Axel Kahn parle en tant que médecin de l’impossible législation de l’euthanasie.
Il est contre l’idée qu’une loi (comme aux pays bas) soit possible et nécessaire pour légaliser ce geste .
Il présente la particularité de chaque cas de malade à l’aide d’exemples très médiatisés. Il ne se réfère pas aux valeurs religieuses.
Une jurisprudence au cas par cas est plus appropriée.
Exposé clair s’appuyant sur des cas précis, parlant du suicide, de la douleur physique et morale, des soins palliatifs. Du bon Khan, meilleur que le livre de 2009 sur les frères Khan qui les montrait sous un jour moins sympathique.
tout a fait d’accord avec des Robert : livre trés précis avec les exemples essentiels et une interprétation médicale compréhensible et abordable pour mieux voir notre avenir. C’est un livre qui peut aider notre humanité. Les personnels soignants devraient s’en servir.
Si le thème abordé est judicieux voire indispensable, un peu décue cela reste trop superficiel. Quidam aurait pu dire ce qui a été dit. Peut -on réellement parler de mort douce en injectant du chlorure de potassium ou en usant petit à petit le corps, les étant comateux sont ils si indolores que cela … Un peu comme si je vous demandais avez-vous bien dormi et que vous me répondiez non j’ai fait des cauchemars. Les cauchemars, ca n’existe pas….le débat éthique est trop trop trop superficiel pour un sujet aussi complexe. Que faut-il dire à quelqu’un qui vous demande de mourir….?
Très bon livre qui démontre bien qu’il ne faut pas légiférer sur l’euthanasie . Un malade qui ne souffre pas ne demande pas à mourir et nous disposons maintenant d’un arsenal thérapeutique pour calmer la douleur .
Sujet très intéressant et qui concerne chacun de nous à un moment ou à un autre mais j’ai trouvé qu’il y avait trop de développements. Cela traînait en longueur.
Très bon livre. Des témoignages et des questions qu’on ne s’est pas forcément posées, qui nous éclairent et nous montrent l’impossibilité de légiférer tant chaque cas est spécifique.
Excellent;
Axel Kahn livre sa réflexion intelligente, mesurée, humaniste sur l’accompagnement médical de la fin de vie à partir de son expérience d’homme & de médecin, bien au-delà de tout simplisme polémique.
excellente étude d’un problème difficile : je n’ai pas aimé le « ultime ». En France nous bénéficions de beaucoup de liberté ! Seule nous manque la décision de naître. Dans les cas où la survie nécessite un acharnement le geste de couper le courant ne suffit pas à provoquer la mort. Il s’ensuit une période plus ou moins longue de souffrances inacceptables et la mort par asphyxie ou déshydratation. Une anesthésie concomitante relève tout de même de l’hypocrisie. Faut-il légiférer, petit péché mignon des français ? Le nombre de cas ne l’exige pas. Dans les exemples récents, nos juges ont agit avec bon sens. Je réprouve par contre l’acharnement de la mère de Vincent à justifier par la loi toute forme d’Euthanasie ! Le droit de tuer en temps de guerre ? Il mérite des précisions. La peine de mort ? Pourquoi pas. L’assassin ne livre-t-il pas une guerre contre la société ? S’il faut contester le droit de tuer, pourquoi se donner le droit de juger ? Question saugrenue : pourquoi cette terreur de la mort, cette volonté de survivre ou de faire survivre dans la douleur ou la déchéance. –
Sujet très intéressant qui concerne tout le monde. Mais faut-il une loi alors que l’on semble avoir l’arsenal nécessaire pour faire face à la souffrance. J’ai apprécié le chapitre sur Chantal Sybire qui remettait en place des informations fausses. Je connaissais personnellement le cas.
Ce livre a le mérite d’être clair. Axel Kahn défend intelligemment la loi Léonetti qui légifère la fin de vie en France.
Cependant Je suis restée sur ma faim : c’est vraiment un livre « grand public » et l’élimination d’emblée de toute transcendance
« cette optique m’est totalement étrangère puisque je n’ai aucun doute métaphysique, ni religieux » (page 9 dans l’introduction)
J’avoue que je suis surpris par les réactions de certains lecteurs. Qualifier ce livre de »grand public »me semble complètement déplacé ou alors c’est que je suis vraiment ignare ! j’ai , au contraire , trouvé cette réflexion extrèmenet fouillée , approfondie et nécessitant souvent une relecture pour en saisir toute la densité malgré la clarté de l’exposé. C’est vraiment mal juger du souci et du talent de son auteur .
Regretter l’absence de transcendance est évidemment possible mais hors sujet du livre comme A. Kahn l’a clairement établi dans l’introduction. Il ne faut pas mélanger les genres si l’on veut être clair !
