Et bien moi j’ai bien aimé! Mais il faut perséverer car si le démarrage est effectivement passionnant et haletant, dans les 3 ou 4 chapitres suivants on se perd dans l’évocation des différents personnages centraux qui semblent n’avoir aucun lien les uns avec les autres…;
Et puis leurs parcours s’entrecroisent, se superposent et l’on entre pleinement dans l’intrigue de plus en plus passionnante; Je l’ai lu d’une traite …. bien sûr comme pour tous les romans de ce type, j’oublierai rapidement le suspens mais ce genre de lecture permet de s’évader avec plaisir d’un jour de grisaille !
J’ai ete particulierement frappee par le language. Je pense que cela est essentiellement imputable a la traduction, qui garde une forme trop anglophone et trop « parlee ». Cela ne rend pas la lecture tres agreable. Je croirais me retrouver a ces soirees entre amis ou tout le monde utilise tant de mots anglais a force de ne plus pratiquer assez le francais. Quand a l’intrigue, on dirait un roman policier qui n’arrive pas a decoller. C’etait le premier livre que je lisais de la Bibliotheque Orange (que je decouvre cette annee), et j’ai ete tres decue, m’attendant a une reelle selection du comite de lecture. Heureusement, les livres suivants m’ont beaucoup plus plu.
je n’ai trouvé aucun intérêt à ce livre dont je n’ai pas pu dépasser la page 50 ; j’ai trouvé le thème banal, les digressions permanentes sont assommantes et prétentieuses ; j’ai vraiment eu l’impression de perdre mon temps en le lisant, sans pour autant que ce soit agréable. Je en conseille vraiment pas ce livre.
j’aime les romans policiers : je me suis donc accrochée jusqu’à la page 120… comme arnaud, je trouve les digressions permanentes pesantes et le « langage » (on ne peut pas parler d’écriture) lourd et prétentieux ; quant à l’intrigue, au tiers du livre, elle ne s’est pas encore installée. je recommanderai de ne surtout pas investir dans ce livre.
Aucun interet, pas d’histoire, pas de suspense, tres mal ecrit et ca dure, ca dure, ca dure…. Je ne comprends pas comment ce livre a pu etre choisi ! C’est zero pour moi
J’ai, malgré une traduction trouvée parfois décevante, beaucoup aimé ce roman, et suis finalement surprise de lire tt ce qui précède. C’est sûr ce livre ne laisse pas indifférent, on y entre pas très facilement, mais il faut un peu « forcer » la lecture, aller au-delà des 50 premières pages… Ce roman rappelle les travaux de tissage, où les destins des différents personnages se croisent, s’entremêlent. Reegie, assistante maternelle, joue les parques avec grâce, tisse la toiler, c’est une étonnante Zazie à la sauce écossaise, et elle m’a personnellement bcp attendrie et fait rire. Johanna, en apparence si lisse, à la violence enfouie, et puis Jackson Brodie, le policier en retraite, et Louise, Billy, Marcus etc… tous dans leur épaisseur psychologique méritent qu’on les écoute.
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé, au point de l’avoir lu 2 fois pendant ma quinzaine. Une fois d’une traite, pour la soif de connaître la fin, la deuxième fois, plus lentement, pour le déguster. Comme » la première gorgée de bière « , la vraie….. pas le livre…
Aucun problème pour m’identifier à Reggie…
Kate Atkinson, c’est quelque chose !!! Sûr qu’il est difficile de rentrer dans ce livre, qu’il y a des longueurs et que l’intrigue est tarabiscotée, mais les personnages sont attachants et les citations qui émaillent le texte sont bien souvent intéressantes ou surprenantes… Mais j’ai un faible pour la littérature anglaise. J’ai passé un moment agréable…mais je comprends les critiques : il y a de 30 ans que j’adhère à la BO…
Geneviève
Je n’ai pas été convaincue par ce roman, même s’il faut bien avouer que je l’ai lu d’une traite pour connaître le dénouement ! La traduction est très mauvaise et ajoute à la lourdeur de l’ensemble, aux interminables digressions. L’intrigue est faite d’un faisceau de coïncidences qui ne tient pas la route (Reggie qui se trouve par hasard chez MS MacDonald le soir précis du déraillement du train, qui sauve par hasard la vie de l’ex-policier amoureux de Louise qui se trouve être celle qui suit le cas Hunter qui se trouve par le plus grand hasard être l’employeuse de Reggie… ça fait beaucoup !!! pas très crédible tout ça…). La lecture se fait cependant avec un certain plaisir grâce à cet inimitable humour anglais.
