Superbe! Se laisser porter par ce texte rude comme ce village: Villa del Carmen, terre d’Argentine. Magnifique l’obstination de Marita pour proréger sa »presque soeur »de la traque de Ferroni.Nous voici plongés dans une peur terrible qui nous mènera jusqu’à l’affrontement inéluctable de la fin.
merci à la BO pour ce choix, je commence bien l’année
Un seul reproche, jumelé avec les secrets du Vatican, très long à lire
Oui, vraiment rude ce texte à l’écriture abrupte qui ne donne pas une lecture facile.
La longue quête de Ferroni pour retrouver les lettres nous amènent à une fin inattendue et
difficile à accepter.
Moyennement apprécié.
Une belle histoire, un beau pays, un beau portrait… tout est réuni et on attend presque le film.
Mais à la lecture de ce récit lent et contemplatif, je me suis ennuyée… mais ennuyée !!!
Sélection originale que ce livre étrange
Il se déroule comme une pièce de théâtre, avec cette unité de temps, de lieu, avec ses répétitions, avec ce même décor .
une date : 1977 un lieu : Villa del carmen 2 acteurs : le policier Ferroni et Marita
en toile de fond un autre lieu Buenos Aires , un autre personnage : Mathilde qui écrit
Le policier a 8 jours à passer dans ce lieu perdu à la recherche d’un opposant au régime. Pour seul indice, des lettres , échangées entre 2 amies.
Un jeu de chat et de souris, une fin …pas si inattendue que cela si l’on suit la psychologie des protagonistes
dans ce village perdu l’ennui omniprésent pèse lourd, lourd, l’ennuyeux interrogateur ne cesse de s’ennuyer en ingurgitant bière et tomales. Une ennuyeuse scène d’érotisme fadasse ne sauve pas du naufrage une chute minable. Pourquoi fallut-il chercher si loin un auteur étranger ? -0-
J’ai beaucoup aimé l’écriture de ce livre, très originale, presque poétique avec refrains et bis. Pleine de contrastes.
Merci la BO, je l’ai lu d’une traite à perdre haleine, un livre pourtant si lent…
J’ai beaucoup aimé l’écriture et le rythme, à chaque page, plus intense. Et ce personnage dont on découvre, peu à peu, les réelles fonctions… Superbe comme dit Carole.
très beau livre, écriture sobre, dense, la pression monte, le climat est lourd, les protagonistes s’observent, c’est très bien décrit : un livre « d’atmosphère » que je n’ai pas lâché.
Très beau livre d’atmosphere ou l’on découvre le traumatisme vécu par ferroni enfant et ou cela peut le mener, le tout sur fond de dictature.
Marita et Mathilde, leur belle amitié est très bien mise en scène sous forme de lettres.
Bravo pour ce choix.
Ce livre est passionnant, le rythme colle à l’intrigue:il faut beaucoup de lenteur(s) et de redites aussi bien pour l’ambiance geographique et climatique que pour le déroulement de l’histoire .
je me suis ennuyee à la lecture de ce livre ,je suis allee au bout du livre ,mais vraiment sans interet des redites sans cesse pourquoi un t elle choix
Superbe! Se laisser porter par ce texte rude comme ce village: Villa del Carmen, terre d’Argentine. Magnifique l’obstination de Marita pour proréger sa »presque soeur »de la traque de Ferroni.Nous voici plongés dans une peur terrible qui nous mènera jusqu’à l’affrontement inéluctable de la fin.
merci à la BO pour ce choix, je commence bien l’année
Un seul reproche, jumelé avec les secrets du Vatican, très long à lire
Oui, vraiment rude ce texte à l’écriture abrupte qui ne donne pas une lecture facile.
La longue quête de Ferroni pour retrouver les lettres nous amènent à une fin inattendue et
difficile à accepter.
Moyennement apprécié.
livre peu ordinaire,une langue originale,avec des redites,une action lente,et une fin inattendue,mais pas illogique.
c’est un bon livre,
livre difficile à lire par son ecriture, mais cela vaut le coup d’aller jusqu’au bout.
Une belle histoire, un beau pays, un beau portrait… tout est réuni et on attend presque le film.
Mais à la lecture de ce récit lent et contemplatif, je me suis ennuyée… mais ennuyée !!!
Sélection originale que ce livre étrange
Il se déroule comme une pièce de théâtre, avec cette unité de temps, de lieu, avec ses répétitions, avec ce même décor .
une date : 1977 un lieu : Villa del carmen 2 acteurs : le policier Ferroni et Marita
en toile de fond un autre lieu Buenos Aires , un autre personnage : Mathilde qui écrit
Le policier a 8 jours à passer dans ce lieu perdu à la recherche d’un opposant au régime. Pour seul indice, des lettres , échangées entre 2 amies.
Un jeu de chat et de souris, une fin …pas si inattendue que cela si l’on suit la psychologie des protagonistes
dans ce village perdu l’ennui omniprésent pèse lourd, lourd, l’ennuyeux interrogateur ne cesse de s’ennuyer en ingurgitant bière et tomales. Une ennuyeuse scène d’érotisme fadasse ne sauve pas du naufrage une chute minable. Pourquoi fallut-il chercher si loin un auteur étranger ? -0-
J’ai beaucoup aimé l’écriture de ce livre, très originale, presque poétique avec refrains et bis. Pleine de contrastes.
Merci la BO, je l’ai lu d’une traite à perdre haleine, un livre pourtant si lent…
J’ai beaucoup aimé l’écriture et le rythme, à chaque page, plus intense. Et ce personnage dont on découvre, peu à peu, les réelles fonctions… Superbe comme dit Carole.
très beau livre, écriture sobre, dense, la pression monte, le climat est lourd, les protagonistes s’observent, c’est très bien décrit : un livre « d’atmosphère » que je n’ai pas lâché.
Très beau livre d’atmosphere ou l’on découvre le traumatisme vécu par ferroni enfant et ou cela peut le mener, le tout sur fond de dictature.
Marita et Mathilde, leur belle amitié est très bien mise en scène sous forme de lettres.
Bravo pour ce choix.
Ce livre est passionnant, le rythme colle à l’intrigue:il faut beaucoup de lenteur(s) et de redites aussi bien pour l’ambiance geographique et climatique que pour le déroulement de l’histoire .
je me suis ennuyee à la lecture de ce livre ,je suis allee au bout du livre ,mais vraiment sans interet des redites sans cesse pourquoi un t elle choix
lu qq (pas 99, quelques) pages, et laissé tomber.