Michael ONDAATTE nous raconte , dans un style humain et sincère, ce qu’un gamin de 11 ans peut éprouver quand on l’ embarque, seul en 1954 sur l’ » ORANSEY », un bateau de passagers entre le SRI LANKA et l’ ANGLETERRE pour rejoindre sa mère…et que le voyage dure plusieurs semaines.
Dans cette vie en vase clos… il découvre avec son coeur encore pur l’aventure avec les copains quand chaque couloir de ce monstre bruyant est un mystère, le bien et le mal, la justice et l’injustice, la franchise et le mensonge…les lubies des adultes et il éprouve ses premières émotions..
UN BON LIVRE
Un jeune garçon Sri Lankais quitte son pays et navigue 21 jours pour rejoindre sa mère en Angleterre. A bord du bateau il fait les quatre-cent coups avec deux garçons de son âge, tout en observant les passagers et la vie du bord.
Le côté exotique de la croisière et les diverses personnes évoquées le tout avec un regard d’adolescent donnent un charme aventureux à ce récit. Il s’y mêle aussi le regard rétrospectif du jeune garçon devenu adulte et cela donne un ton nostalgique. L’ensemble tient la route même si passé la moitié du récit les aventures à bord du bateau sont comme rajoutées et complexifiées à plaisir.
Un récit plus dépouillé aurait gagné en souffle. C’est dommage.
Livre un peu déconcertant de prime abord : des anecdotes d’enfance, des souvenirs d’un voyage, une liste des personnages rencontrés et les réflexions rétrospectives un peu désabusées de l’adulte que l’enfant est devenu. Mais finalement tout ceci se tisse assez bien et nous touche.
Bienvenue à bord de l’Oronsay ! Trois gamins nous accueillent, yeux et oreilles grandes ouvertes. Ils cotoient quelques passagers interessants mais le lecteur a des difficultés à suivre, d’autant plus qu’il est promené dans le temps.
Je n’ai pas terminé ce livre… Mauvais signe.
Très déçue…. J’avais tant aimé « Le patient anglais » du même auteur et dans ce récit, je me suis ennuyée.
On suit donc les frasques de 3 gamins montés à bord d’un bateau parti de Columbo pour rallier l’Angleterre et l’on croise de nombreux passagers plus étranges les uns que les autres qui se révèlent peu intéressants pour le déroulement de l’action.qui en finale est inexistante!Long et ennuyeux donc raté à mes yeux quoique j’en sois venue à bout avec beaucoup de difficulté
Dans la première partie, j’ai aimé les descriptions et récits de la croisière faits avec des yeux d’enfant. C’est à comparer aux rappel des souvenirs de jeunesse de Pagnol. Page 132: le peintre a peint avec l’angle de vue des enfants. L’histoire policière peut rappeler celles d’ Agatha Christie, parce qu’il y a finalement un lien entre beaucoup de personnages du bateau, mais ce n’est pas toujours très clair.
C’est un roman, certes, mais j’ai recensé que vous avez choisi depuis 2008, sauf erreur de ma part, 18 livres ayant pour sujet l’immigration.
Ce livre est très émouvant. On rencontre la confrontation du monde des adultes avec celui de presque adolescents, et en même temps le retour d’un adulte vers sa jeunesse.Il est de plus d’une lecture très facile. Oui, Michael Ondaatje est un grand écrivain.
je partage complétement l’avis de Brigitte sur ce livre que j’ai beaucoup aimé, très bien écrit & émouvant, le passage du canal de Suez, image du passage du monde de l’enfance au monde des adultes, de l’Orient à l’Occident…est magnifique, j’ai relu ce livre aussitôt terminé, ce qui est très rare…
J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout de ce livre, qui compte pourtant de très belles pages et une écriture poétique et soignée, mais l’ensemble m’a paru confus et mon attention s’est vite lassée.
ils y font beaucoup de bêtises, de rencontres, oui mais que c’est lassant !