Que c’est long à se mettre en route…Que de pédanterie à assommer de citations le lecteur peu au courant de la littérature anglaise…..Que de coïncidences pour arriver à trouver ce qui relie les différents acteurs ce qui rend l’intrigue peu crédible.La Lisbeth des Millenium est plus attachante que Reggie !
Malheureusement, peu à dire sur un livre que j’ai pris peu de plaisir à lire pour ne pas dire davantage. La langue est insupportable et la structure du livre plus tordue encore. Je regrette aussi que pour des francophones en mal de livres en français le choix de la bibliothèque orange se fasse sur des traductions de l’anglais que nous lisons, dans notre immense majorité, couramment.
Une traduction en tous points catastrophique: p29 « papier, ciseaux, roche » au lieu de « pierre, feuille, ciseaux « ; p38 « friendly fire » traduit de façon atroce par « feu ami » au lieu de « tir fratricide », j’en passe et des meilleures… Les éditeurs paient-ils si mal leurs traducteurs qu’il faille avoir recours à des gens si incompétents?
Et malgré tout cela un immense plaisir de lecture: quel plaisir de s’immerger dans ce roman qui alterne avec habileté fantaisie et loufoquerie. Les personnages sont particulièrement bien campés, surtout Ms MacDonald, son amour du polyester et des auteurs grecs et Reggie, mélange savant de Zazie et de Matilda, à la résilience assez extraordinaire. Je regrette d’autant plus que ce roman ait été si peu apprécié à sa juste valeur…
Je rejoins tout à fait Anne V. (95) ; comme elle, je suis navrée de la traduction. Mais je ne veux juger que de l’essence de ce livre qui, dans son genre, est une réussite.
un 1er chapitre très motivant mais les suivants ne sont pas captivants en raison des longeurs décevantes même dans l’atmosphère.
Et bien moi j’ai bien aimé! Mais il faut perséverer car si le démarrage est effectivement passionnant et haletant, dans les 3 ou 4 chapitres suivants on se perd dans l’évocation des différents personnages centraux qui semblent n’avoir aucun lien les uns avec les autres…;
Et puis leurs parcours s’entrecroisent, se superposent et l’on entre pleinement dans l’intrigue de plus en plus passionnante; Je l’ai lu d’une traite …. bien sûr comme pour tous les romans de ce type, j’oublierai rapidement le suspens mais ce genre de lecture permet de s’évader avec plaisir d’un jour de grisaille !
J’ai ete particulierement frappee par le language. Je pense que cela est essentiellement imputable a la traduction, qui garde une forme trop anglophone et trop « parlee ». Cela ne rend pas la lecture tres agreable. Je croirais me retrouver a ces soirees entre amis ou tout le monde utilise tant de mots anglais a force de ne plus pratiquer assez le francais. Quand a l’intrigue, on dirait un roman policier qui n’arrive pas a decoller. C’etait le premier livre que je lisais de la Bibliotheque Orange (que je decouvre cette annee), et j’ai ete tres decue, m’attendant a une reelle selection du comite de lecture. Heureusement, les livres suivants m’ont beaucoup plus plu.
Un roman bien ficelé avec des noeuds à défaire ce qui peut crée l’attrait , la richesse de l’oeuvre ou son rejet. demande donc de la concentration
on le dévore comme un bon policier, c’est tout !
je n’ai trouvé aucun intérêt à ce livre dont je n’ai pas pu dépasser la page 50 ; j’ai trouvé le thème banal, les digressions permanentes sont assommantes et prétentieuses ; j’ai vraiment eu l’impression de perdre mon temps en le lisant, sans pour autant que ce soit agréable. Je en conseille vraiment pas ce livre.
j’aime les romans policiers : je me suis donc accrochée jusqu’à la page 120… comme arnaud, je trouve les digressions permanentes pesantes et le « langage » (on ne peut pas parler d’écriture) lourd et prétentieux ; quant à l’intrigue, au tiers du livre, elle ne s’est pas encore installée. je recommanderai de ne surtout pas investir dans ce livre.
Je suis de l’avis de marie-anne et d’Arnaud, en général je naime pas les romans policiers et celui-ci ne m’a pas convaincu !
