Peinture de moeurs cruelle et grinçante. Portrait d’une certaine société argentine qui ne donne pas envie. Ecriture sèche et soignée. Structure décousue laissant la parole à quelques personnages ciblés. Lecture instructive.
Je suis plus sévère que la première critique…Je suis allée au bout mais c’est très embrouillé et finalement, à part la description de la vie de ces riches argentins, je ne vois pas l’intérêt de ce livre …J’attends avec curiosité de voir les avis des autres lecteurs.
Quelle satyre de la société argentine bougeoise !!C’est acide et grinçant,pour rien au monde on ne voudrait vivre dans ce « guetto » pour riche situé à 50 km de Buenos Aires dans ce site ultra protégé.Belle écriture,j’ai bien aimé la construction du roman qui nous tient en haleine jusqu’à la fin.
Bonne mais sévère description d’une certaine société argentine protégée dans sa « country » mais aveugle devant la crise qui se profilait à l’horizon. La construction est un peu déroutante au début car chaque chapitre a un narrateur différent mais après quelques chapitres on rentre facilement dans le rythme.
j’ai beaucoup apprécié le montage , car après quelques chapitres on est pris j’usqu’au bout de cette histoire et la description de cette société argebtine enfermée dans sa « country » et sans scrupules est sévère et impressionnante.
Si le but de cet ouvrage est la critique d’une certaine société argentine il y a dix ans, je peux l’admettre, mais cela m’intéresse peu. Le style direct fait de phrases simples et courtes est percutant, c’est peut-être la seule vraie valeur du livre. Quant à la fin en points de suspension, c’est un peu facile pour un auteur qui ne sait plus trop comment s’en tirer ! Au total bilan assez moyen finalement
Un succès en Argentine probablement puisque ce livre décrit le début de la grave crise qui a touché ce pays après 2001 (il a d’ailleurs eu un prix littéraire.) Se déroulant dans un lotissement clos et barricadé pour nouveaux – et bientôt ex- riches, ce roman décrit le côté obscur d’une prétendue vie idyllique. Mais il ressemble plutôt à un scénario de film policier, et on aurait préféré un peu plus de psychologie. Réservé aux aficionados. Noté 2 parce que j’ai réussi à lire jusqu’à la fin, hélas…
J’ai beaucoup aimé ce livre. Il nous plonge dans un univers protégé par des codes, des gardiens.. Cet univers existe malheureusement. Ces personnes vivent « en autarcie », coupées du monde.
Leur monde est décrit avec humour et férocité et l’on passe un bon moment. L’intrigue sert juste à nous introduire dans ce milieu.
Une satire certainement juste de la bourgeoisie argentine, mais je me suis beaucoup ennuyée à la lecture de ce livre cynique où l’on ne s’attache à aucun personnage.
Que de bavardages inutiles pour l’histoire de cette société renfermée sue elle-même et coupée du monde extérieur. Bien décue en arrivant à la fin…. avec beaucoup de mal !! Pourquoi avoir choisi ce livre alors qu’il y en a tellement d’autres plus riches en scenarii et en littérature.
Livre impressionnant car il décrit bien l’impact de la crise qui bouleverse la fausse quiétude d’un monde protégé dont l’objectif unique est un matérialisme torride garanti par l’argent et la réussite matérielle…Ces argentins se croyaient protégés par les clôtures gardées de leur résidence où ne règne même pas une véritable liberté mais un conformisme mondain extraordinairement étroit. La période écrite est 2001 à l’heure de la faillite de l’état argentin. Il nous interpelle, nous les Européens qui nous croyons en sécurité…mais la dette des états ne nous menace-t-elle pas aussi ? Bref, a mon sens, le choix de ce livre par la bibliothèque tournante est particulièrement pertinent et nous invite, sinon à avoir peur, du moins à réfléchir. Fine mouche, Claudia Pinheiro.
j’ai vraiment apprécié ce livre,écriture nerveuse,scénario bien ficelé,humour grinçant,et qui donne à réfléchir,comme l’exprime bien le commentaire précédent
Pas du tout d’accord, DBD : ce départ en roman policier n’est qu’un prétexte. L’auteur nous fait une description froide et minutieuse d’une certaine société argentine, en petit nombre sans doute, des « nantis » qui se cantonnent dans leur vie luxueuse et privilégiée, sans vouloir regarder en face la crise qui va frapper le pays tout entier. Égoïsme, mesquinerie, misère affective de ces personnages qui ont cependant quelque chose d’émouvant dans leur volonté désespérée d’ignorer tout ce qui se passe en dehors d’eux-mêmes. Ils nous intéressent grâce à un style alerte, cursif. C’est un peu long tout de même…
Il est important de connaitre les poches protégées dans certains pays ; c’est désolant mais cela existe , le résultat dans l’avenir ne nous surprendra pas !!C’est une vue sur un pays que j’ignorais car je ne voyage pas : d’où l’avantage de ce livre.
description d’une certaine société vivant dans un lieu clos et ne s’intéressant qu’à paraitre – le monde extérieur n’existe pas pour eux
j’ai bien aimé l’écriture
le début m’a amusé, puis ennuyé. . Il m’a fallut beaucoup de courage pour venir a bout de ce tas de ragots d’une société de gens trop riches dans un pays trop pauvre. L’auteur semble mime ignorer les délices de l’adultère. Fallait-il aller chercher si loin un roman en espagnol de si piètre qualité ?
