ne m’a pas beaucoup emballée ni les personnes desquelles je reçois les livres, ni celles à qui je les passe après lecture.
Enorme déception !!! Je ne me fierai plus au jugement du Goncourt. Quel ennui… Je mets quand même 2 pour le style orné et la dernière nouvelle très émouvante.
Norah et son père déglingué à l’odeur de flamboyant jaune, Fanta et son mari englué de culpabilité, Khandy en haut de son échelle de corde, sont-elles des femmes puissantes ou simplement des femmes dignes ?
Marie Ndiaye nous les fait connaître en profondeur grâce à son style envoûtant, sensuel et pénétrant mais pas toujours facile. Un livre passionnant et riche, sans doute à relire pour l’apprécier pleinement.?
Ce livre est écrit dans une langue très élégante , parfois un peu « recherchée » : les très longues phrases ne m’ont pas gênée ; les 3 récits présentent un intérêt différent ; le second et les histoires interminables de Rudy ne présente aucun intérêt, la femme de ce récit n’apparait pratiquement pas ; en revanche le troisième récit est très émouvant dans sa dureté, et le caractère de la jeune femme est attachant : il y aussi dans ce livre une sorte de fantasma gorie africaine qui ne fait pas partie de ma culture : le flamboyant, les anges, la buse, les corbeaux….
Décevant pour un prix Goncourt.Phrases souvent trop longues.
La première nouvelle aurait suffit.Les états d’ame du mari de la seconde nouvelle,n’offrent pas beaucoup d’intérêt.
La troisième femme est émouvante.
Un niveau d’écriture très supérieur à la moyenne c’est évident, mais des longueurs, de la lenteur, et un ennui certain !
je n’ai pas ouvert le livre : une personne qui part en allemagne, ne supporte pas la france qui l’a accueillie, et qui n’est pas democrate, je ne suis pas d’accord qu’on mette ce genre de livre
de plus, elle a eu le goncourt, et bien cela lui suffit…
Marie Ndiaye est née à Pithiviers, donc la France ne l’a pas « accueillie », elle est française. Sa mère aussi. Marie Ndiaye est comme nous, citoyenne d’un pays où le droit d’expression est reconnu.
La note est pour l’écriture qui est très soignée, souvent au détriment du rythme et de la clarté. Que de noirceur dans les personnages masculins. la deuxième histoire est perticulièrement agaçante et trop longue. J’ai mieux apprécié la troisième histoire.
Je ne suis pas choquée que l’auteur ait choisi de vivre en Allemagne et l’ai exprimé publiquement. C’est son choix personnel. Ce qui m’intéresse est de savoir comment elle écrit.
Je suis étonnée et presque choquée de la propension qu’ont certains lecteurs à confondre intérêt intrinsèque d’un livre et considérations biographiques sur l’auteur. Il me semble malsain d’associer les deux… Certains écrivains fort sympathiques ont écrit des oeuvres médiocres, d’autres parfaitement méprisables ont laissé des chefs d’oeuvre, alors de grâce arrêtons de tout confondre!!
Cordialement.
Vocabulaire raffiné , soignée, choix précis des mots… mais étouffé par des phrases beaucoup trop longues (l’une d’elles, p271 à 273) fait plus d’une page…. qui nuisent à l’ensemble de l’oeuvre et créent l’ennui
J’ai aimé ce livre:pour le sujet(la difficulté de l’émigration et de l’emigré) ,le style très recherché va au plus profond
de la psychologie des pesonnages qui ont beaucoup d’humanité.
3 femmes differentes non pas puissantes pour moi mais très dignes qui agissent intuitivement sur les evennements.
le deuxème lecteur de la famille a donné la note 3
il ne faut pas se laisser decourager par le style c’est un livre tellement different,il me rappelle les livres de Sylvie Germain qui je crois faisait parti des nominés du prix litteraire
Quand à son départ en Allemagne! Depuis des sciècles combien d’écrivains d’artistes ont quitté leur pays par
convictions personnelles
Grosse déception, après le battage médiatique du Goncourt.
Ecriture étouffante, lente, mais raffinée.
C’est assez manichéen car les hommes sont tous mauvais ou méprisables.
La seconde histoire est particulièrement longue et insipide.
Je ne comprends pas qu’on puisse attribuer le Goncourt à un livre aussi ennuyeux, ni que ce livre ait été retenu pour circuler dans la bibliothèque orange. Même le style, effectivement recherché, est rébarbatif : les phrases trop longues, qu’il faut parfois relire deux fois pour ne pas perdre le fil, rendent le livre encore plus ennuyeux.
