excellent livre,court ,bien écrit et dense qui montre bien la peur ressentie par les malheureux »otages » de S,
la lâcheté ou le courage de certains et l’absurdité de cette guerre,et sans doute de toutes les guerres
C’est un bon livre, glauque comme l’atmosphère qu’il veut créer.
Mais il manque la beauté de la langue pour que ce soit un beau livre.
À moins que ce ne soit dû à la traduction.
« Un obus à 16h,tue 22 personnes qui faisaient la queue pour acheter du pain à Sarajevo. Un violoncelliste pour leur rendre hommage decide de jouer pendant 22 jours à 16h du violoncelle devant le cratère.De cette histoire vrai, l’auteur nous raconte le quotidien de 3 personnages (un père de famille, un boulanger, et un(e) sniper) dans la ville de sarajevo durant la guerre. Sans details sanguinolants, on ressent bien l’angoisse de la guerre ainsi que la detresse et le desarroi de ces trois personnages devant ces snipers qui tirent aux hasard. Je le conseille vraiment.
Ce livre vous prend à la gorge : vous ne le lisez pas comme un roman, mais comme un récit, du vécu, et comme tel, il est insoutenable. Pourtant, il y a une telle intellectualisation des sentiments qu’ils n’apparaissent plus humains : la Peur, la Haine, le Désespoir, l’Indifférence sont ici des symboles. Ce n’est pas un récit mais une œuvre littéraire. Sarajevo est le théâtre d’une sorte de tragédie grecque où s’affrontent la Vie, la Mort, la Trahison, la Vengeance…
Personnages attachants dont nous faisons la connaissance autour de ce violoncelliste qui joue pendant 22 jours sur la place où a eu lieu un attentat qui a fait 22 victimes faisant la queue devant une boulangerie .
Sarajevo, en état de siège, sous la menace des snippers. Il faut ruser pour aller chercher de l’eau, éviter les passages à découvert.
Une jeune étudiante adhérente d’un stand de tir, devenue snipper à son tour avec mission de protéger le pianiste symbole de liberté.
L’état de siège et de guerre a changé le caractère des personnages.Ils se sont adaptés ou révélés parfois à l’opposé de ce qu’aurait du être leur vie.
Courts chapitres qui rendent la lecture facile.
Félicitations B.O.. excellent choix. Par son écriture volontairement haletante, oppressante, où tout détail compte à la survie, , Stéphane Galloway, a bien su « transpirer »l’ambiance de Sarajevo.On se sent en permanence traqué, harcelé, espionné, se protéger sans cesse pour ne pas recevoir gratuitement et avec délectation une balle dans la peau.Seul répit et contraste magistral, ce violoncelliste et un superbe adajio qui se « pause » en cible idéale, en provocation pacifique, pathétique et artistique, magnifique morceau à réécouter pour bien s’ancrer dans l’ambiance du livre. bien indispensable comme un arc en ciel, un moment d’humanité de grâce d’espoir et de désespoir.Cela confirme bien on dit que la musique adoucit les moeurs….
Ce livre nous transporte dans un contexte historique inattendu. A partir d’un fais divers, l’auteur a bien su recreer l’atmosphère terrible de ce siege de Sarajevo. Les personnages sont poignants. Vraiment, un des meilleurs livres de la sélection 2010. Merci la BO !
J’ai beaucoup aimé ce livre.
Une remarque: il serait bon que les commentaires,ici, ne résument pas le livre, ça le déflore un peu si on ne l’a pas encore lu. Merci
La vie au quotidien à Sarajevo durant le siège… honteux pour toute l’Europe, le monde et l’ONU en particulier.
Dommage… l’auteur n’a pas effleuré les origines de cette guerre.
écriture précise, concise, émouvante sans pathos inutile ; personnages attachants et l’espoir par la musique dans un contexte si difficile et lourd de peur.
très beau livre, à lire d’une traîte.
La proximité de la trame de ce roman aussi bien géographiquement que temporellement nous fait ressentir avec plus de puissance et d’effroi la bétise humaine au milieu d’un peuple qui fait face
D’accord avec Chantal de Mexico et Marie de Paris. Le côté glauque, mais vrai, est atténué par l’obstination du violoncelliste et la douceur de la musique. Excellent choix.