C’est toujours le grand dilemme : Science ou Foi …
Enfin pourquoi considérer que ce domaine n’est pas justiciable d’une loi alors que la loi Leoneti existe en France et pallie relativement bien – d’après l’auteur- au vide juridique antérieur ?
je partage l’avis de votre dernier correspondant ; mais A Kahn dit dans son introduction qu’il n’a pas la foi et on peut lire des livres sur ce sujet qui émanent de personnes qui sont avant tout honnêtes avec eux même.
Cela fait un peu froid dans le dos de savoir que peu de personnes « agées » arrivent avec toute leur tête à la fin de leur existence.
Léonetti a permis de franchir un grand pas !
J’ai beaucoup aimé le chapitre parlant de la dignité. Il n’y a pas d’ humain indigne. Ce n’est pas parce qu’on est réduit à une vie diminuée par la maladie et l’infirmité que l’on devient indigne.
A part cela excellente explication de la Loi Léonetti
J’ai été médecin de campagne pendant 40 ans et je connais donc bien le problème.
Sujet complexe mais traité avec tant de justesse que finalement il arrive à balayer les idées préconcues que l’on peut avoir sur le sujet et permet de se demander finalement où est véritablement notre liberté! Chapeau pour ce choix. Je n’ai qu’un regret: ne pas avoir lu ce livre deux ans auparavant, j’aurai abordé plus « facilement » le sujet d’attaché territorial : « Existe-t-il un droit à la mort? »
Livre indispensable. J’ai perdu mon épouse il y a 3 ans d’un cancer après 2 ans de lutte et 2 mois d’agonie. Je remercie la loi Léonetti et Axel Kahn de leur soutient.
Je suis étonné que dans la bibliothèque à laquelle je participe, sur plus de 10 personnes, seulement 3 aient pris la peine de lire ce livre, qui est pour moi incontournable, avec2 notes 3, et une note 2. Evidement une balade en Afganistan est plus distrayante, mais il n’en reste pas grand chose. Afganistan: 7 lecteurs dont trois notes 5, et trois notes 4, une note 3.
Le sujet traité par Axel Kahn mérite 5.
j’ai beaucoup aimé ce livre et une excellente étude sur un sujet difficile et délicat. Je ne crois malheureusement pas à sa solution de laisser le choix à la médecine et espérer que le juge suivra : ceci laisse une trop grande incertitude.
ecrit en langage simple,un sujet intéressant,ô combien, de bons éléments qui donnent à réfléchir
et pourtant une impression qu’on ne va pas au fond des choses,puisque l’auteur évite toute orientation religieuse,même s’il nous en a prévenu dès le début
Axel Kahn parle en tant que médecin de l’impossible législation de l’euthanasie.
Il est contre l’idée qu’une loi (comme aux pays bas) soit possible et nécessaire pour légaliser ce geste .
Il présente la particularité de chaque cas de malade à l’aide d’exemples très médiatisés. Il ne se réfère pas aux valeurs religieuses.
Une jurisprudence au cas par cas est plus appropriée.
Exposé clair s’appuyant sur des cas précis, parlant du suicide, de la douleur physique et morale, des soins palliatifs. Du bon Khan, meilleur que le livre de 2009 sur les frères Khan qui les montrait sous un jour moins sympathique.
tout a fait d’accord avec des Robert : livre trés précis avec les exemples essentiels et une interprétation médicale compréhensible et abordable pour mieux voir notre avenir. C’est un livre qui peut aider notre humanité. Les personnels soignants devraient s’en servir.
Si le thème abordé est judicieux voire indispensable, un peu décue cela reste trop superficiel. Quidam aurait pu dire ce qui a été dit. Peut -on réellement parler de mort douce en injectant du chlorure de potassium ou en usant petit à petit le corps, les étant comateux sont ils si indolores que cela … Un peu comme si je vous demandais avez-vous bien dormi et que vous me répondiez non j’ai fait des cauchemars. Les cauchemars, ca n’existe pas….le débat éthique est trop trop trop superficiel pour un sujet aussi complexe. Que faut-il dire à quelqu’un qui vous demande de mourir….?
Très bon livre qui démontre bien qu’il ne faut pas légiférer sur l’euthanasie . Un malade qui ne souffre pas ne demande pas à mourir et nous disposons maintenant d’un arsenal thérapeutique pour calmer la douleur .
Sujet très intéressant et qui concerne chacun de nous à un moment ou à un autre mais j’ai trouvé qu’il y avait trop de développements. Cela traînait en longueur.
Très bon livre. Des témoignages et des questions qu’on ne s’est pas forcément posées, qui nous éclairent et nous montrent l’impossibilité de légiférer tant chaque cas est spécifique.
