Entre le récit et le roman. Très beau livre plein de poésie. Lu d’une traite
Un homme étrange s’engage au sein d’une équipe chargée de construire un barrage en haute montagne. Un village perdu , isolé, se trouve à proximité il va disparaître et ses habitants sont condamnés à l’exil.. Pas de relations entre les ouvriers et les habitants qui s’observent de loin. Un événement dramatique va les forcer à se rencontrer : une jeune fille rejetée par sa communauté suite à un viol par un ouvrier..
Le narrateur revit son drame personnel( la mort de sa femme) et va intervenir afin que sa dépouille ne reste pas sans sépulture.
Un fait divers assez sombre mais bien traduit, de façon poétique, malgré la cruauté du contenu : ceci donne une tonalité très paradoxale mais profonde à la trame du livre traduit par Yutaka Makino sur les conséquences d’un barrage construit en haute montagne.
Un bel hommage à ce grand écrivain japonais, de légendes et récits réels japonais, Akira Yoshimura décédé en 2OO6.
Très beau livre. L’atmosphère est parfaitement rendue. C’est très émouvant. Mon seul petit problème, c’est que je n’ai pas pu, comme « des Robert », le lire d’une traite et je crois qu’il vaut mieux ne pas faire trop d’interruptions dans la lecture
Moi aussi, j’ai beaucoup aimé ce livre, pour toutes les raisons dites ci-dessus et celles à venir ci-dessous.. mais je suis tout de même dérangée par deux choses: d’abord l’auteur tente de nous faire aimer son héros puisqu’il parle à la première personne à travers lui, et c’est pourtant un personnage brutal dont on ne comprend pas le crime, même s’il cherche à s’en absoudre et que c’est un peu l’objet du livre. Et puis dans ce roman, il n’y a que deux personnages féminins horriblement victimes de la brutalité des hommes. Cela ne dérange pas plus que cela l’auteur qui n’a pas l’air de trouver cela anormal. De là à penser que cet auteur est très misogyne, je ne suis pas loin. Et pourtant, je promets que je ne suis en rien féministe.
roman typiquement japonais ; peu de sensibilité, grande froideur devant le drame humain de la destruction d’un village pour la construction d’un barrage. Bien écrit, excellent suspens -4-
Désolée mais bien que le récit soit bien écrit, je n’y ai trouvé que froideur, détachement, insensibilité.
et pour moi, le suspens est inexistant; A part le viol et la pendaison de la pauvre villageoise et les propres turpitudes du narrateur, c’est la vie monotone et peu exaltante d’ouvriers chargés de saccager une belle vallée pour la noyer lors de la construction d’un barrage.
Jamais je n’aurais acheté ce livre : merci à la BO de m’avoir donné l’occasion de savourer un tel récit.
Ma seule restriction concerne la traduction qui, en voulant rester très prés du texte, nous fait perdre une partie de la poésie que l’auteur a mise dans son œuvre.
Roman très attachant mais je pense qu’il y a des maladresses, voire des erreurs de traduction. J’ignore tout du japonais, mais seules ces bévues permettent d’expliquer quelues incohétences ponctuelles.
très beau livre : sobre, à la fois austère et puissant, avec une sensibilité réelle exprimée avec un détachement qui n’enlève rien à sa force. On le lit effectivement d’une traîte.
J’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai trouvé plein de poésie.
Cela me rappelle l’histoire du barrage de Tignes il y a plus de 40 ans. Les plus âgés d’entre nous s’en souviennent.
Merveilleux et affreux! J’ai adoré ce livre où l’on s’y croit vraiment dans ce paysage si lointain. La froideur avec laquelle il décrit son crime et paradoxalement sa compassion pour cette jeune fille pendue…
récit totalement inattendu je n’ai pu m’en détacher avant de l’avoir fini très vite. La noirceur du narrateur se dilue dans les brumes de la vallée et dans la compassion pour le cadavre de la jeune femme : enfer puis rédemption
Je partage en tous points l’avis de Anne Dumontier. Pour la brutalité de l’auteur et la misogymie qui transparait de ce récit. Ceci dit, je l’ai lu vite attendant un remords quelconque de l’auteur qui trouve sa rédemption assez facilement. Seul sourire : l’histoire saugrenue des orteils !!
se lit très vite,style froid et histoire banale,à part la description de l’enterrement de la « pendue »!
deux remarques
je déteste le format d’actes sud,8 mots par ligne
pourquoi avoir jumelé ce livre avec celui de A d’Humières qui se lit très vite aussi,alors que d’autres quinzaines ont été nettement plus longues ?
lu assez vite et jusqu’au bout mais impression de malaise constant et un peu déçue d’avoir été à ce point prise par cette lecture. La fin est devinée dès le début….
Lu en entier par curiosité de la littérature japonaise, et bien aimé malgré les sentiments ténébreux et cruels devinés entre les lignes. Dommage de ne pas connaître le japonais. Apparemment, l’individu, je veux dire la personne (et particulièrement la femme) est tenue pour négligeable dans cette civilisation.
Entre le récit et le roman. Très beau livre plein de poésie. Lu d’une traite
Un homme étrange s’engage au sein d’une équipe chargée de construire un barrage en haute montagne. Un village perdu , isolé, se trouve à proximité il va disparaître et ses habitants sont condamnés à l’exil.. Pas de relations entre les ouvriers et les habitants qui s’observent de loin. Un événement dramatique va les forcer à se rencontrer : une jeune fille rejetée par sa communauté suite à un viol par un ouvrier..
Le narrateur revit son drame personnel( la mort de sa femme) et va intervenir afin que sa dépouille ne reste pas sans sépulture.