Un huis-clos étouffant étendu à toute une communauté de gens bien nantis, du moins apparemment,, et qui vivent égoïstement repliés sur eux-même et niant absolument les effets de la crise qui frappe lentement mais sûrement leur pays.
Roman original, peu structuré il est vrai et qui déroute le lecteur de prime abord qcar il éprouve des difficultés à suivre un récit au travers des témoignages des divers personnages sans rapport les uns avec les autres;mais une fois le système décodé, on est pris quand même par les évènements qui ont conduit au drame final
Intéressant.
Le premier chapitre m’a mise en bouche mais j’ai vite déchanté. Après quelques chapitres j’ai abandonné car c’était très barbant , tous les narrateurs ayant le même style pour raconter des choses bien ordinaires .
Mea culpa. En fin de parcours, je révise ma note. Par comparaison, c’est tout de même un des bons livres de cette année. De plus, il fait découvrir une auteure argentine.
Excellente cette histoire d’individus qui vivent dans une bulle qu’on peut trouver dans n’importe quel pays du monde occidental. Bien qu’ils roulent en BMW, et qu’ils pensent être des privilégiés pour toujours, quand la réalité brutale et inexorable fait son apparition, l’auteure, sans émettre aucun jugement sur les personnages, montre qu’ils sont en fait très pauvres car l’amour à la vie, à eux-mêmes n’existe pas, seuls comptent l’argent et le standing. Toute la philosophie abjecte d’un style de vie erroné : l’individu n’a aucune valeur, ce qui importe c’est de posséder et non d’être. Et quand on ne possède pas ou plus, on n’a aucune raison d’exister. Un beau portrait d’une société malade.
Peinture de moeurs cruelle et grinçante. Portrait d’une certaine société argentine qui ne donne pas envie. Ecriture sèche et soignée. Structure décousue laissant la parole à quelques personnages ciblés. Lecture instructive.
Je suis plus sévère que la première critique…Je suis allée au bout mais c’est très embrouillé et finalement, à part la description de la vie de ces riches argentins, je ne vois pas l’intérêt de ce livre …J’attends avec curiosité de voir les avis des autres lecteurs.
Quelle satyre de la société argentine bougeoise !!C’est acide et grinçant,pour rien au monde on ne voudrait vivre dans ce « guetto » pour riche situé à 50 km de Buenos Aires dans ce site ultra protégé.Belle écriture,j’ai bien aimé la construction du roman qui nous tient en haleine jusqu’à la fin.
Entièrement d’accord avec vous. Curieuse façon d’évoquer un pays!
Bonne mais sévère description d’une certaine société argentine protégée dans sa « country » mais aveugle devant la crise qui se profilait à l’horizon. La construction est un peu déroutante au début car chaque chapitre a un narrateur différent mais après quelques chapitres on rentre facilement dans le rythme.
j’ai beaucoup apprécié le montage , car après quelques chapitres on est pris j’usqu’au bout de cette histoire et la description de cette société argebtine enfermée dans sa « country » et sans scrupules est sévère et impressionnante.
Si le but de cet ouvrage est la critique d’une certaine société argentine il y a dix ans, je peux l’admettre, mais cela m’intéresse peu. Le style direct fait de phrases simples et courtes est percutant, c’est peut-être la seule vraie valeur du livre. Quant à la fin en points de suspension, c’est un peu facile pour un auteur qui ne sait plus trop comment s’en tirer ! Au total bilan assez moyen finalement
D’accord avec Véronique et Alain: je n’ai pas réussi à m’intéresser à ces gens-là.
Un succès en Argentine probablement puisque ce livre décrit le début de la grave crise qui a touché ce pays après 2001 (il a d’ailleurs eu un prix littéraire.) Se déroulant dans un lotissement clos et barricadé pour nouveaux – et bientôt ex- riches, ce roman décrit le côté obscur d’une prétendue vie idyllique. Mais il ressemble plutôt à un scénario de film policier, et on aurait préféré un peu plus de psychologie. Réservé aux aficionados. Noté 2 parce que j’ai réussi à lire jusqu’à la fin, hélas…
J’ai beaucoup aimé ce livre. Il nous plonge dans un univers protégé par des codes, des gardiens.. Cet univers existe malheureusement. Ces personnes vivent « en autarcie », coupées du monde.
Leur monde est décrit avec humour et férocité et l’on passe un bon moment. L’intrigue sert juste à nous introduire dans ce milieu.
Une satire certainement juste de la bourgeoisie argentine, mais je me suis beaucoup ennuyée à la lecture de ce livre cynique où l’on ne s’attache à aucun personnage.