Excellent;
Axel Kahn livre sa réflexion intelligente, mesurée, humaniste sur l’accompagnement médical de la fin de vie à partir de son expérience d’homme & de médecin, bien au-delà de tout simplisme polémique.
excellente étude d’un problème difficile : je n’ai pas aimé le « ultime ». En France nous bénéficions de beaucoup de liberté ! Seule nous manque la décision de naître. Dans les cas où la survie nécessite un acharnement le geste de couper le courant ne suffit pas à provoquer la mort. Il s’ensuit une période plus ou moins longue de souffrances inacceptables et la mort par asphyxie ou déshydratation. Une anesthésie concomitante relève tout de même de l’hypocrisie. Faut-il légiférer, petit péché mignon des français ? Le nombre de cas ne l’exige pas. Dans les exemples récents, nos juges ont agit avec bon sens. Je réprouve par contre l’acharnement de la mère de Vincent à justifier par la loi toute forme d’Euthanasie ! Le droit de tuer en temps de guerre ? Il mérite des précisions. La peine de mort ? Pourquoi pas. L’assassin ne livre-t-il pas une guerre contre la société ? S’il faut contester le droit de tuer, pourquoi se donner le droit de juger ? Question saugrenue : pourquoi cette terreur de la mort, cette volonté de survivre ou de faire survivre dans la douleur ou la déchéance. –
Sujet très intéressant qui concerne tout le monde. Mais faut-il une loi alors que l’on semble avoir l’arsenal nécessaire pour faire face à la souffrance. J’ai apprécié le chapitre sur Chantal Sybire qui remettait en place des informations fausses. Je connaissais personnellement le cas.
Ce livre a le mérite d’être clair. Axel Kahn défend intelligemment la loi Léonetti qui légifère la fin de vie en France.
Cependant Je suis restée sur ma faim : c’est vraiment un livre « grand public » et l’élimination d’emblée de toute transcendance
« cette optique m’est totalement étrangère puisque je n’ai aucun doute métaphysique, ni religieux » (page 9 dans l’introduction)
réduit le débat à peu de chose … dommage
J’avoue que je suis surpris par les réactions de certains lecteurs. Qualifier ce livre de »grand public »me semble complètement déplacé ou alors c’est que je suis vraiment ignare ! j’ai , au contraire , trouvé cette réflexion extrèmenet fouillée , approfondie et nécessitant souvent une relecture pour en saisir toute la densité malgré la clarté de l’exposé. C’est vraiment mal juger du souci et du talent de son auteur .
Regretter l’absence de transcendance est évidemment possible mais hors sujet du livre comme A. Kahn l’a clairement établi dans l’introduction. Il ne faut pas mélanger les genres si l’on veut être clair !
C’est toujours le grand dilemme : Science ou Foi …
Enfin pourquoi considérer que ce domaine n’est pas justiciable d’une loi alors que la loi Leoneti existe en France et pallie relativement bien – d’après l’auteur- au vide juridique antérieur ?
je partage l’avis de votre dernier correspondant ; mais A Kahn dit dans son introduction qu’il n’a pas la foi et on peut lire des livres sur ce sujet qui émanent de personnes qui sont avant tout honnêtes avec eux même.
Cela fait un peu froid dans le dos de savoir que peu de personnes « agées » arrivent avec toute leur tête à la fin de leur existence.
Léonetti a permis de franchir un grand pas !
J’ai beaucoup aimé le chapitre parlant de la dignité. Il n’y a pas d’ humain indigne. Ce n’est pas parce qu’on est réduit à une vie diminuée par la maladie et l’infirmité que l’on devient indigne.
A part cela excellente explication de la Loi Léonetti
J’ai été médecin de campagne pendant 40 ans et je connais donc bien le problème.
Sujet complexe mais traité avec tant de justesse que finalement il arrive à balayer les idées préconcues que l’on peut avoir sur le sujet et permet de se demander finalement où est véritablement notre liberté! Chapeau pour ce choix. Je n’ai qu’un regret: ne pas avoir lu ce livre deux ans auparavant, j’aurai abordé plus « facilement » le sujet d’attaché territorial : « Existe-t-il un droit à la mort? »
Bien d’accord avec Alain, rien à ajouter.
Livre indispensable. J’ai perdu mon épouse il y a 3 ans d’un cancer après 2 ans de lutte et 2 mois d’agonie. Je remercie la loi Léonetti et Axel Kahn de leur soutient.
Je suis étonné que dans la bibliothèque à laquelle je participe, sur plus de 10 personnes, seulement 3 aient pris la peine de lire ce livre, qui est pour moi incontournable, avec2 notes 3, et une note 2. Evidement une balade en Afganistan est plus distrayante, mais il n’en reste pas grand chose. Afganistan: 7 lecteurs dont trois notes 5, et trois notes 4, une note 3.
Le sujet traité par Axel Kahn mérite 5.
j’ai beaucoup aimé ce livre et une excellente étude sur un sujet difficile et délicat. Je ne crois malheureusement pas à sa solution de laisser le choix à la médecine et espérer que le juge suivra : ceci laisse une trop grande incertitude.
ecrit en langage simple,un sujet intéressant,ô combien, de bons éléments qui donnent à réfléchir
et pourtant une impression qu’on ne va pas au fond des choses,puisque l’auteur évite toute orientation religieuse,même s’il nous en a prévenu dès le début