Complètement dépaysant, une écriture différente, un dénouement déroutant.
J’adore lorsque la bibliothèque nous propose de tels livres.
Un fait divers assez sombre mais bien traduit, de façon poétique, malgré la cruauté du contenu : ceci donne une tonalité très paradoxale mais profonde à la trame du livre traduit par Yutaka Makino sur les conséquences d’un barrage construit en haute montagne.
Un bel hommage à ce grand écrivain japonais, de légendes et récits réels japonais, Akira Yoshimura décédé en 2OO6.
Etrange, atmosphère irréelle, superbe écriture.
Un livre de qualité que je n’aurais jamais eu l’idée de lire.
Très beau livre. L’atmosphère est parfaitement rendue. C’est très émouvant. Mon seul petit problème, c’est que je n’ai pas pu, comme « des Robert », le lire d’une traite et je crois qu’il vaut mieux ne pas faire trop d’interruptions dans la lecture
Moi aussi, j’ai beaucoup aimé ce livre, pour toutes les raisons dites ci-dessus et celles à venir ci-dessous.. mais je suis tout de même dérangée par deux choses: d’abord l’auteur tente de nous faire aimer son héros puisqu’il parle à la première personne à travers lui, et c’est pourtant un personnage brutal dont on ne comprend pas le crime, même s’il cherche à s’en absoudre et que c’est un peu l’objet du livre. Et puis dans ce roman, il n’y a que deux personnages féminins horriblement victimes de la brutalité des hommes. Cela ne dérange pas plus que cela l’auteur qui n’a pas l’air de trouver cela anormal. De là à penser que cet auteur est très misogyne, je ne suis pas loin. Et pourtant, je promets que je ne suis en rien féministe.
roman typiquement japonais ; peu de sensibilité, grande froideur devant le drame humain de la destruction d’un village pour la construction d’un barrage. Bien écrit, excellent suspens -4-
Désolée mais bien que le récit soit bien écrit, je n’y ai trouvé que froideur, détachement, insensibilité.
et pour moi, le suspens est inexistant; A part le viol et la pendaison de la pauvre villageoise et les propres turpitudes du narrateur, c’est la vie monotone et peu exaltante d’ouvriers chargés de saccager une belle vallée pour la noyer lors de la construction d’un barrage.
Jamais je n’aurais acheté ce livre : merci à la BO de m’avoir donné l’occasion de savourer un tel récit.
Ma seule restriction concerne la traduction qui, en voulant rester très prés du texte, nous fait perdre une partie de la poésie que l’auteur a mise dans son œuvre.
Roman très attachant mais je pense qu’il y a des maladresses, voire des erreurs de traduction. J’ignore tout du japonais, mais seules ces bévues permettent d’expliquer quelues incohétences ponctuelles.
Bien écrit. Histoires qui se chevauchent rédigées dans un style sobre et tout à fait croyables.
très beau livre : sobre, à la fois austère et puissant, avec une sensibilité réelle exprimée avec un détachement qui n’enlève rien à sa force. On le lit effectivement d’une traîte.
Beau livre, très agréable à lire.
Beaucoup aimé l’écriture, pas du tout l’histoire, glaciale…
Livre long et déprimant.
J’ai beaucoup aimé ce livre que j’ai trouvé plein de poésie.
Cela me rappelle l’histoire du barrage de Tignes il y a plus de 40 ans. Les plus âgés d’entre nous s’en souviennent.
Merveilleux et affreux! J’ai adoré ce livre où l’on s’y croit vraiment dans ce paysage si lointain. La froideur avec laquelle il décrit son crime et paradoxalement sa compassion pour cette jeune fille pendue…
Lu en 2 h : quelle poésie, quelle beauté et quelles noirceurs !
récit totalement inattendu je n’ai pu m’en détacher avant de l’avoir fini très vite. La noirceur du narrateur se dilue dans les brumes de la vallée et dans la compassion pour le cadavre de la jeune femme : enfer puis rédemption
Se lit facilment et l’auteur vous fait vivre cette atmosphère froide et humide dans cette vallée noire.
Ne laisse pas indifférent. Ou on aime ou on déteste, j’ai détesté !!
livre deroutant je n’aurai pas eu l’idee de l’acheter un peu long et je suis d’accord froid et deprimant
Je partage en tous points l’avis de Anne Dumontier. Pour la brutalité de l’auteur et la misogymie qui transparait de ce récit. Ceci dit, je l’ai lu vite attendant un remords quelconque de l’auteur qui trouve sa rédemption assez facilement. Seul sourire : l’histoire saugrenue des orteils !!
se lit très vite,style froid et histoire banale,à part la description de l’enterrement de la « pendue »!
deux remarques
je déteste le format d’actes sud,8 mots par ligne
pourquoi avoir jumelé ce livre avec celui de A d’Humières qui se lit très vite aussi,alors que d’autres quinzaines ont été nettement plus longues ?
lu assez vite et jusqu’au bout mais impression de malaise constant et un peu déçue d’avoir été à ce point prise par cette lecture. La fin est devinée dès le début….
Superbe.
magnifique, belle ecriture avec des descriptions sublimes. Ambiance hostile et pourtant beaucoup de poesie. Vraiment j’ai beaucoup aimé.
Lu en entier par curiosité de la littérature japonaise, et bien aimé malgré les sentiments ténébreux et cruels devinés entre les lignes. Dommage de ne pas connaître le japonais. Apparemment, l’individu, je veux dire la personne (et particulièrement la femme) est tenue pour négligeable dans cette civilisation.