Un bel hommage aux mathématiciens modernes..Il faut aimer évidemment les mathématiques, les sciences humaines, la philosophie l’épistémologie pour apprécier vraiment ce livre. choix original et judicieux. L’écriture est claire abordable et bonne chronologie.
quel plaisir!
l’histoire de ce groupe et les développements pour la peinture la littérature sont sidérants….
l’écriture est facile et j’ai mis une très bonne notre car c’est un livre riche
Superficiel. Hésite entre le canular Bourbaki et une initiation aux mathématiques modernes. Se répète d’un chapitre à l’autre. Qu’a-t-on appris au bout de la lecture ? Quel plaisir a-t-on pu y prendre? Mystère !
démarrage difficile, dates de naissance, géniteurs, premiers travaux. Nous apprenons petit à petit l’existence du plus grand mathématicien du monde. Affirmation gratuite qui s’étaye sur d’autres affirmations de plus en plus péremptoires. Il aurait tout rasé, puis tout reconstruit. Son influence a touché tous les domaines ; Braque et Picasso s’en seraient inspiré ils lui doivent tout. L’axiomatisation et le structuralisme permettent de comprendre l’inceste et son interdit, les religions des peuples sans écriture, l’anthropologie. L’algèbre au secours de toute difficulté. N. Bourbaki vole au secours de R. Queneau et l’OULIPO : ouvroir de littérature potentielle. Pour les candidats je livre le sésame pour entrer dans cet ouvroir. On devient membre de l’Oulipo par cooptation. Un nouveau membre doit être élu à l’unanimité, à la condition de ne jamais avoir demandé à faire partie de l’Oulipo. Chaque « coopté » est évidemment libre de refuser d’y entrer (son refus est dès lors définitif), mais une fois élu, il ne peut en démissionner qu’en se suicidant devant huissiers (deux minimum).
Les membres restent oulipiens même après leur décès: ils sont alors, selon la formule consacrée, « excusés pour cause de décès ».
Il semble que d’authentiques savants bourbakiens aient fait avancer la mathématique au milieu de ce monumental canular. Ce livre mérite d’être au moins parcouru ! Je garde une certaine réserve en ce qui concerne la littérature oulipienne dont les cent mille sonnets construit à partir du premier !!
J’ai pris beaucoup d’intérêt à l’histoire de Bourbaki. Je n’ai malheureusement pas compris grand chose à propos du structuralisme rattaché à Levy Strauss. Mon mari a été très interessé par le « phénomène » Bourbaki. Cela a éclairé sa lanterne quant au canular et sur la façon dont ça s’est fini en « eau de boudin » (excusez la formule!) Il a mis la note 4
Qui trop embrasse mal étreint. Cet adage s’applique à ce livre qui à vouloir relier au structuralisme les disciplines abordées se perd dans des démonstrations abstraites et à mon avis vaines. Les rapprochements interdisciplinaires sont séduisants au départ mais leur artificialité apparait rapidement. J’ai été interessé mais rarement satisfait par tous ces alignements théoriques où affleure souvent le plaisir d’aligner des mots et des phrases.Les mathématiciens, dont je ne suis pas, seront sans doute passionnés par les brillantes prestigiditations des emules du prétendu Bourbaki dont les parcours biographiques sont d’ailleurs bien racontés. Mais quand j’ai terminé le livre j’ai été autant desarçonné que lorsque je tentais de comprendre les maths modernes enseignés dans les années 70 à mes enfants.
En dépit du respect que j’éprouve pour les compétences de l’auteur, j’ai été déçu par ce livre dont j’attendais un meilleur éclairage sur l’aventure Bourbaki :
– les théories successivement évoquées ne sont pas clairement définies.
– cette insuffisance est noyée dans des détails souvent sans intérêt sur la vie et l’intervention de trop nombreux mathématiciens de valeur
inégale.
-les chapitres sont souvent mal construits dans un style médiocre rendant assez pénible leur lecture.
Pour trouver intérêt à cet ouvrage, il aurait fallu sans doute avoir bénéficié d’une certaine connaissance de l’évolution des mathématiques et des autres sciences impliquées, ce qui n’est probablement pas le cas de la plupart des lecteurs.
