Cette biographie m’a éclairée sur l’histoire de mon Ouest natal : ce monument, par exemple, à St Florent le Vieil. La duchesse de Berry a tenté de remuer des cendres : poussière, poussière, tout n’est plus que poussière.
ce livre est un bon rappel historique de l’époque mais je me demande comment ont été supervisées les corrections
chez l’éditeur taillandier, quand on lit, dans le tableau p.37 ,que….. louis philippe a épousé….marie antoinette d’ autriche!!!!
après celà,j’ai encore relevé d’autres fautes,minimes,de typographie
Bonne occasion de connaitre (ou de se remémorer)la Restauration.
Dans le feuillet photographique central on y lit que le fils du « compte » d’Artois…….preuve que le livre a été mal corrigé ainsi que le fait remarquer Claude;
Il fallait un livre d’histoire, sans doute est-ce la raison de ce choix.
Un peu folle la duchesse qui se veut une héroïne, à l’instar de la grande mademoiselle.
Peu d’intérêt si ce n’est de revivre ce siècle. Dommage pour les erreurs, qu’un relecture aurait évitées
D’accord avec Claude : non Louis Philippe n’a pas épousé Marie- Antoinette !! Je me permets d’ajouter qu’Henri, comte de Paris, n’est plus vivant mais qu’il est décédé en 1999….. C’est donc un mauvais copié-collé qui fait que l’on peut douter des autres sources citées…
Cette biographie fourmille de récits passionnants sur la Restauration et les batailles politiques de cette époque.
J’ai bien aimé les nombreuses citations de Chateaubriand, qui était vraiment un maître dans l’analyse de la société et dans l’art du portrait.
Dommage que comme trop de livres actuels celui ci soit écrit à la va vite, ce qui nuit souvent à sa clarté.
J’en suis venue à bout mais avec difficulté!
Le seul intérêt de ce fatras pseudo historique est de nous faire réviser la période des 3 Glorieuses puis celle de Charles X et De Louis Philippe…Quant à l’héroïne elle manque sérieusement de profondeur et ne présente vraiment aucun intérêt en elle même!
Ce n’est pas dans mes habitudes de ne pas lire un livre jusqu’à la fin, mais ici j’ai péniblement été jusqu’à la page 50 : pour ma part mal écrit sans le moindre soucis d’être clair. Un livre (un roman historique) qui par contre ma passionné : « Tu devais disparaïtre » de Didesheim.
Laissant les puristes ergoter sur la forme, je signale le grand intérêt que j’ai pris à ce livre. La Restauration est une époque mal connue, à la charnière de deux mondes qui s’ignoraient ou se combattaient et qui l’ont étouffée dans la mémoire des hommes. Tandis qu’allait naître l’industrie moderne, les ci-devant souvent fossilisés s’évadaient dans une vie de fiction qui devait son apparente vitalité au romantisme.
Déformée par l’éducation de son milieu et la lecture de Walter Scot, la très jeune princesse a cherché à être à la hauteur de son destin – de celui que lui imposait une mystique obsolète.
A priori le personnage m’était indifférent, Mais l’auteur a très bien su l’intégrer dans le drame de son quart de siècle, où les survivants de l’émigration et d’Austerlitz côtoyaient les premiers prolétaires. Ce temps nous est surtout rendu présent par la littérature si vivante de l’époque, dont Balzac est un exemple marquant.
A juste titre l’aventurière fait place à une femme en réaction contre le conformisme machiste du temps, à l’instar de George Sand.
Bien d’accord avec Alain pour la remise en perspective très réussie de ce personnage, peu attachant en lui-même, mais emblématique de cette période très int »ressante et trop peu connue de notre histoire. La vie intellectuelle et politique est bien analysée et nous éclaire sur ces années complexes.
