A lire! Je me suis regalee de cet ouvrage facile et vivant, ecrit avec elegance et bien rythme. Sans doute pas le livre de l’annee, mais dans son genre, il sait tenir son lecteur et constitue une plongee agreable dans les milieux bourgeois et le Paris de l’epoque.
la partie la plus intéressante est à la fin: les annexes montrant sur quels documents l’auteur s’appuie pour proposer une réponse aux questions de l’origine de richard Wallace et du testament en sa faveur.
mais l’auteur reconnait aussi faire preuve d’imagination…
ce livre est agréable à lire,j’ai bien aimé le côté »historique » de l’époque,mais beaucoup moins le côté « imagination »:excès de dialogues,et descriptions parfois inutiles(couleur des robes,énumération des achats de tableaux,etc)
conclusion:allez admirer la » Wallace collection » à Londres,c’est celà l’important….
D’accord avec Claude dans l’ensemble. Mais on s’impatiente vraiment devant les longueurs, ces descriptions si détaillées de gens riches, beaux, intelligents, sensibles… dont les petites faiblesses sont compensées par de si grandes qualités ! Un tout petit 3.
J’ai trouvé le style un peu facile voire pauvret. Mais le sérieux de l’enquête et la richesse de la peinture de cette société du XIXe siècle rendent l’ensemble malgré tout intéressant.
Finalement si je ne mets pas une meilleure note, c’est surtout parce que les personnages ne sont vraiment pas, mais pas du tout, attachants.
Qui est cet héritier inattendu de la fortune de Lord Hertford dont la collection londonienne, mondialement connue, porte le nom (ainsi que des fontaines parisiennes) ?
Richard Wallace, secrétaire de Lord HerTford est-il cet homme éffacé qui fut abandonné enfant, recueilli par la mère du collectionneur dont il devint l’infirmier, est-il un descendant illégitime de la famille Hertford ? un falsificateur et usurpateur de testament ?ayant détourné un héritage à son profit ?
Proches des rois Georges III et Georges IV, de Talleyrand, de Junot, de Napoléon III, les Hertford ont défrayé la chronique : amours coupables, scandales, mariage secret, enfant illégitime…
On se laisse prendre par le charme anglais et le roman….
C’est mal écrit, très inégal dans la description des caractères des personnages … et ça commence par l’information que presque tout a été inventé, certes à partir de documents, mais bon … impossible de se départir tout au long de la lecture du sentiment qu’on lit un peu n’importe quoi. Une étude claire des documents et des explications des déductions de l’auteur auraient été beaucoup plus intéressants et auraient suffi pour exposer ce qui est une sorte d’énigme historique. Ce sont les dernières pages qui m’ont le plus apporté … le reste a été bien longuet.
Je me suis régalée avec ce livre. Cette histoire de l’aristocratie anglaise du 19e est rocambolesque. C’est une histoire assez incroyable et de savoir que les faits sont historiques l’a rend passionnante. moi, j’ai trouvé que c’était bien raconté et on croit bien aux personnages.
Tres agreable a lire, facile. Meme si l’histoire est romancee, elle donne envie de se documenter davantage sur l’histoire de cette famille aristocratique anglaise. Un bon moment.
Très bon roman s’appuyant sur des faits précis et des personnages réels d’après lesquels l’auteur développe une hypothèse plausible et intéressante.
C’est la base d’un bon roman puisque l’on y trouve une chronique fort complète de la période allant de 1802 à 1870 et qui relate l’existence dorée de lords anglais férus de collections d’art. Les personnages sont attachants même avec leurs travers.
curieux mélange des genres : roman ou biographie. Les faits relatés avec talents portent une atteinte lourde à une famille anglaise connue… j’ai peine à croire que les grands seigneurs anglais méprisaient à ce point les femmes et leurs bâtards, que Richard Walace ait pu manquer à ce point à l’honneur, qu’il ait pu incarner le personnage minable et fallot que nous présente L. Perreau, qu’il ait gagné sa fortune par un faux. -3- pour la qualité de écriture
Une bonne description de la gentry anglaise du XIX siècle. Une bonne description du Paris de la même époque. Mais que des longueurs pour décrire les bals et les toilettes de ces dames !