Michael ONDAATTE nous raconte , dans un style humain et sincère, ce qu’un gamin de 11 ans peut éprouver quand on l’ embarque, seul en 1954 sur l’ » ORANSEY », un bateau de passagers entre le SRI LANKA et l’ ANGLETERRE pour rejoindre sa mère…et que le voyage dure plusieurs semaines.
Dans cette vie en vase clos… il découvre avec son coeur encore pur l’aventure avec les copains quand chaque couloir de ce monstre bruyant est un mystère, le bien et le mal, la justice et l’injustice, la franchise et le mensonge…les lubies des adultes et il éprouve ses premières émotions..
UN BON LIVRE
Un jeune garçon Sri Lankais quitte son pays et navigue 21 jours pour rejoindre sa mère en Angleterre. A bord du bateau il fait les quatre-cent coups avec deux garçons de son âge, tout en observant les passagers et la vie du bord.
Le côté exotique de la croisière et les diverses personnes évoquées le tout avec un regard d’adolescent donnent un charme aventureux à ce récit. Il s’y mêle aussi le regard rétrospectif du jeune garçon devenu adulte et cela donne un ton nostalgique. L’ensemble tient la route même si passé la moitié du récit les aventures à bord du bateau sont comme rajoutées et complexifiées à plaisir.
Un récit plus dépouillé aurait gagné en souffle. C’est dommage.
Un sujet éternel (passage de l’enfance à l’âge adulte), mais dans un cadre et un contexte particuliers : intéressant et vivant
Livre un peu déconcertant de prime abord : des anecdotes d’enfance, des souvenirs d’un voyage, une liste des personnages rencontrés et les réflexions rétrospectives un peu désabusées de l’adulte que l’enfant est devenu. Mais finalement tout ceci se tisse assez bien et nous touche.
Bienvenue à bord de l’Oronsay ! Trois gamins nous accueillent, yeux et oreilles grandes ouvertes. Ils cotoient quelques passagers interessants mais le lecteur a des difficultés à suivre, d’autant plus qu’il est promené dans le temps.
Je n’ai pas terminé ce livre… Mauvais signe.
Très déçue…. J’avais tant aimé « Le patient anglais » du même auteur et dans ce récit, je me suis ennuyée.
On suit donc les frasques de 3 gamins montés à bord d’un bateau parti de Columbo pour rallier l’Angleterre et l’on croise de nombreux passagers plus étranges les uns que les autres qui se révèlent peu intéressants pour le déroulement de l’action.qui en finale est inexistante!Long et ennuyeux donc raté à mes yeux quoique j’en sois venue à bout avec beaucoup de difficulté
Dans la première partie, j’ai aimé les descriptions et récits de la croisière faits avec des yeux d’enfant. C’est à comparer aux rappel des souvenirs de jeunesse de Pagnol. Page 132: le peintre a peint avec l’angle de vue des enfants. L’histoire policière peut rappeler celles d’ Agatha Christie, parce qu’il y a finalement un lien entre beaucoup de personnages du bateau, mais ce n’est pas toujours très clair.
C’est un roman, certes, mais j’ai recensé que vous avez choisi depuis 2008, sauf erreur de ma part, 18 livres ayant pour sujet l’immigration.
Ce livre est très émouvant. On rencontre la confrontation du monde des adultes avec celui de presque adolescents, et en même temps le retour d’un adulte vers sa jeunesse.Il est de plus d’une lecture très facile. Oui, Michael Ondaatje est un grand écrivain.
n’ai pas réussi à le lire.
je partage complétement l’avis de Brigitte sur ce livre que j’ai beaucoup aimé, très bien écrit & émouvant, le passage du canal de Suez, image du passage du monde de l’enfance au monde des adultes, de l’Orient à l’Occident…est magnifique, j’ai relu ce livre aussitôt terminé, ce qui est très rare…
J’ai eu du mal à aller jusqu’au bout de ce livre, qui compte pourtant de très belles pages et une écriture poétique et soignée, mais l’ensemble m’a paru confus et mon attention s’est vite lassée.
Merci à Elizabeth pour son avis que je partage: à trop compliquer, on tue l’intérêt.
On entre dans le livre avec plaisir, mais on se lasse vite .. Dommage, le sujet était alléchant