Je partage la déception des lectrices précédentes concernant la lecture d’un prix Goncourt.
Les mots « flamboyants, touffeur » reviennent à plusieurs reprises.
On s’ennuie en compagnie de ces 3 femmes.
un peu agacé par le choix de trois nouvelles appelées roman. Ecriture convenable, mais que de longueurs. J’ai beaucoup plaint les malheureux qui se sont frottés à ces mégères. Le père n’a eu que ce qu’il a mérité. -1-
Après m’être familiarisée avec l’écriture de Marie Ndiaye je me suis laissée emporter par ces trois histoires qui démontrent toutes les trois l’importance des ressentis de l’enfance sur la construition de la personne adulte et son agissement.Merci pour ces histoires si pathétiques.
En dépit de tous mes efforts j’ai été rebuté par ce style raffiné mais véritablement insupportable avec ses incidentes innombrables et ces phrases d’une longueur provocante. On se questionne sur les motivations du jury du prix Goncourt …
Franchement c’est un prix Goncourt? Certes l’écriture est bonne parfois lourde mais en dehors de la premiere nouvelle je n’ai pas su reconnaitre trois femmes puissantes.Je pense que les membres du jury n’ont pas lu le livre mais ont couronné un auteur femme issue de la diversité point final !!! vive le prix Goncourt des lyceens ,chaque année il tient la route.
Difficile de qualifier un OVNI pareil… J’éprouve des sentiments ambivalents une fois le livre refermé: agacement profond devant ce style ampoulé et indigeste à mes yeux (comme tous les autres romans de Marie Ndiaye que j’ai lus, d’ailleurs) et fascination pour ces destins (croisés?) de femmes africaines qui hantent le lecteur et ne peuvent laisser insensible.
Je mets la note 2 quand meme, car le developpement psychologique des personnages est exprime finement.. La premiere phrase fait 10 lignes, un paragraphe entier. De quoi decourager les lecteurs les plus avides!
d’accord avec les lecteurs ,je ne comprends pas que ce livre a eu le prix et que je le retrouve dans la bibliotheque orange j’aurai prefere lire delphin ed vigan ou un autre auteur ,la note est pour l’ecriture mais que de phrases longue s
Quelle barbe!
j’avais déjà lu ce livre
mais il m’avait ennuyée et je ne l’ai pas relu
Je n’ai pas du tout apprécié ce livre . Je le trouve mal écrit et les 3 histoires sont sans aucun intéret.
Je ne comprends pas comment il a pu obtenir le Goncourt .
suite à tout ce qu’on en avait dit de ce livre, je suis fort déçue
je me suis ennuyée au point de passer des passages
Nul, trois fois nul.
C’est le premier livre de la bibliothèque que j’ai eu à lire pour cette année 2010…. assommant !!!! S’ils sont tous comme celui-là, ça promet ! ai-je pensé.
Depuis nous en avons tous beaucoup lus. Le choix de ceux-ci pour cette année ne m’a pas beaucoup emballée ni les personnes desquelles je reçois les livres, ni celles à qui je les passe après lecture.
nul! archi nul! comment un tel livre a-t-il pu être sélectionné?
Enorme déception !!! Je ne me fierai plus au jugement du Goncourt. Quel ennui… Je mets quand même 2 pour le style orné et la dernière nouvelle très émouvante.
Norah et son père déglingué à l’odeur de flamboyant jaune, Fanta et son mari englué de culpabilité, Khandy en haut de son échelle de corde, sont-elles des femmes puissantes ou simplement des femmes dignes ?
Marie Ndiaye nous les fait connaître en profondeur grâce à son style envoûtant, sensuel et pénétrant mais pas toujours facile. Un livre passionnant et riche, sans doute à relire pour l’apprécier pleinement.?
Ce livre est écrit dans une langue très élégante , parfois un peu « recherchée » : les très longues phrases ne m’ont pas gênée ; les 3 récits présentent un intérêt différent ; le second et les histoires interminables de Rudy ne présente aucun intérêt, la femme de ce récit n’apparait pratiquement pas ; en revanche le troisième récit est très émouvant dans sa dureté, et le caractère de la jeune femme est attachant : il y aussi dans ce livre une sorte de fantasma gorie africaine qui ne fait pas partie de ma culture : le flamboyant, les anges, la buse, les corbeaux….
Décevant pour un prix Goncourt.Phrases souvent trop longues.
La première nouvelle aurait suffit.Les états d’ame du mari de la seconde nouvelle,n’offrent pas beaucoup d’intérêt.
La troisième femme est émouvante.
J’ai calé devant la longueur des phrases