Cette histoire sur l’origine de la fortune de Sir Richard Wallace devient en fait une dénonciation en bonne et due forme. Notons qu’encyclopédies et articles répètent que c’est bien le fils de Lord Hertford.
On comprend la colère de cette famille, exprimée à travers ce livre, grâce aux recherches de la descendante de la nièce de Lord Hertford. Un poids trop lourd à porter et certainement transmis de génération en génération. 139 ans pour se libérer… Un règlement de comptes bien écrit.
Un vrai régal ! Ce livre m’a passionnée, tant par cette belle fresque de la haute aristocratie anglaise entre Londres et Paris au XIXème siècle, que par l’aspect enquête policière étayée par des documents fort intéressants en fin de volume. Et puis… on se prend à rêver devant la fabuleuse collection de Lord Hertford, dont la Wallace de Londres ne montre qu’une (déjà exceptionnelle!) partie !
Curieuse impression : les annexes documentaires sont plus intéressantes que le roman-récit que j’ai abandonné en cours de route. Je n’aurai pas dû commencer par la fin, et ce roman aurait pu être mieux écrit et moins long.
Tout à fait d’accord avec les lectrices(ou lecteurs) qui évoquent le règlement de compte successoral : l’auteur descend de Seymourina !!!…C’est tout dire ! Dès lors les annexes devraient suffire…Et le côté fresque historique sur cette époque est fait de grosses ficelles et de dialogues incertains
A lire! Je me suis regalee de cet ouvrage facile et vivant, ecrit avec elegance et bien rythme. Sans doute pas le livre de l’annee, mais dans son genre, il sait tenir son lecteur et constitue une plongee agreable dans les milieux bourgeois et le Paris de l’epoque.
la partie la plus intéressante est à la fin: les annexes montrant sur quels documents l’auteur s’appuie pour proposer une réponse aux questions de l’origine de richard Wallace et du testament en sa faveur.
mais l’auteur reconnait aussi faire preuve d’imagination…
ce livre est agréable à lire,j’ai bien aimé le côté »historique » de l’époque,mais beaucoup moins le côté « imagination »:excès de dialogues,et descriptions parfois inutiles(couleur des robes,énumération des achats de tableaux,etc)
conclusion:allez admirer la » Wallace collection » à Londres,c’est celà l’important….
D’accord avec Claude dans l’ensemble. Mais on s’impatiente vraiment devant les longueurs, ces descriptions si détaillées de gens riches, beaux, intelligents, sensibles… dont les petites faiblesses sont compensées par de si grandes qualités ! Un tout petit 3.
Le contexte historique m’a beaucoup interessee, et l’histoire se lit comme un bon roman.
A travers cette famille, l’auteur nous décrit la situation historique entre 1802 à 1870 . De plus l’ecriture de ce roman est tres agreable à lire.
Livre plaisant et historique du milieu du 19è, se lit bien en nous faisant vivre une autre époque et un milieu à part…
J’ai trouvé le style un peu facile voire pauvret. Mais le sérieux de l’enquête et la richesse de la peinture de cette société du XIXe siècle rendent l’ensemble malgré tout intéressant.
Finalement si je ne mets pas une meilleure note, c’est surtout parce que les personnages ne sont vraiment pas, mais pas du tout, attachants.
Qui est cet héritier inattendu de la fortune de Lord Hertford dont la collection londonienne, mondialement connue, porte le nom (ainsi que des fontaines parisiennes) ?
Richard Wallace, secrétaire de Lord HerTford est-il cet homme éffacé qui fut abandonné enfant, recueilli par la mère du collectionneur dont il devint l’infirmier, est-il un descendant illégitime de la famille Hertford ? un falsificateur et usurpateur de testament ?ayant détourné un héritage à son profit ?