Que de bavardages inutiles pour l’histoire de cette société renfermée sue elle-même et coupée du monde extérieur. Bien décue en arrivant à la fin…. avec beaucoup de mal !! Pourquoi avoir choisi ce livre alors qu’il y en a tellement d’autres plus riches en scenarii et en littérature.
Livre impressionnant car il décrit bien l’impact de la crise qui bouleverse la fausse quiétude d’un monde protégé dont l’objectif unique est un matérialisme torride garanti par l’argent et la réussite matérielle…Ces argentins se croyaient protégés par les clôtures gardées de leur résidence où ne règne même pas une véritable liberté mais un conformisme mondain extraordinairement étroit. La période écrite est 2001 à l’heure de la faillite de l’état argentin. Il nous interpelle, nous les Européens qui nous croyons en sécurité…mais la dette des états ne nous menace-t-elle pas aussi ? Bref, a mon sens, le choix de ce livre par la bibliothèque tournante est particulièrement pertinent et nous invite, sinon à avoir peur, du moins à réfléchir. Fine mouche, Claudia Pinheiro.
j’ai vraiment apprécié ce livre,écriture nerveuse,scénario bien ficelé,humour grinçant,et qui donne à réfléchir,comme l’exprime bien le commentaire précédent
Pas du tout d’accord, DBD : ce départ en roman policier n’est qu’un prétexte. L’auteur nous fait une description froide et minutieuse d’une certaine société argentine, en petit nombre sans doute, des « nantis » qui se cantonnent dans leur vie luxueuse et privilégiée, sans vouloir regarder en face la crise qui va frapper le pays tout entier. Égoïsme, mesquinerie, misère affective de ces personnages qui ont cependant quelque chose d’émouvant dans leur volonté désespérée d’ignorer tout ce qui se passe en dehors d’eux-mêmes. Ils nous intéressent grâce à un style alerte, cursif. C’est un peu long tout de même…
Il est important de connaitre les poches protégées dans certains pays ; c’est désolant mais cela existe , le résultat dans l’avenir ne nous surprendra pas !!C’est une vue sur un pays que j’ignorais car je ne voyage pas : d’où l’avantage de ce livre.
bof bof!!!!!!!! que de longueurs et bavardages inutiles. On s’ennuie autant que les prsonnages. C’est tout dire…
description d’une certaine société vivant dans un lieu clos et ne s’intéressant qu’à paraitre – le monde extérieur n’existe pas pour eux
j’ai bien aimé l’écriture
Je l’ai lu jusqu’au bout. La fin est decevante.
Que de longueurs et bavardages inutiles. On s’ennuie autant que les prsonnages. C’est tout dire… L’auteur aurait pu se limiter à 50 pages !!
le début m’a amusé, puis ennuyé. . Il m’a fallut beaucoup de courage pour venir a bout de ce tas de ragots d’une société de gens trop riches dans un pays trop pauvre. L’auteur semble mime ignorer les délices de l’adultère. Fallait-il aller chercher si loin un roman en espagnol de si piètre qualité ?
Un huis-clos étouffant étendu à toute une communauté de gens bien nantis, du moins apparemment,, et qui vivent égoïstement repliés sur eux-même et niant absolument les effets de la crise qui frappe lentement mais sûrement leur pays.
Roman original, peu structuré il est vrai et qui déroute le lecteur de prime abord qcar il éprouve des difficultés à suivre un récit au travers des témoignages des divers personnages sans rapport les uns avec les autres;mais une fois le système décodé, on est pris quand même par les évènements qui ont conduit au drame final
Intéressant.
Laissons donc ces nantis s’ennuyer entre eux! Il y a d’autres auteurs à découvrir. J’ai terminé ce livre en poussant un ouf de soulagement!
Tout ce monde ne présente aucun intérêt.Dommage.
Narration aussi décevante.
Le premier chapitre m’a mise en bouche mais j’ai vite déchanté. Après quelques chapitres j’ai abandonné car c’était très barbant , tous les narrateurs ayant le même style pour raconter des choses bien ordinaires .
J’ai trouvé ce livre très intéressant. Ces « villages » fermés et coupés du « vrai » monde sont de plus en plus fréquents malheureusement.
Mea culpa. En fin de parcours, je révise ma note. Par comparaison, c’est tout de même un des bons livres de cette année. De plus, il fait découvrir une auteure argentine.
Excellente cette histoire d’individus qui vivent dans une bulle qu’on peut trouver dans n’importe quel pays du monde occidental. Bien qu’ils roulent en BMW, et qu’ils pensent être des privilégiés pour toujours, quand la réalité brutale et inexorable fait son apparition, l’auteure, sans émettre aucun jugement sur les personnages, montre qu’ils sont en fait très pauvres car l’amour à la vie, à eux-mêmes n’existe pas, seuls comptent l’argent et le standing. Toute la philosophie abjecte d’un style de vie erroné : l’individu n’a aucune valeur, ce qui importe c’est de posséder et non d’être. Et quand on ne possède pas ou plus, on n’a aucune raison d’exister. Un beau portrait d’une société malade.