Livre superbe , puissant, évocateur.A mon humble avis pas loin du chef-d’oeuvre.Le siège desaint Pétersbourg est poignant.Quelle abnégation chez les héros.Leçon de courageet d’humanité.Le style ample et bien rythmé emmène trés loin.Je suis conquise et je le dis.
Je viens de refermer ce livre et ce soir j’irai regarder une étoile pour retrouver Mila ! oublier que je suis orphelin….
Merveilleux roman où rien ne manque pour que cette aventure humaine s’inscrive durablement dans la mémoire et dans le coeur humain !
Je comprends bien pouquoi Claude écrit que le roman commence à la page 237 et pourtant, la description de la vie de l’auteur à Paris, sa découverte de St Petersbourg et de la nouvelle Russie donnent un formidable relief à la suite .Celà procède d’une grande intelligence de romancier.
une écriture magnifique une histoire déchirante mais tres instructive pour nous qui traduit la souffrance du peuple russe .A lire des la première page!
Je rejoins Claude et Sophie tout en n’étant pas aussi sévère.
Quel dommage que Makine n’ai pas comme (et il le répète) le recommande Tchékov coupé le début et la fin… Que ceux qui sont préssés oublient I et II. Qu’ils passent directement à III (page 123!) et s’arrêtent à la page 275. Entre les deux c’est magnifique, mais seule la vie de Volski mérite un 5.
Dommage effectivement que le livre ne soit pas centré uniquement sur l’histoire de Volski et Mila : c »était amplement suffisant et riche car le personnage de Choutov ne présente aucun intérêt !
Pas d’accord avec ceux qui auraient voulu tronquer ce livre
Il était important que Choutov ait vécu ailleurs pour pénétrer et plonger dans cette nouvelle Russie méconnaissable et poignante
Comme Makine nous entraîne loin dans notre humanité!
Jusque dans les étoiles????
Quel art!
magnifique!
Certes, vous voyez bien l’essentiel. Mais justement ce qui l’entoure montre, par la description des « nouveaux Russes », le contraste entre un passé « héroïque et brutal » d’une tyrannie effrayante et d’une guerre atroce avec un présent nauséabond, où le FRIC est la seule mesure de l’homme, qui n’est même plus une victime, mais on objet. Je sympathise avec la nostalgie du vieil homme.
Je pense comme Claude ( 16 avril ) que Makine aurait du écouter Tchékov et couper le début et la fin.
Je trouve que 3 est suffisant pour ce roman trop long et parfois écrit » à la va vite » . Volski mérite un 5. Mais il est mal entouré par l’épisode Léa et le retour à St Pétersbourg.
Magnifique !
La joie intérieure et l’émotion éprouvées lors de la lecture de ce livre me font dire à Bernadette et Vincent qu’il leur reste une chance au « grattage » avant de passer à coté d’un roman comme il s’en écrit de moins en moins.
Très beau livre, bien écrit, bien construit et contrairement à certains lecteurs je pense qu’il faut le lire de la première à la dernière page . Andreï MAKINE a voulu montrer ce qu’est devenu une certaine Russie mais aussi ce qui se passe malheureusement dans tous les pays l’oubli de son histoire et du sacrifice de leurs ainés . C’est une belle leçon d’histoire qui fait réfléchir .
Du meme avis que Celine. Il faut tout lire pour comprendre en effet la progression d’une société égoiste qui s’est construite entre autre, sur l’oubli des anciens qui ont combattus et soufferts pour offrir un monde meilleur à leurs descendants.
C’est vrai qu’on a envie de ne garder que l’histoire de Mila et Volski pendant la guerre, siège de st. Pétersbug, et régime Soviétique, mais justement Makine veut nous présenter une espèce de fresque historique aux dépens du souffle des Russkoffs étouffé par la mentalité de la » Nouvelle Russie » après l’avoir été par le régime soviétique. La Beauté sauvera-t-elle le monde ?
Complètement oublié d’indiquer que Makine est actuellement un des meilleurs, si ce n’est le meilleur écrivain français. il faut se précipiter pour acheter son nouveau livre. On le voit jamais à la télé, c’est fort dommage. Je l’ai écouté en conférence : il est prodigieux.
J’en profite pour indiquer ma déception que « Les matins de Jénine » ait été choisi comme meilleur livre par de nombreux groupes l’an dernier : cela prouve que les lecteurs ne savent pas faire la différence entre un vrai roman et une fiction de propagande qui mélange vérités et mensonges et tire honteusement sur la corde sensible. Ceci dit, je ne nie évidemment pas la tragédie des palestiniens.
Un Makine de haute qualité. les passages sur le siège de St Petersburg sont déchirants. A ne pas râter!
un grand Makine : quelle maitrise de la langue française, quel talent
Livre superbe , puissant, évocateur.A mon humble avis pas loin du chef-d’oeuvre.Le siège desaint Pétersbourg est poignant.Quelle abnégation chez les héros.Leçon de courageet d’humanité.Le style ample et bien rythmé emmène trés loin.Je suis conquise et je le dis.
Suis contente de commencer l’année avec un si beau roman.Mêmes commentaires que les 3 précédents!
ah non!
sautez directement p 237;là commence vraiment un livre intéressant et bien écrit;
avant,celà est franchement médiocre et sans aucun intéret
Tout à fait d’accord avec claude !