Proches des rois Georges III et Georges IV, de Talleyrand, de Junot, de Napoléon III, les Hertford ont défrayé la chronique : amours coupables, scandales, mariage secret, enfant illégitime…
On se laisse prendre par le charme anglais et le roman….
C’est mal écrit, très inégal dans la description des caractères des personnages … et ça commence par l’information que presque tout a été inventé, certes à partir de documents, mais bon … impossible de se départir tout au long de la lecture du sentiment qu’on lit un peu n’importe quoi. Une étude claire des documents et des explications des déductions de l’auteur auraient été beaucoup plus intéressants et auraient suffi pour exposer ce qui est une sorte d’énigme historique. Ce sont les dernières pages qui m’ont le plus apporté … le reste a été bien longuet.
Je me suis régalée avec ce livre. Cette histoire de l’aristocratie anglaise du 19e est rocambolesque. C’est une histoire assez incroyable et de savoir que les faits sont historiques l’a rend passionnante. moi, j’ai trouvé que c’était bien raconté et on croit bien aux personnages.
Tres agreable a lire, facile. Meme si l’histoire est romancee, elle donne envie de se documenter davantage sur l’histoire de cette famille aristocratique anglaise. Un bon moment.
Très bon roman s’appuyant sur des faits précis et des personnages réels d’après lesquels l’auteur développe une hypothèse plausible et intéressante.
C’est la base d’un bon roman puisque l’on y trouve une chronique fort complète de la période allant de 1802 à 1870 et qui relate l’existence dorée de lords anglais férus de collections d’art. Les personnages sont attachants même avec leurs travers.
curieux mélange des genres : roman ou biographie. Les faits relatés avec talents portent une atteinte lourde à une famille anglaise connue… j’ai peine à croire que les grands seigneurs anglais méprisaient à ce point les femmes et leurs bâtards, que Richard Walace ait pu manquer à ce point à l’honneur, qu’il ait pu incarner le personnage minable et fallot que nous présente L. Perreau, qu’il ait gagné sa fortune par un faux. -3- pour la qualité de écriture
Une bonne description de la gentry anglaise du XIX siècle. Une bonne description du Paris de la même époque. Mais que des longueurs pour décrire les bals et les toilettes de ces dames !
Tout petit 3 pour ce roman brouillon et…tellement de longueurs….. Je me suis ennuyée….
Tout à fait d’accord avec Marie de Bordeaux, mais moi je n’ai pas été au bout du livre tellement je trouvait le personnage inintéressant.
Cette histoire sur l’origine de la fortune de Sir Richard Wallace devient en fait une dénonciation en bonne et due forme. Notons qu’encyclopédies et articles répètent que c’est bien le fils de Lord Hertford.
On comprend la colère de cette famille, exprimée à travers ce livre, grâce aux recherches de la descendante de la nièce de Lord Hertford. Un poids trop lourd à porter et certainement transmis de génération en génération. 139 ans pour se libérer… Un règlement de comptes bien écrit.
Un vrai régal ! Ce livre m’a passionnée, tant par cette belle fresque de la haute aristocratie anglaise entre Londres et Paris au XIXème siècle, que par l’aspect enquête policière étayée par des documents fort intéressants en fin de volume. Et puis… on se prend à rêver devant la fabuleuse collection de Lord Hertford, dont la Wallace de Londres ne montre qu’une (déjà exceptionnelle!) partie !
Absolument aucun intérêt, hormis un règlement de compte successoral. L’écriture est bien tournée ; on a l’impression de lire un roman de gare
Livre ennuyeux a mourir…
Curieuse impression : les annexes documentaires sont plus intéressantes que le roman-récit que j’ai abandonné en cours de route. Je n’aurai pas dû commencer par la fin, et ce roman aurait pu être mieux écrit et moins long.
Tout à fait d’accord avec les lectrices(ou lecteurs) qui évoquent le règlement de compte successoral : l’auteur descend de Seymourina !!!…C’est tout dire ! Dès lors les annexes devraient suffire…Et le côté fresque historique sur cette époque est fait de grosses ficelles et de dialogues incertains
interressant mais quelques longueurs