Ce n’est pas vraiment un roman, plutôt une espèce de documentaire imaginé. Il s’agit de trois récits entrecroisés par chapitres, ce qui rompt la trame et peut être agaçant, mais convenir à certains car ce mode d’écriture est devenu une mode, comme dans les séries télévisées policières qui ont repris le filon.
On sent bien que malgré sa bonne volonté, l’auteur n’a pas vécu cette horreur de l’intérieur, et n’a aucune expérience de la guerre. C’est écrit impeccablement et au cordeau, par un prof de littérature, un intellectuel qui suit ses fiches, mais pas par un vrai écrivain et ça se voit.
Voilà qui n’est pas très politiquement correct (sinon je mettrai 5), mais c’est plat, sans style, et manque vraiment d’émotion. Heureusement il y a le violoncelliste (V. Smailovic ,qui a vraiment existé et n’a pas été très content qu’on l’utilise ainsi) mais hélas on n’apprend pas grand chose sur lui (sinon procès ?), beaucoup plus sur le boulanger, la tireuse embusquée et le porteur d’eau. La musique n’adoucit pas les mœurs.
Beaucoup aime ce livre. Il laisse volontairement le cote historique et politique de cette guerre de Sarajevo dans le flou afin de renforcer l’absurdite et l’universalite de la guerre. Quelque soit le cote ou l’on se trouve, les populations civiles paient un prix exorbitant, incomprehensible et inoubliable sinon par le monde!
Livre admirable pour sa doccumentation et la restitution de la peur et de la solidarité des habitants de Sarajevo.
Ce violoncelliste a bien existé et témoigne de la qualité de l’être humain face à la barbarie.
Livre trés utile pour l’Histoire. Qui du côté européen se souvient encore de Sarajevo ?
excellent livre,court ,bien écrit et dense qui montre bien la peur ressentie par les malheureux »otages » de S,
la lâcheté ou le courage de certains et l’absurdité de cette guerre,et sans doute de toutes les guerres
C’est un bon livre, glauque comme l’atmosphère qu’il veut créer.
Mais il manque la beauté de la langue pour que ce soit un beau livre.
À moins que ce ne soit dû à la traduction.
« Un obus à 16h,tue 22 personnes qui faisaient la queue pour acheter du pain à Sarajevo. Un violoncelliste pour leur rendre hommage decide de jouer pendant 22 jours à 16h du violoncelle devant le cratère.De cette histoire vrai, l’auteur nous raconte le quotidien de 3 personnages (un père de famille, un boulanger, et un(e) sniper) dans la ville de sarajevo durant la guerre. Sans details sanguinolants, on ressent bien l’angoisse de la guerre ainsi que la detresse et le desarroi de ces trois personnages devant ces snipers qui tirent aux hasard. Je le conseille vraiment.
Ce livre vous prend à la gorge : vous ne le lisez pas comme un roman, mais comme un récit, du vécu, et comme tel, il est insoutenable. Pourtant, il y a une telle intellectualisation des sentiments qu’ils n’apparaissent plus humains : la Peur, la Haine, le Désespoir, l’Indifférence sont ici des symboles. Ce n’est pas un récit mais une œuvre littéraire. Sarajevo est le théâtre d’une sorte de tragédie grecque où s’affrontent la Vie, la Mort, la Trahison, la Vengeance…
Personnages attachants dont nous faisons la connaissance autour de ce violoncelliste qui joue pendant 22 jours sur la place où a eu lieu un attentat qui a fait 22 victimes faisant la queue devant une boulangerie .
Sarajevo, en état de siège, sous la menace des snippers. Il faut ruser pour aller chercher de l’eau, éviter les passages à découvert.
Une jeune étudiante adhérente d’un stand de tir, devenue snipper à son tour avec mission de protéger le pianiste symbole de liberté.
L’état de siège et de guerre a changé le caractère des personnages.Ils se sont adaptés ou révélés parfois à l’opposé de ce qu’aurait du être leur vie.
Courts chapitres qui rendent la lecture facile.