J’ai eu peur…les mathématiques et moi, un océan d’incompréhension! mais je me suis dit que c’était l’occasion d’une approche intéressante. je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu’au bout , le souhaitais-je? pas vraiment, trop de noms trop de retours en arrière…fatiguant, mais le canular m’a beaucoup amusée !
Quelle surprise des voir débarquer Nicolas Bourbaki dans la B.O. ! Aussitôt un grand nombre de souvenirs de jeunesse me sont remontés à la mémoire. Que pouvait bien racconter A.D. Aczel à quelqu’un qui avait eu l’occasion de croiser pendant une année scolaire (1955-1956) Jean Delsarte. C’est en effet alors, qu’ après des années de maths classiques ( élémentaires, supérieures et spéciales) et le barrage des concours étant passé nous avons été invités a découvrir pour la première fois quelques éléments de bourbachisme dans notre dernier cours de mathématiques théoriques. Nous n’étions pas à Normale Sup. et son cours n’a pas rencontré le succès qu’il méritait. Je n’ai vu réapparaître quelques unes des notations rencontrées alors, que lorsque mes enfants ont été touchés par la vague des maths modernes avec la théorie des ensembles.
Mais A.D. Aczel ne nous a pas abreuvé de maths modernes et n’a fait qu’effleurer le sujet dans quelques applications. Jean Delsarte fût pour nous un homme discret , il ne nous a jamais parlé de sa jeunesse et de la façon dont certains de ses camarades avaient traversé cette période si troublée de notre histoire. Je suis heureux que A.D. Aczel l’ait fait et que le Comité de lecture ait choisi ce livre.
Par la suite,dans les sphères de l’éducation nationale on a parlé plusieurs fois de Laurent Schwartz, il était le frère de notre Directeur Bertrand qui a apporté un certain nombres de réformes dans l’enseignement de l’école. Vous comprenez pourquoi je devais donner la note 5 à ce livre.
Une approche très intéressante des personnages impliqués. À mon avis, l’auteur doit aussi avoir un excellent bagage scientifique. À relever, les semblables attitudes de rejet de la société de la part de A. Grothendieck et actuellement de Grigori Perelman.
Les grandes heures du rayonnement Français des année 1920à 1960 ne ressortent pas grandies du livre d’Aczel.
Le sujet concerné est d’importance et il aurait fallu une autre pointure pour le traiter.
Erreurs sur le fond, copiés-collés, redites, désordres chronologiques, paragraphes dont le sens échappe toujours après deux relectures, le tout dans la plus grande subjectivité………..Pauvre Bourbaki.
j’ai donc eu grand plaisir à aller sur Wilkipedia pour y lire une explication objective sur « la Théorie Quantique » le Structuralisme, le Cubisme, certaines œuvres d’André Weil et de sa sœur Simone.
Rigueur mathématique………….qui a parlé de rigueur ?
J’ai découvert ce livre avec stupeur en repensant à l’enthousiasme de mes années de jeunesse pour les mathématiques où il faut le dire la France était leader. Sans le savoir, j’ai vérifié des traductions d’ouvrages mathématiques pour l’équipe Bourbaki en Allemand et en Russe, les autres spécialistes … Et puis cette euphorie pour les maths modernes des années 60 m’a libéré l’esprit pour d’autres intérêts en physique. Bien sur, je suis resté sur ma fin avec la théorie des ensembles et dans ce livre j’ai découvert la suite avec les structures et surtout ce développement en psychanalyse avec Freud et Lacan. Extraordinaire perception de l’inconscient humain et son niveau caché dans le cerveau humain, le subconscient.
Bravo pour ce livre qui met bien en évidence que les découvertes mathématiques sont encore un balbutiement ; Vivement un fils de Bourbaki pour enthousiasmer la jeunesse ! mais quel dommage que ce livre a eu si peu de succès dans mon groupe comme si les maths étaient étranger à la plus part des gens.
Un sujet scientifique c’est un bon choix dans le circuit, mais que ce livre est brouillon et laisse sur la faim.