Je viens de refermer ce livre et ce soir j’irai regarder une étoile pour retrouver Mila ! oublier que je suis orphelin….
Merveilleux roman où rien ne manque pour que cette aventure humaine s’inscrive durablement dans la mémoire et dans le coeur humain !
Je comprends bien pouquoi Claude écrit que le roman commence à la page 237 et pourtant, la description de la vie de l’auteur à Paris, sa découverte de St Petersbourg et de la nouvelle Russie donnent un formidable relief à la suite .Celà procède d’une grande intelligence de romancier.
une écriture magnifique une histoire déchirante mais tres instructive pour nous qui traduit la souffrance du peuple russe .A lire des la première page!
Je rejoins Claude et Sophie tout en n’étant pas aussi sévère.
Quel dommage que Makine n’ai pas comme (et il le répète) le recommande Tchékov coupé le début et la fin… Que ceux qui sont préssés oublient I et II. Qu’ils passent directement à III (page 123!) et s’arrêtent à la page 275. Entre les deux c’est magnifique, mais seule la vie de Volski mérite un 5.
Magnifique!…
Dommage effectivement que le livre ne soit pas centré uniquement sur l’histoire de Volski et Mila : c »était amplement suffisant et riche car le personnage de Choutov ne présente aucun intérêt !
Pas d’accord avec ceux qui auraient voulu tronquer ce livre
Il était important que Choutov ait vécu ailleurs pour pénétrer et plonger dans cette nouvelle Russie méconnaissable et poignante
Comme Makine nous entraîne loin dans notre humanité!
Jusque dans les étoiles????
Quel art!
magnifique!
Il fallait cette confrontation entre le présent et le passé pour donner au témoignage de Volski toute sa force tragique.
tre bon roman magnifique
Magnifique, j’ai été passionnée par ce livre. Impossible de le refermer
Un des plus beaux romans qu’ait proposé la B.O.
Certes, vous voyez bien l’essentiel. Mais justement ce qui l’entoure montre, par la description des « nouveaux Russes », le contraste entre un passé « héroïque et brutal » d’une tyrannie effrayante et d’une guerre atroce avec un présent nauséabond, où le FRIC est la seule mesure de l’homme, qui n’est même plus une victime, mais on objet. Je sympathise avec la nostalgie du vieil homme.
Je ne suis pas sûre que la première partie était indispensable; cela dit cette histoire de l’Histoire est très intéressante.
Je pense comme Claude ( 16 avril ) que Makine aurait du écouter Tchékov et couper le début et la fin.
Je trouve que 3 est suffisant pour ce roman trop long et parfois écrit » à la va vite » . Volski mérite un 5. Mais il est mal entouré par l’épisode Léa et le retour à St Pétersbourg.
Je n’ai pas compris ce livre, qui m’a profondement ennuyee.
Je n’ai vraiment pas été ébloui par ce livre, qui m’ a également ennuyée.
Le livre « décolle » à un moment, cela doit donc être à la page 237. Très bon livre
Magnifique !
La joie intérieure et l’émotion éprouvées lors de la lecture de ce livre me font dire à Bernadette et Vincent qu’il leur reste une chance au « grattage » avant de passer à coté d’un roman comme il s’en écrit de moins en moins.
Très beau livre, bien écrit, bien construit et contrairement à certains lecteurs je pense qu’il faut le lire de la première à la dernière page . Andreï MAKINE a voulu montrer ce qu’est devenu une certaine Russie mais aussi ce qui se passe malheureusement dans tous les pays l’oubli de son histoire et du sacrifice de leurs ainés . C’est une belle leçon d’histoire qui fait réfléchir .
Du meme avis que Celine. Il faut tout lire pour comprendre en effet la progression d’une société égoiste qui s’est construite entre autre, sur l’oubli des anciens qui ont combattus et soufferts pour offrir un monde meilleur à leurs descendants.
tout comme Claude et quelques autres lecteurs, je me suis ennuyée dans la première partie mais après je n’ai plus pu lacher le livre
Livre remarquablement écrit. Que d’émotions !! J’ai beaucoup aimé
Excellent, pour moi le meilleur livre de la sélection 2010.
C’est vrai qu’on a envie de ne garder que l’histoire de Mila et Volski pendant la guerre, siège de st. Pétersbug, et régime Soviétique, mais justement Makine veut nous présenter une espèce de fresque historique aux dépens du souffle des Russkoffs étouffé par la mentalité de la » Nouvelle Russie » après l’avoir été par le régime soviétique. La Beauté sauvera-t-elle le monde ?
Complètement oublié d’indiquer que Makine est actuellement un des meilleurs, si ce n’est le meilleur écrivain français. il faut se précipiter pour acheter son nouveau livre. On le voit jamais à la télé, c’est fort dommage. Je l’ai écouté en conférence : il est prodigieux.
J’en profite pour indiquer ma déception que « Les matins de Jénine » ait été choisi comme meilleur livre par de nombreux groupes l’an dernier : cela prouve que les lecteurs ne savent pas faire la différence entre un vrai roman et une fiction de propagande qui mélange vérités et mensonges et tire honteusement sur la corde sensible. Ceci dit, je ne nie évidemment pas la tragédie des palestiniens.
Une très belle écriture , une histoire tellement simple et si touchante …J’ai vraiment beaucoup aimé …