Félicitations B.O.. excellent choix. Par son écriture volontairement haletante, oppressante, où tout détail compte à la survie, , Stéphane Galloway, a bien su « transpirer »l’ambiance de Sarajevo.On se sent en permanence traqué, harcelé, espionné, se protéger sans cesse pour ne pas recevoir gratuitement et avec délectation une balle dans la peau.Seul répit et contraste magistral, ce violoncelliste et un superbe adajio qui se « pause » en cible idéale, en provocation pacifique, pathétique et artistique, magnifique morceau à réécouter pour bien s’ancrer dans l’ambiance du livre. bien indispensable comme un arc en ciel, un moment d’humanité de grâce d’espoir et de désespoir.Cela confirme bien on dit que la musique adoucit les moeurs….
Ce livre nous transporte dans un contexte historique inattendu. A partir d’un fais divers, l’auteur a bien su recreer l’atmosphère terrible de ce siege de Sarajevo. Les personnages sont poignants. Vraiment, un des meilleurs livres de la sélection 2010. Merci la BO !
traduction difficile à suivre. Pauvre pays qui ne connaît toujours pas vraiment la paix. -3- seulement pour la lourdeur.
J’ai beaucoup aimé ce livre.
Une remarque: il serait bon que les commentaires,ici, ne résument pas le livre, ça le déflore un peu si on ne l’a pas encore lu. Merci
Presque un documentaire sur la vie dans une ville assiégée.Excellent.
Un vrai beau livre !
La vie au quotidien à Sarajevo durant le siège… honteux pour toute l’Europe, le monde et l’ONU en particulier.
Dommage… l’auteur n’a pas effleuré les origines de cette guerre.
écriture précise, concise, émouvante sans pathos inutile ; personnages attachants et l’espoir par la musique dans un contexte si difficile et lourd de peur.
très beau livre, à lire d’une traîte.
La proximité de la trame de ce roman aussi bien géographiquement que temporellement nous fait ressentir avec plus de puissance et d’effroi la bétise humaine au milieu d’un peuple qui fait face
Très beau livre
D’accord avec Chantal de Mexico et Marie de Paris. Le côté glauque, mais vrai, est atténué par l’obstination du violoncelliste et la douceur de la musique. Excellent choix.
Ce n’est pas vraiment un roman, plutôt une espèce de documentaire imaginé. Il s’agit de trois récits entrecroisés par chapitres, ce qui rompt la trame et peut être agaçant, mais convenir à certains car ce mode d’écriture est devenu une mode, comme dans les séries télévisées policières qui ont repris le filon.
On sent bien que malgré sa bonne volonté, l’auteur n’a pas vécu cette horreur de l’intérieur, et n’a aucune expérience de la guerre. C’est écrit impeccablement et au cordeau, par un prof de littérature, un intellectuel qui suit ses fiches, mais pas par un vrai écrivain et ça se voit.
Voilà qui n’est pas très politiquement correct (sinon je mettrai 5), mais c’est plat, sans style, et manque vraiment d’émotion. Heureusement il y a le violoncelliste (V. Smailovic ,qui a vraiment existé et n’a pas été très content qu’on l’utilise ainsi) mais hélas on n’apprend pas grand chose sur lui (sinon procès ?), beaucoup plus sur le boulanger, la tireuse embusquée et le porteur d’eau. La musique n’adoucit pas les mœurs.
Beaucoup aime ce livre. Il laisse volontairement le cote historique et politique de cette guerre de Sarajevo dans le flou afin de renforcer l’absurdite et l’universalite de la guerre. Quelque soit le cote ou l’on se trouve, les populations civiles paient un prix exorbitant, incomprehensible et inoubliable sinon par le monde!
Un livre sobre et très beau qui replace l’humain au coeur d’une des plus grandes tragédies du XXème siècle.
un beau livre merci a la bo de l’avoir mis
Livre admirable pour sa doccumentation et la restitution de la peur et de la solidarité des habitants de Sarajevo.
Ce violoncelliste a bien existé et témoigne de la qualité de l’être humain face à la barbarie.
Livre trés utile pour l’Histoire. Qui du côté européen se souvient encore de Sarajevo ?