Le canular Bourbaki, l’apport de la recherche de ces mathématiciens de l’école française même s’ils ne sont pas tous français de souche; cela est fort intéressant. La théorie des ensembles, les maths modernes, le structuralisme et leur application aux autres disciplines Ethnologie, littérature, peinture…tout cela est intéressant;
Mais je ne suis pas sûre qu’en bout du compte on ait compris grand chose . Du moins pour moi qui suis plutôt littéraire, et cependant je suis allée jusqu’au bout . J’en ai proposé la lecture à mon mari et mon fils de formation plus scientifique qui sont restés sur leur faim.
A part les quelques pages sur Jacobson et ses théories linguistiques qui m’ont intéressée car j’ai étudié cette matière au cours de mes études supérieures, tout le reste est demeuré très abscons à mes yeux…
Il faut vraiment être un matheux pour comprendre et aimer ce livre plutôt mal écrit et au contenu indigeste.
D’accord avec Nenette: la sélection est réellement catastrophique cette année, au point que de nombreux lecteurs de mon circuit envisagent de ne pas se réinscrire. Et que l’on ne nous dise pas que c’est le reflet de ce qui est publié puisque je lis d’excellents ouvrages par ailleurs sortis à la même époque et empruntés à la bibliothèque municipale!
Enfin, un livre clair et lisible sur l’histoire des maths modernes, on y apprend vraiment beaucoup de choses. Quel non-matheux avait entendu parler du « célèbre » Alexandre Grothendieck ? Des explications bienvenues sur les liens entre Bourbaki, le structuralisme et d’autres disciplines : anthropologie, linguistique, philosophie, psychologie, littérature, art et bien entendu l’économie (où l’on oublie allégrement qu’appliquer des maths abstraites à la réalité n’est pas toujours réaliste)
Cependant ce livre est écrit avec la technique « reader’s digest » , et pas toujours très bien traduit, ce qui provoque des agacements, il comporte aussi beaucoup de répétitions (au moins on est obligé de retenir) et d’explications superfétatoires pour des français, exemple typique (sur les Weil) : » La famille habitait un appartement sur le boulevard Saint-Michel, dans le Quartier Latin, non loin des jardins du Luxembourg. Chaque Jour, Selma emmenait André et Simone s’y promener, et les enfants couraient et jouaient, jouissant de tous les bonheurs que la vie d’un enfant parisien de l’époque pouvait offrir » (p.32)
Une phrase à mémoriser et méditer : « Les relations sont plus importantes que les entités qu’elles connectent » (p.161) Cela peut changer une manière de vivre !
J’ai toujours été « bouché »en mathématiques et ce n’est pas ce livre qui aurait pu me réconcilier. J’ai tout de même été très étonné que le structuralisme, la linguistique aient profité des travaux de l’équipe Bourbaki.Le live est confus,la chronologie n’est pas respectée et il y a de nombreuses répétitions. Enfin je signale que la révocation de l’Edit de Nantes est du 18 octobre 1685 et non de 1634(page 23)Louis XIV est né en 1668 !
Bravo au comité de lecture d’avoir sélectionné cet ouvrage un peu ardu. L’auteur passède son sujet , écrit clairement et la chronologie historique est intéressante. Mais il n’a pas le talent d’un vulgarisateur ou d’un pédagague se contentant de généralités diifficiles à appréhender pour un non spécialiste . Au lieu de vouloir nous convaincre à coup de redites – le structuralisme est cité plus de 40 fois -pourquoi ne nous donne -t-il pas quelques définitions explicites et exemples concrets d’applications ?A-t-til voulu copier Bourbaki dont l’ambition initiale était de mettre à la portée de tout individu »d’intelligence moyenne » les mathématiques et dont les traités n’ont eu de développements que dans des cercles de spécialistes? l’engouement pour la théorie des ensembles s’est calmé depuis les années 70 quand au groupe OULIPO il prête à sourire …
Un bel hommage aux mathématiciens modernes..Il faut aimer évidemment les mathématiques, les sciences humaines, la philosophie l’épistémologie pour apprécier vraiment ce livre. choix original et judicieux. L’écriture est claire abordable et bonne chronologie.
J’ai été jusqu’à la page 100 mais en me forçant beaucoup, donc j’ai arrêté. La lecture doit rester un plaisir.
Je ne dois pas aimer les mathématiques !