L’auteur nous parle finalement peu de la Duchesse… il n’a pas l’air même de l’apprécier…alors pourquoi écrire ce livre ?
je n’ai pas eu envie de le lire en si peu de temps trop dense assez de biographie
Cette biographie m’a éclairée sur l’histoire de mon Ouest natal : ce monument, par exemple, à St Florent le Vieil. La duchesse de Berry a tenté de remuer des cendres : poussière, poussière, tout n’est plus que poussière.
intéressant pour mieux connaître le 19ème siècle le personnage de la duchesse laisse perplexe il a tellement de facettes
ce livre est un bon rappel historique de l’époque mais je me demande comment ont été supervisées les corrections
chez l’éditeur taillandier, quand on lit, dans le tableau p.37 ,que….. louis philippe a épousé….marie antoinette d’ autriche!!!!
après celà,j’ai encore relevé d’autres fautes,minimes,de typographie
Bonne occasion de connaitre (ou de se remémorer)la Restauration.
Dans le feuillet photographique central on y lit que le fils du « compte » d’Artois…….preuve que le livre a été mal corrigé ainsi que le fait remarquer Claude;
Il fallait un livre d’histoire, sans doute est-ce la raison de ce choix.
Un peu folle la duchesse qui se veut une héroïne, à l’instar de la grande mademoiselle.
Peu d’intérêt si ce n’est de revivre ce siècle. Dommage pour les erreurs, qu’un relecture aurait évitées
D’accord avec Claude : non Louis Philippe n’a pas épousé Marie- Antoinette !! Je me permets d’ajouter qu’Henri, comte de Paris, n’est plus vivant mais qu’il est décédé en 1999….. C’est donc un mauvais copié-collé qui fait que l’on peut douter des autres sources citées…
Cette biographie fourmille de récits passionnants sur la Restauration et les batailles politiques de cette époque.
J’ai bien aimé les nombreuses citations de Chateaubriand, qui était vraiment un maître dans l’analyse de la société et dans l’art du portrait.
Dommage que comme trop de livres actuels celui ci soit écrit à la va vite, ce qui nuit souvent à sa clarté.
J’en suis venue à bout mais avec difficulté!
Le seul intérêt de ce fatras pseudo historique est de nous faire réviser la période des 3 Glorieuses puis celle de Charles X et De Louis Philippe…Quant à l’héroïne elle manque sérieusement de profondeur et ne présente vraiment aucun intérêt en elle même!
Très bon livre. Enfin, un caractère bien trempé dans un de vos livres sélectionnés.
Ce n’est pas dans mes habitudes de ne pas lire un livre jusqu’à la fin, mais ici j’ai péniblement été jusqu’à la page 50 : pour ma part mal écrit sans le moindre soucis d’être clair. Un livre (un roman historique) qui par contre ma passionné : « Tu devais disparaïtre » de Didesheim.
Laissant les puristes ergoter sur la forme, je signale le grand intérêt que j’ai pris à ce livre. La Restauration est une époque mal connue, à la charnière de deux mondes qui s’ignoraient ou se combattaient et qui l’ont étouffée dans la mémoire des hommes. Tandis qu’allait naître l’industrie moderne, les ci-devant souvent fossilisés s’évadaient dans une vie de fiction qui devait son apparente vitalité au romantisme.
Déformée par l’éducation de son milieu et la lecture de Walter Scot, la très jeune princesse a cherché à être à la hauteur de son destin – de celui que lui imposait une mystique obsolète.
A priori le personnage m’était indifférent, Mais l’auteur a très bien su l’intégrer dans le drame de son quart de siècle, où les survivants de l’émigration et d’Austerlitz côtoyaient les premiers prolétaires. Ce temps nous est surtout rendu présent par la littérature si vivante de l’époque, dont Balzac est un exemple marquant.
A juste titre l’aventurière fait place à une femme en réaction contre le conformisme machiste du temps, à l’instar de George Sand.
Bien d’accord avec Alain pour la remise en perspective très réussie de ce personnage, peu attachant en lui-même, mais emblématique de cette période très int »ressante et trop peu connue de notre histoire. La vie intellectuelle et politique est bien analysée et nous éclaire sur ces années complexes.
par manque de temps, je regrette vivement de ne même pas avoir commencé ce livre car la période est intéressante.