Aucun interet, pas d’histoire, pas de suspense, tres mal ecrit et ca dure, ca dure, ca dure…. Je ne comprends pas comment ce livre a pu etre choisi ! C’est zero pour moi
J’ai, malgré une traduction trouvée parfois décevante, beaucoup aimé ce roman, et suis finalement surprise de lire tt ce qui précède. C’est sûr ce livre ne laisse pas indifférent, on y entre pas très facilement, mais il faut un peu « forcer » la lecture, aller au-delà des 50 premières pages… Ce roman rappelle les travaux de tissage, où les destins des différents personnages se croisent, s’entremêlent. Reegie, assistante maternelle, joue les parques avec grâce, tisse la toiler, c’est une étonnante Zazie à la sauce écossaise, et elle m’a personnellement bcp attendrie et fait rire. Johanna, en apparence si lisse, à la violence enfouie, et puis Jackson Brodie, le policier en retraite, et Louise, Billy, Marcus etc… tous dans leur épaisseur psychologique méritent qu’on les écoute.
Un bon polar que j’ai dévoré malgré un début difficile, le personnage de Reggie est très sympathique
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé, au point de l’avoir lu 2 fois pendant ma quinzaine. Une fois d’une traite, pour la soif de connaître la fin, la deuxième fois, plus lentement, pour le déguster. Comme » la première gorgée de bière « , la vraie….. pas le livre…
Aucun problème pour m’identifier à Reggie…
Bonjour,
Kate Atkinson, c’est quelque chose !!! Sûr qu’il est difficile de rentrer dans ce livre, qu’il y a des longueurs et que l’intrigue est tarabiscotée, mais les personnages sont attachants et les citations qui émaillent le texte sont bien souvent intéressantes ou surprenantes… Mais j’ai un faible pour la littérature anglaise. J’ai passé un moment agréable…mais je comprends les critiques : il y a de 30 ans que j’adhère à la BO…
Geneviève
Je n’ai pas été convaincue par ce roman, même s’il faut bien avouer que je l’ai lu d’une traite pour connaître le dénouement ! La traduction est très mauvaise et ajoute à la lourdeur de l’ensemble, aux interminables digressions. L’intrigue est faite d’un faisceau de coïncidences qui ne tient pas la route (Reggie qui se trouve par hasard chez MS MacDonald le soir précis du déraillement du train, qui sauve par hasard la vie de l’ex-policier amoureux de Louise qui se trouve être celle qui suit le cas Hunter qui se trouve par le plus grand hasard être l’employeuse de Reggie… ça fait beaucoup !!! pas très crédible tout ça…). La lecture se fait cependant avec un certain plaisir grâce à cet inimitable humour anglais.
Pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce livre ….J’ai été perdue mais j’ai gardé le fil ….et je l’ai lu très vite et je pense que je ne l’oublierai pas….
Que c’est long à se mettre en route…Que de pédanterie à assommer de citations le lecteur peu au courant de la littérature anglaise…..Que de coïncidences pour arriver à trouver ce qui relie les différents acteurs ce qui rend l’intrigue peu crédible.La Lisbeth des Millenium est plus attachante que Reggie !
je n’ai pas pu depasser les 50 pages je ne conseillerai pas ce livre
Malheureusement, peu à dire sur un livre que j’ai pris peu de plaisir à lire pour ne pas dire davantage. La langue est insupportable et la structure du livre plus tordue encore. Je regrette aussi que pour des francophones en mal de livres en français le choix de la bibliothèque orange se fasse sur des traductions de l’anglais que nous lisons, dans notre immense majorité, couramment.
Une traduction en tous points catastrophique: p29 « papier, ciseaux, roche » au lieu de « pierre, feuille, ciseaux « ; p38 « friendly fire » traduit de façon atroce par « feu ami » au lieu de « tir fratricide », j’en passe et des meilleures… Les éditeurs paient-ils si mal leurs traducteurs qu’il faille avoir recours à des gens si incompétents?
Et malgré tout cela un immense plaisir de lecture: quel plaisir de s’immerger dans ce roman qui alterne avec habileté fantaisie et loufoquerie. Les personnages sont particulièrement bien campés, surtout Ms MacDonald, son amour du polyester et des auteurs grecs et Reggie, mélange savant de Zazie et de Matilda, à la résilience assez extraordinaire. Je regrette d’autant plus que ce roman ait été si peu apprécié à sa juste valeur…
Je me suis vraiment demandée comment un si mauvais thriller avait pu aboutir dans la liste de cette année !
Je rejoins tout à fait Anne V. (95) ; comme elle, je suis navrée de la traduction. Mais je ne veux juger que de l’essence de ce livre qui, dans son genre, est une réussite.