Que de liens interessants!!! La lecture n’est pas si aisée,il faut y passer du temps et être disponible.
Ouvre l’esprit….
quel plaisir!
l’histoire de ce groupe et les développements pour la peinture la littérature sont sidérants….
l’écriture est facile et j’ai mis une très bonne notre car c’est un livre riche
Superficiel. Hésite entre le canular Bourbaki et une initiation aux mathématiques modernes. Se répète d’un chapitre à l’autre. Qu’a-t-on appris au bout de la lecture ? Quel plaisir a-t-on pu y prendre? Mystère !
démarrage difficile, dates de naissance, géniteurs, premiers travaux. Nous apprenons petit à petit l’existence du plus grand mathématicien du monde. Affirmation gratuite qui s’étaye sur d’autres affirmations de plus en plus péremptoires. Il aurait tout rasé, puis tout reconstruit. Son influence a touché tous les domaines ; Braque et Picasso s’en seraient inspiré ils lui doivent tout. L’axiomatisation et le structuralisme permettent de comprendre l’inceste et son interdit, les religions des peuples sans écriture, l’anthropologie. L’algèbre au secours de toute difficulté. N. Bourbaki vole au secours de R. Queneau et l’OULIPO : ouvroir de littérature potentielle. Pour les candidats je livre le sésame pour entrer dans cet ouvroir. On devient membre de l’Oulipo par cooptation. Un nouveau membre doit être élu à l’unanimité, à la condition de ne jamais avoir demandé à faire partie de l’Oulipo. Chaque « coopté » est évidemment libre de refuser d’y entrer (son refus est dès lors définitif), mais une fois élu, il ne peut en démissionner qu’en se suicidant devant huissiers (deux minimum).
Les membres restent oulipiens même après leur décès: ils sont alors, selon la formule consacrée, « excusés pour cause de décès ».
Il semble que d’authentiques savants bourbakiens aient fait avancer la mathématique au milieu de ce monumental canular. Ce livre mérite d’être au moins parcouru ! Je garde une certaine réserve en ce qui concerne la littérature oulipienne dont les cent mille sonnets construit à partir du premier !!
J’ai pris beaucoup d’intérêt à l’histoire de Bourbaki. Je n’ai malheureusement pas compris grand chose à propos du structuralisme rattaché à Levy Strauss. Mon mari a été très interessé par le « phénomène » Bourbaki. Cela a éclairé sa lanterne quant au canular et sur la façon dont ça s’est fini en « eau de boudin » (excusez la formule!) Il a mis la note 4
Qui trop embrasse mal étreint. Cet adage s’applique à ce livre qui à vouloir relier au structuralisme les disciplines abordées se perd dans des démonstrations abstraites et à mon avis vaines. Les rapprochements interdisciplinaires sont séduisants au départ mais leur artificialité apparait rapidement. J’ai été interessé mais rarement satisfait par tous ces alignements théoriques où affleure souvent le plaisir d’aligner des mots et des phrases.Les mathématiciens, dont je ne suis pas, seront sans doute passionnés par les brillantes prestigiditations des emules du prétendu Bourbaki dont les parcours biographiques sont d’ailleurs bien racontés. Mais quand j’ai terminé le livre j’ai été autant desarçonné que lorsque je tentais de comprendre les maths modernes enseignés dans les années 70 à mes enfants.
En dépit du respect que j’éprouve pour les compétences de l’auteur, j’ai été déçu par ce livre dont j’attendais un meilleur éclairage sur l’aventure Bourbaki :
– les théories successivement évoquées ne sont pas clairement définies.
– cette insuffisance est noyée dans des détails souvent sans intérêt sur la vie et l’intervention de trop nombreux mathématiciens de valeur
inégale.
-les chapitres sont souvent mal construits dans un style médiocre rendant assez pénible leur lecture.
Pour trouver intérêt à cet ouvrage, il aurait fallu sans doute avoir bénéficié d’une certaine connaissance de l’évolution des mathématiques et des autres sciences impliquées, ce qui n’est probablement pas le cas de la plupart des lecteurs.
J’ai eu peur…les mathématiques et moi, un océan d’incompréhension! mais je me suis dit que c’était l’occasion d’une approche intéressante. je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu’au bout , le souhaitais-je? pas vraiment, trop de noms trop de retours en arrière…fatiguant, mais le canular m’a beaucoup amusée !
Quelle surprise des voir débarquer Nicolas Bourbaki dans la B.O. ! Aussitôt un grand nombre de souvenirs de jeunesse me sont remontés à la mémoire. Que pouvait bien racconter A.D. Aczel à quelqu’un qui avait eu l’occasion de croiser pendant une année scolaire (1955-1956) Jean Delsarte. C’est en effet alors, qu’ après des années de maths classiques ( élémentaires, supérieures et spéciales) et le barrage des concours étant passé nous avons été invités a découvrir pour la première fois quelques éléments de bourbachisme dans notre dernier cours de mathématiques théoriques. Nous n’étions pas à Normale Sup. et son cours n’a pas rencontré le succès qu’il méritait. Je n’ai vu réapparaître quelques unes des notations rencontrées alors, que lorsque mes enfants ont été touchés par la vague des maths modernes avec la théorie des ensembles.
Mais A.D. Aczel ne nous a pas abreuvé de maths modernes et n’a fait qu’effleurer le sujet dans quelques applications. Jean Delsarte fût pour nous un homme discret , il ne nous a jamais parlé de sa jeunesse et de la façon dont certains de ses camarades avaient traversé cette période si troublée de notre histoire. Je suis heureux que A.D. Aczel l’ait fait et que le Comité de lecture ait choisi ce livre.
Par la suite,dans les sphères de l’éducation nationale on a parlé plusieurs fois de Laurent Schwartz, il était le frère de notre Directeur Bertrand qui a apporté un certain nombres de réformes dans l’enseignement de l’école. Vous comprenez pourquoi je devais donner la note 5 à ce livre.
Une approche très intéressante des personnages impliqués. À mon avis, l’auteur doit aussi avoir un excellent bagage scientifique. À relever, les semblables attitudes de rejet de la société de la part de A. Grothendieck et actuellement de Grigori Perelman.
Les grandes heures du rayonnement Français des année 1920à 1960 ne ressortent pas grandies du livre d’Aczel.
Le sujet concerné est d’importance et il aurait fallu une autre pointure pour le traiter.
Erreurs sur le fond, copiés-collés, redites, désordres chronologiques, paragraphes dont le sens échappe toujours après deux relectures, le tout dans la plus grande subjectivité………..Pauvre Bourbaki.
j’ai donc eu grand plaisir à aller sur Wilkipedia pour y lire une explication objective sur « la Théorie Quantique » le Structuralisme, le Cubisme, certaines œuvres d’André Weil et de sa sœur Simone.
Rigueur mathématique………….qui a parlé de rigueur ?
Intéressant, mais ardu pour les néophytes !!!
Je n’ai pas pu dépasser le chapitre 3. Sans plus de commentaire.
J’ai découvert ce livre avec stupeur en repensant à l’enthousiasme de mes années de jeunesse pour les mathématiques où il faut le dire la France était leader. Sans le savoir, j’ai vérifié des traductions d’ouvrages mathématiques pour l’équipe Bourbaki en Allemand et en Russe, les autres spécialistes … Et puis cette euphorie pour les maths modernes des années 60 m’a libéré l’esprit pour d’autres intérêts en physique. Bien sur, je suis resté sur ma fin avec la théorie des ensembles et dans ce livre j’ai découvert la suite avec les structures et surtout ce développement en psychanalyse avec Freud et Lacan. Extraordinaire perception de l’inconscient humain et son niveau caché dans le cerveau humain, le subconscient.
Bravo pour ce livre qui met bien en évidence que les découvertes mathématiques sont encore un balbutiement ; Vivement un fils de Bourbaki pour enthousiasmer la jeunesse ! mais quel dommage que ce livre a eu si peu de succès dans mon groupe comme si les maths étaient étranger à la plus part des gens.
Très interessant .J’ai appris beaucoup .
les livres sélectionnés cette année nous tombent des mains. lnous sommes très décçues, attention pour l’année prochaine! merci
Un sujet scientifique c’est un bon choix dans le circuit, mais que ce livre est brouillon et laisse sur la faim.
Le canular Bourbaki, l’apport de la recherche de ces mathématiciens de l’école française même s’ils ne sont pas tous français de souche; cela est fort intéressant. La théorie des ensembles, les maths modernes, le structuralisme et leur application aux autres disciplines Ethnologie, littérature, peinture…tout cela est intéressant;
Mais je ne suis pas sûre qu’en bout du compte on ait compris grand chose . Du moins pour moi qui suis plutôt littéraire, et cependant je suis allée jusqu’au bout . J’en ai proposé la lecture à mon mari et mon fils de formation plus scientifique qui sont restés sur leur faim.
A part les quelques pages sur Jacobson et ses théories linguistiques qui m’ont intéressée car j’ai étudié cette matière au cours de mes études supérieures, tout le reste est demeuré très abscons à mes yeux…
Il faut vraiment être un matheux pour comprendre et aimer ce livre plutôt mal écrit et au contenu indigeste.
D’accord avec Nenette: la sélection est réellement catastrophique cette année, au point que de nombreux lecteurs de mon circuit envisagent de ne pas se réinscrire. Et que l’on ne nous dise pas que c’est le reflet de ce qui est publié puisque je lis d’excellents ouvrages par ailleurs sortis à la même époque et empruntés à la bibliothèque municipale!
Enfin, un livre clair et lisible sur l’histoire des maths modernes, on y apprend vraiment beaucoup de choses. Quel non-matheux avait entendu parler du « célèbre » Alexandre Grothendieck ? Des explications bienvenues sur les liens entre Bourbaki, le structuralisme et d’autres disciplines : anthropologie, linguistique, philosophie, psychologie, littérature, art et bien entendu l’économie (où l’on oublie allégrement qu’appliquer des maths abstraites à la réalité n’est pas toujours réaliste)
Cependant ce livre est écrit avec la technique « reader’s digest » , et pas toujours très bien traduit, ce qui provoque des agacements, il comporte aussi beaucoup de répétitions (au moins on est obligé de retenir) et d’explications superfétatoires pour des français, exemple typique (sur les Weil) : » La famille habitait un appartement sur le boulevard Saint-Michel, dans le Quartier Latin, non loin des jardins du Luxembourg. Chaque Jour, Selma emmenait André et Simone s’y promener, et les enfants couraient et jouaient, jouissant de tous les bonheurs que la vie d’un enfant parisien de l’époque pouvait offrir » (p.32)
Une phrase à mémoriser et méditer : « Les relations sont plus importantes que les entités qu’elles connectent » (p.161) Cela peut changer une manière de vivre !
N.B. Nous sommes des postmodernes…
je n’ai pas eu le courage de depasser les premieres pages pourquoi un tel choix
Ennuyeux, fade, monotone. Ne fait que se répéter.
J’ai toujours été « bouché »en mathématiques et ce n’est pas ce livre qui aurait pu me réconcilier. J’ai tout de même été très étonné que le structuralisme, la linguistique aient profité des travaux de l’équipe Bourbaki.Le live est confus,la chronologie n’est pas respectée et il y a de nombreuses répétitions. Enfin je signale que la révocation de l’Edit de Nantes est du 18 octobre 1685 et non de 1634(page 23)Louis XIV est né en 1668 !
Pas tous,heureusement,mais beaucoup trop tout de même.Merci de le dire.
Bravo au comité de lecture d’avoir sélectionné cet ouvrage un peu ardu. L’auteur passède son sujet , écrit clairement et la chronologie historique est intéressante. Mais il n’a pas le talent d’un vulgarisateur ou d’un pédagague se contentant de généralités diifficiles à appréhender pour un non spécialiste . Au lieu de vouloir nous convaincre à coup de redites – le structuralisme est cité plus de 40 fois -pourquoi ne nous donne -t-il pas quelques définitions explicites et exemples concrets d’applications ?A-t-til voulu copier Bourbaki dont l’ambition initiale était de mettre à la portée de tout individu »d’intelligence moyenne » les mathématiques et dont les traités n’ont eu de développements que dans des cercles de spécialistes? l’engouement pour la théorie des ensembles s’est calmé depuis les années 70 quand au groupe OULIPO il prête à sourire …